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https://doi.org/10.11588/diglit.24987#0047
en ruine que l’on y voit, est un contre-fort construit pour empêcher
ta chute de cette partie du Narthex et de la petite coupole super-
posée, qui menaçaient ruine.
La construction de la maçonnerie extérieure est toujours
pareille à celte de toutes les églises byzantines, composée de
bandes en briques et de couches de pierres travaillées simplement
et disposées avec ordre.
Il est curieux de voir ces morceaux de construction en terre
cuite, qui sont entés, pour ainsi dire, dans le restant de la muraille
sans avoir de rapport avec elle; ces petits arcs aussi, disposés
irrégulièrement, sans raison aucune et que l’on doit attribuer au
caprice de l’architecte qui les fit construire, bizarreries que l’on
observe souvent dans les constructions byzantines et qui les ren-
dent encore plus pittoresques et plus intéressantes. Les petites
fenêtres que l’on voit au susdit corps de bâtiment, éclairent un petit
escalier que l’on remarquera facilement à la PI. XVII.
La corniche qui couronne le bâtiment, ainsi que celle qui
divise les deux étages, est en marbre, bien conservée et bien
travaillée. Toute la partie inférieure de ce corps de bâtiment est
en échelons de grandes masses de pierre travaillée.
Extérieurement, â l’abside principale, on remarque un grand
contre-fort â arc rampant. Celui-ci fut exécuté en vue d’empêcher
la chute qui menaçait de ce côté du bâtiment. Ce contre-fort qui
doit compter quelques siècles d’existence, le toit, et jusqu’aux
coupoles, sont recouverts de plantes de toutes sortes et quelques-
unes sont même â hautes tiges; végétation, qui, quoique contri-
buant â la ruine de l’édilice, fait le plus beau contraste avec les
lignes architecturales et qui présente â l’œil un magnil
tableau.
PI. XXIX. La fig. 1 est le dessin de la corniche et des jam-
bages de la porte, qui du Narthex communique avec l’église; ce
travail est en vert antique.
La fig. °1 donne le dessin de la fenêtre â trois divisions qui
se trouve au fond de l’abside de la Parecclission.
La fig. 3 est la corniche et les jambages d’une porte secon-
daire, qui de l’intérieur de l’église conduit à la Parecclission.
ta chute de cette partie du Narthex et de la petite coupole super-
posée, qui menaçaient ruine.
La construction de la maçonnerie extérieure est toujours
pareille à celte de toutes les églises byzantines, composée de
bandes en briques et de couches de pierres travaillées simplement
et disposées avec ordre.
Il est curieux de voir ces morceaux de construction en terre
cuite, qui sont entés, pour ainsi dire, dans le restant de la muraille
sans avoir de rapport avec elle; ces petits arcs aussi, disposés
irrégulièrement, sans raison aucune et que l’on doit attribuer au
caprice de l’architecte qui les fit construire, bizarreries que l’on
observe souvent dans les constructions byzantines et qui les ren-
dent encore plus pittoresques et plus intéressantes. Les petites
fenêtres que l’on voit au susdit corps de bâtiment, éclairent un petit
escalier que l’on remarquera facilement à la PI. XVII.
La corniche qui couronne le bâtiment, ainsi que celle qui
divise les deux étages, est en marbre, bien conservée et bien
travaillée. Toute la partie inférieure de ce corps de bâtiment est
en échelons de grandes masses de pierre travaillée.
Extérieurement, â l’abside principale, on remarque un grand
contre-fort â arc rampant. Celui-ci fut exécuté en vue d’empêcher
la chute qui menaçait de ce côté du bâtiment. Ce contre-fort qui
doit compter quelques siècles d’existence, le toit, et jusqu’aux
coupoles, sont recouverts de plantes de toutes sortes et quelques-
unes sont même â hautes tiges; végétation, qui, quoique contri-
buant â la ruine de l’édilice, fait le plus beau contraste avec les
lignes architecturales et qui présente â l’œil un magnil
tableau.
PI. XXIX. La fig. 1 est le dessin de la corniche et des jam-
bages de la porte, qui du Narthex communique avec l’église; ce
travail est en vert antique.
La fig. °1 donne le dessin de la fenêtre â trois divisions qui
se trouve au fond de l’abside de la Parecclission.
La fig. 3 est la corniche et les jambages d’une porte secon-
daire, qui de l’intérieur de l’église conduit à la Parecclission.