LA
PROPRIÉTÉ INDIGÈNE EN MAG'REB
SELON L'OUVRAGE DIT :
c< La régie des Princes et des Khalifes, fixant
l'étendue de Leurs pouvoirs légaux " ^\ de
Mohammed el Moustafa ben Abd Allah, des-
cendant de l'Ouali Sidi Abd er Rahmane ben Ali
PAR
M. Ernest MERCIER,
MEMBRE TITULAIRE
La Société archéologique a déjà publié (2) un excel-
lent mémoire du regretté général de Wulf, membre
correspondant, sur « la nature de la propriété fon-
cière dans les pays musulmans ». Bien que cette
question ne soit pas du domaine de l'archéologie pure,
elle se rattache à l'histoire, dont notre Société s'est
toujours occupée. Ces raisons nous décident à lui
offrir le présent travail, qui fait suite à d'autres études
sur le même sujet publiées dans des recueils spéciaux.
L'ouvrage de Mohammed el Moustafa nous avait
été signalé ; cependant il n'existe pas dans le fonds
(1) sUi£î j s\y^j)\j^. çÇ=± ^ Uxf
(2) Vol. Xe, 1866, p. 310.
PROPRIÉTÉ INDIGÈNE EN MAG'REB
SELON L'OUVRAGE DIT :
c< La régie des Princes et des Khalifes, fixant
l'étendue de Leurs pouvoirs légaux " ^\ de
Mohammed el Moustafa ben Abd Allah, des-
cendant de l'Ouali Sidi Abd er Rahmane ben Ali
PAR
M. Ernest MERCIER,
MEMBRE TITULAIRE
La Société archéologique a déjà publié (2) un excel-
lent mémoire du regretté général de Wulf, membre
correspondant, sur « la nature de la propriété fon-
cière dans les pays musulmans ». Bien que cette
question ne soit pas du domaine de l'archéologie pure,
elle se rattache à l'histoire, dont notre Société s'est
toujours occupée. Ces raisons nous décident à lui
offrir le présent travail, qui fait suite à d'autres études
sur le même sujet publiées dans des recueils spéciaux.
L'ouvrage de Mohammed el Moustafa nous avait
été signalé ; cependant il n'existe pas dans le fonds
(1) sUi£î j s\y^j)\j^. çÇ=± ^ Uxf
(2) Vol. Xe, 1866, p. 310.