Recueil des notices et mémoires de la Société Archéologique du Département de Constantine (Sér. 4,3=34.1900(1901))

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dessus de la banquette et qui aboutit dans les rochers.
Nous préférons nous glisser par là et nous arrivons,
en rampant, au-dessus de la cascade; un sentier de
chèvre nous permet ensuite de descendre jusqu'à la
rivière et de saisir, de celte manière, un nouveau
détail de ce mystérieux réduit, forteresse imprenable
autrement que par la famine, refuge ou repaire d'une
population troglodite qui est peut-être la cousine
germaine des anciens autochtones auxquels nous
devons, à deux heures de là, Rahr Brid, et — plus
loin — Sidi Bou Yahia.

Lucien JACQUOT.