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Peut-on trouvée encoee
11) D'autres racines prennent un t à la fin au passif; d'autres éprouvent une trans-
position des consonnes d'une syllabe à une autre : presque toujours les voyelles éprouvent
un changement, et surtout & se change en o. Voici des exemples :
cçou-op, avec suffixe cçoTtop; suivi de l'accusatif cooTep; au passif cooiropT.
uj^kuj, avec suffixe ujiMio^uj; suivi de l'ace, uj^ncuj; au passif uj^hots-ujt et «$*yrceu''uj.
Th. ceai&ujT 1.
ujopûîp, au passif ujcpujopT (th.).
TOiv&em, Ton-fn^ TottTeti; avec suffixe -©ett^ûjre ou T6tt*û)it et en thébain tsitom; suivi de
l'aCC TGtv&en, TCit-atort, TÏtTGti (th.), au passif Ten-e-tonr.
De même les verbes cwoim et cmotteh admettent les deux formes devant l'accusatif/
coTcn. et coioTs-tt, coirTeii et coTTfoti2. cmo^ fait au passif cmcav^t et en thébain cAv«.Av.e.iN.t.
Les exemples suivants se rapportent plus particulièrement à la règle :
passif mobo
coé1r
passif
cofi-^
»
ceÊTfùT
ttiVUJT
kujot
oj&.I
»
ouj
hoj5t
UJMô.
UJOM
cnrfi&uj
»
uj'i\.e>.o_
»
otox
oo'iW
»
ccM.ni
CAtOttT
oopuj
»
0j50uj
12)
D'autres formes verbales
prennent au passif
la désinence coo^t. Voici les quelques
exemples
que j'ai pu recueillir :
KCttI
passif
kcï1iCÙOTTT
(pepi
passif
(pGpitOOTT
mot
jw.coott
01
»
c.w.OT » CM^pCOOTT
Comme on a pu le voir dans les exemples précités, certains verbes ont deux désinences
passives; il ne faut pas s'en étonner, car les substantifs ont parfois deux pluriels, comme
iVMUJG, pl. Ô.MUJKOT et a.w.UJHOTI; ÉG^g, pl. ÊG^ÇHOT et ÊG^ÇHOTI ; GOG, pl. 60H01T et GOtoOT j
Kl, pl. H0T5- et HOTi; pGMÇC, pl. pCM.ÇCff et pCMOHOTI.
Tout ce qui précède a rapport aux formes passives; il faut maintenant dire quelques
mots de l'emploi du passif.
Les formes passives s'emploient surtout au participe avec e-r, e<j, ce, en-, epe, etc., comme
je l'ai remarqué souvent dans les manuscrits qui m'ont fourni les exemples cités. Il s'emploie
aussi quelquefois aux autres temps. Par exemple : oeu ^ooitop gtcotti ctmhp c ocuhots-o : 6iç««u-
poi s'y.Aey.Toi Se8e[*svo[ c;(Oivîo;ç3. — tgtkoik in-to-m TeTiicoTs-Tcore : y; oobç ô[j,î>v y.aTsu8iv£i4. — ^«.or
C5^C ItGI&UJG GÉ0<\.0it00t01t °. - CRCG.W.I 2sl6 (vq^JOtlÇ^ ^Cvl •M.Tia.ipK'^ : SlStOÇ èijéSTpaTCTat ô TOIOU-
1) Cf. la règle 4.
2) Cf. la règle 10.
3) Ezéchiel, xxvii, 24.
4) Ezéchiel, xviii, 25.
5) Psaume, xxxvii, 13. Cette phrase manque dans le texte grec.
Peut-on trouvée encoee
11) D'autres racines prennent un t à la fin au passif; d'autres éprouvent une trans-
position des consonnes d'une syllabe à une autre : presque toujours les voyelles éprouvent
un changement, et surtout & se change en o. Voici des exemples :
cçou-op, avec suffixe cçoTtop; suivi de l'accusatif cooTep; au passif cooiropT.
uj^kuj, avec suffixe ujiMio^uj; suivi de l'ace, uj^ncuj; au passif uj^hots-ujt et «$*yrceu''uj.
Th. ceai&ujT 1.
ujopûîp, au passif ujcpujopT (th.).
TOiv&em, Ton-fn^ TottTeti; avec suffixe -©ett^ûjre ou T6tt*û)it et en thébain tsitom; suivi de
l'aCC TGtv&en, TCit-atort, TÏtTGti (th.), au passif Ten-e-tonr.
De même les verbes cwoim et cmotteh admettent les deux formes devant l'accusatif/
coTcn. et coioTs-tt, coirTeii et coTTfoti2. cmo^ fait au passif cmcav^t et en thébain cAv«.Av.e.iN.t.
Les exemples suivants se rapportent plus particulièrement à la règle :
passif mobo
coé1r
passif
cofi-^
»
ceÊTfùT
ttiVUJT
kujot
oj&.I
»
ouj
hoj5t
UJMô.
UJOM
cnrfi&uj
»
uj'i\.e>.o_
»
otox
oo'iW
»
ccM.ni
CAtOttT
oopuj
»
0j50uj
12)
D'autres formes verbales
prennent au passif
la désinence coo^t. Voici les quelques
exemples
que j'ai pu recueillir :
KCttI
passif
kcï1iCÙOTTT
(pepi
passif
(pGpitOOTT
mot
jw.coott
01
»
c.w.OT » CM^pCOOTT
Comme on a pu le voir dans les exemples précités, certains verbes ont deux désinences
passives; il ne faut pas s'en étonner, car les substantifs ont parfois deux pluriels, comme
iVMUJG, pl. Ô.MUJKOT et a.w.UJHOTI; ÉG^g, pl. ÊG^ÇHOT et ÊG^ÇHOTI ; GOG, pl. 60H01T et GOtoOT j
Kl, pl. H0T5- et HOTi; pGMÇC, pl. pCM.ÇCff et pCMOHOTI.
Tout ce qui précède a rapport aux formes passives; il faut maintenant dire quelques
mots de l'emploi du passif.
Les formes passives s'emploient surtout au participe avec e-r, e<j, ce, en-, epe, etc., comme
je l'ai remarqué souvent dans les manuscrits qui m'ont fourni les exemples cités. Il s'emploie
aussi quelquefois aux autres temps. Par exemple : oeu ^ooitop gtcotti ctmhp c ocuhots-o : 6iç««u-
poi s'y.Aey.Toi Se8e[*svo[ c;(Oivîo;ç3. — tgtkoik in-to-m TeTiicoTs-Tcore : y; oobç ô[j,î>v y.aTsu8iv£i4. — ^«.or
C5^C ItGI&UJG GÉ0<\.0it00t01t °. - CRCG.W.I 2sl6 (vq^JOtlÇ^ ^Cvl •M.Tia.ipK'^ : SlStOÇ èijéSTpaTCTat ô TOIOU-
1) Cf. la règle 4.
2) Cf. la règle 10.
3) Ezéchiel, xxvii, 24.
4) Ezéchiel, xviii, 25.
5) Psaume, xxxvii, 13. Cette phrase manque dans le texte grec.