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Le tombeau d'Am-n-t'eh, etc.
entre dans la composition du nom () f^^^H^j-o^l' doive se rapprocher de
_%_o, enfermer, fermeture; niais il serait peut-être téméraire d'insister là-dessus1.
Cet examen du titre d'Am-n-t'eh m'a entraîné un peu loin; je reviens à la description
de son tombeau.
Il est facile d'en déterminer remplacement avec précision. Il est situé immédiatement à
I_ . côté de la tombe d'Amenemheb, qui est bien con-
nue, au-dessus de celle de Eekhmarâ, qui ne l'est
pas moins. Il se compose (figure 1) d'une galerie
tp- donnant accès, à droite et à gauche, dans deux
petites chambres au fond desquelles se trouve
une niche. Une longue galerie, perpendiculaire
à la première, conduit à une troisième chambre,
un peu plus grande que les autres, et contenant
également une niche. Cette dernière salle est
voûtée.
A l'extérieur, à droite et à gauche de la
porte A A', des inscriptions en creux étaient gra-
vées sur la pierre. On n'en peut plus lire qu'un
petit nombre de signes. Sur les parois A B et
AB', on avait aussi sculpté des scènes et des
inscriptions. Du côté A' B, la destruction est à peu près complète ; du côté A B, au-dessus
d'un homme et d'une femme debout, est une inscription assez détériorée, en neuf lignes
verticales d'inégale longueur. Voici ce que j'en ai pu lire. Je dispose ici les lignes horizon-
talement, et j'avertis une fois pour toutes que je ferai constamment de même :
m
o
o
Ligne 5. ^ ^ —\ \ (11% \ * [L% \ 1 Ligne 6
1) J'aurais voulu également lire Teka-sotem, celui qui voit et qui entend (de ^ jj^GsED voir et
entendre) le nom S^v^^f cl'uu autre . mentionné dans l'inscription d'une grande
cuve de pierre du Musée do Boulaq (Salle de l'ancien empire). Un tel nom convenait admirablement à un
surveillant: mais, sur l'observation qu'il existe un mot j) ffi Qjj «sourd», qui ressemble encore plus à
S .1° cl'ois devoir renoncer à faire valoir cet exemple.
1
Le tombeau d'Am-n-t'eh, etc.
entre dans la composition du nom () f^^^H^j-o^l' doive se rapprocher de
_%_o, enfermer, fermeture; niais il serait peut-être téméraire d'insister là-dessus1.
Cet examen du titre d'Am-n-t'eh m'a entraîné un peu loin; je reviens à la description
de son tombeau.
Il est facile d'en déterminer remplacement avec précision. Il est situé immédiatement à
I_ . côté de la tombe d'Amenemheb, qui est bien con-
nue, au-dessus de celle de Eekhmarâ, qui ne l'est
pas moins. Il se compose (figure 1) d'une galerie
tp- donnant accès, à droite et à gauche, dans deux
petites chambres au fond desquelles se trouve
une niche. Une longue galerie, perpendiculaire
à la première, conduit à une troisième chambre,
un peu plus grande que les autres, et contenant
également une niche. Cette dernière salle est
voûtée.
A l'extérieur, à droite et à gauche de la
porte A A', des inscriptions en creux étaient gra-
vées sur la pierre. On n'en peut plus lire qu'un
petit nombre de signes. Sur les parois A B et
AB', on avait aussi sculpté des scènes et des
inscriptions. Du côté A' B, la destruction est à peu près complète ; du côté A B, au-dessus
d'un homme et d'une femme debout, est une inscription assez détériorée, en neuf lignes
verticales d'inégale longueur. Voici ce que j'en ai pu lire. Je dispose ici les lignes horizon-
talement, et j'avertis une fois pour toutes que je ferai constamment de même :
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Ligne 5. ^ ^ —\ \ (11% \ * [L% \ 1 Ligne 6
1) J'aurais voulu également lire Teka-sotem, celui qui voit et qui entend (de ^ jj^GsED voir et
entendre) le nom S^v^^f cl'uu autre . mentionné dans l'inscription d'une grande
cuve de pierre du Musée do Boulaq (Salle de l'ancien empire). Un tel nom convenait admirablement à un
surveillant: mais, sur l'observation qu'il existe un mot j) ffi Qjj «sourd», qui ressemble encore plus à
S .1° cl'ois devoir renoncer à faire valoir cet exemple.
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