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Institut Français d'Archéologie Orientale <al-Qāhira> [Hrsg.]; Mission Archéologique Française <al-Qāhira> [Hrsg.]
Recueil de travaux relatifs à la philologie et à l'archéologie égyptiennes et assyriennes: pour servir de bullletin à la Mission Française du Caire — 10.1888

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Nr. 1-2
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Maspero, Gaston: La pyramide de Mirinrî Ier, [2]
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Aurès, Auguste: Théorie de l'arpentage chez les Assyriens
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https://doi.org/10.11588/diglit.12257#0035
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Théorie de l'arpentage chez les Assyriens.

29

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Pour compléter la description de ces chambres, j'ajouterai, qu'en remuant les blocs dont
elles sont encombrées, j'en ai trouvé un, mais un seul, qui portât un fragment d'inscription
assez long- pour former un sens. D'après l'aspect de la pierre et la disposition matérielle des
lignes, il provenait du couloir qui séparait la chambre de l'Est et la chambre de l'Ouest :

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Ftyl f\ t\ Chaque liirnc a perdu environ les deux tiers de sa longueur.

(La suite prochainement.)

THÉORIE DE L'ARPENTAGE CHEZ LES ASSYRIENS.

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A. Aurès.
chapitre premier.

Pratiques de l'arpentage proprement dit.

Les anciennes pratiques des arpenteurs assyriens ne peuvent être bien comprises qu'à
la condition de posséder au préalable une connaissance exacte des mesures de longueur et
de superficie dont ces arpenteurs se servaient autrefois, mesures qui ne sont malheureuse-
ment connues aujourd'hui que d'une manière bien insuffisante et même bien imparfaite.

M. J. Oppert a pourtant essayé de résoudre ce difficile problème, dans un mémoire
lu à l'Académie des Inscriptions, au commencement de l'année 1886, imprimé ensuite dans
le n" IV de la Revue d'Assyriologie et d'Archéologie orientale, et publié, en dernier lieu, en
tirage à part, chez Ernest Leroux, éditeur à Paris. Mais les résultats de cette tentative n'ont
pas été heureux.

Voici d'abord, si les opinions émises par M. Oppert pouvaient être adoptées, quels
seraient les noms des mesures linéaires dont les arpenteurs assyriens auraient fait usage et les
rapports mutuels établis entre ces diverses mesures :

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