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Adamek, Tadeusz: Gotycki kielich z kościoła farnego świętego Krzyża w Tczewie
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.36973#0058
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TADEUSZ ADAMEK
szlachetność grawerunków i maestria wykonania najdrobniejszych szcze-
gółów zarówno konstrukcyjnych, jak i dekoracyjnych przemawiają za
wykonaniem go w jednym z warsztatów gdańskich. Na odwrocie stopy
kielicha, obok wymienionych już inskrypcji, znajduje się wyraźnie wy-
bity znak w gotyckiej tarczy herbowej, przedstawiający stylizowaną
literę L. Nie występuje on jednak na innych złotniczych wyrobach gdań-
skich i nie jest wymieniany w opracowaniach poświęconych znakom
złotniczym 27. Znaki zbliżone do niego nie wchodzą w rachubę, ponieważ
spotykamy je dopiero na obiektach znacznie późniejszych. Nie może on
być więc wskazówką prowadzącą do konkretnego złotnika lub warsztatu.
CALICE GOTHIQUE DE I/EGLISE PAROISSIALE DE TCZEW
Resume
Le calice gothiąue datant de 1492 et conserve avec soin dans 1’eglise Sainte-
-Croix a Tczew est incontestablement un des meilleurs et des plus caracteristiąues
ouvrages d’orfevrerie sur le territoire de Tancienne Prusse Royale. II n’est -dailleurs
pas ;seul a constituer le tresor de cette eglise: s’y ajoutent d’autres pieces d’or-
fevrerie, ausisi bien gothiąues ąue posterieures (un grand reliąuaire en croix de la
fin du XV-e sie-cle, un second calice gothiąue de 1451, un ostensoir baroąue et
ąueląues autres vases sacrees).
Le calice qui nous interesise fut probablament achete en 1492 contrę la somme
de 4 marlks et 19 florins a 1’usage de la Congregation Sacerdotale de Tczew. Une
inscription en allemand (hoch-mitteldeutsch) et en latin gravee au revers du pied
en temoigne. Des le debut il fut installe a 1’eglise paroissiale de Tczew. II en est
mention dans l’acte de viisitation de 172,9, dans l’inventaire fait par X. Krolau.
II ne fut par contrę jamads la propriete des dominicains de Tczew, cornme voulait
le faire croire J. Heise (J. H e i s, e, Die Bau- und Kunstdenkmaler der Provinz
Westpreussen, I, Danzig 1884—89, p. 170).
Le calice est effectue en. angent cannele et grave, il est entierement dore.
II mesure 205 mm de hauteur, le diametre. du pied est 1.38 mm, le diametre de la
couipe — 107 mm. Le pied se ramifie a la base formant les six parts separees
par des branches sculptees; en montant, il atteigne un grand noeud archiitectoniąue
et une large couipe reposant sur une basise corbeille. Les ramifications du pied
representent six scen es gravees: Grucifiction, Assomption, Sainte Catherine d’Alex-
andrie, Saint Martin, Sainte Barbe et Ascension. Toutes les scenes sont incontesta-
blement l’oeuvre du meme artiste: Tarrangement des parrures, le dessin des figures,
Temiploi du clair-obscur le prouvent. La perfection de la techniąue et la delicatesse
du dessin meritent surtout une attention toute speciale. Une pareille decoration
des ramifications du pied presentent les vases sacrees conservees dans les eglises
Notre-Dame et Saint Jean l’Evangeliste a Kwidzyn, dans Teglise Sainte Annę
a Lubawa, dans Teglise paroissiale a Rumian et dans la cathedrale de Wilno dont
27 M. Rosenberg, Die Goldschmiede Merkzeichen, Frankfurt am Main 1890;
L. Lepszy, Przemysł złotniczy w Polsce, Kraków 1933.
TADEUSZ ADAMEK
szlachetność grawerunków i maestria wykonania najdrobniejszych szcze-
gółów zarówno konstrukcyjnych, jak i dekoracyjnych przemawiają za
wykonaniem go w jednym z warsztatów gdańskich. Na odwrocie stopy
kielicha, obok wymienionych już inskrypcji, znajduje się wyraźnie wy-
bity znak w gotyckiej tarczy herbowej, przedstawiający stylizowaną
literę L. Nie występuje on jednak na innych złotniczych wyrobach gdań-
skich i nie jest wymieniany w opracowaniach poświęconych znakom
złotniczym 27. Znaki zbliżone do niego nie wchodzą w rachubę, ponieważ
spotykamy je dopiero na obiektach znacznie późniejszych. Nie może on
być więc wskazówką prowadzącą do konkretnego złotnika lub warsztatu.
CALICE GOTHIQUE DE I/EGLISE PAROISSIALE DE TCZEW
Resume
Le calice gothiąue datant de 1492 et conserve avec soin dans 1’eglise Sainte-
-Croix a Tczew est incontestablement un des meilleurs et des plus caracteristiąues
ouvrages d’orfevrerie sur le territoire de Tancienne Prusse Royale. II n’est -dailleurs
pas ;seul a constituer le tresor de cette eglise: s’y ajoutent d’autres pieces d’or-
fevrerie, ausisi bien gothiąues ąue posterieures (un grand reliąuaire en croix de la
fin du XV-e sie-cle, un second calice gothiąue de 1451, un ostensoir baroąue et
ąueląues autres vases sacrees).
Le calice qui nous interesise fut probablament achete en 1492 contrę la somme
de 4 marlks et 19 florins a 1’usage de la Congregation Sacerdotale de Tczew. Une
inscription en allemand (hoch-mitteldeutsch) et en latin gravee au revers du pied
en temoigne. Des le debut il fut installe a 1’eglise paroissiale de Tczew. II en est
mention dans l’acte de viisitation de 172,9, dans l’inventaire fait par X. Krolau.
II ne fut par contrę jamads la propriete des dominicains de Tczew, cornme voulait
le faire croire J. Heise (J. H e i s, e, Die Bau- und Kunstdenkmaler der Provinz
Westpreussen, I, Danzig 1884—89, p. 170).
Le calice est effectue en. angent cannele et grave, il est entierement dore.
II mesure 205 mm de hauteur, le diametre. du pied est 1.38 mm, le diametre de la
couipe — 107 mm. Le pied se ramifie a la base formant les six parts separees
par des branches sculptees; en montant, il atteigne un grand noeud archiitectoniąue
et une large couipe reposant sur une basise corbeille. Les ramifications du pied
representent six scen es gravees: Grucifiction, Assomption, Sainte Catherine d’Alex-
andrie, Saint Martin, Sainte Barbe et Ascension. Toutes les scenes sont incontesta-
blement l’oeuvre du meme artiste: Tarrangement des parrures, le dessin des figures,
Temiploi du clair-obscur le prouvent. La perfection de la techniąue et la delicatesse
du dessin meritent surtout une attention toute speciale. Une pareille decoration
des ramifications du pied presentent les vases sacrees conservees dans les eglises
Notre-Dame et Saint Jean l’Evangeliste a Kwidzyn, dans Teglise Sainte Annę
a Lubawa, dans Teglise paroissiale a Rumian et dans la cathedrale de Wilno dont
27 M. Rosenberg, Die Goldschmiede Merkzeichen, Frankfurt am Main 1890;
L. Lepszy, Przemysł złotniczy w Polsce, Kraków 1933.