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LES OBLATIONS
Une prophétie « post eventum » prédisant la conquête arabe et les
malheurs qui devaient s'ensuivre, montre clairement que la messe
était impossible sans les offrandes des fidèles : « beaucoup d'églises
seront privées de sacrifices le samedi et le saint jour du dimanche,
parce que les aumônes, les dons votifs, les offrandes pour la messe
[Aara&in], le vin auront disparu de sur la terre par la suite des taxes '> (i).
La coutume d'apporter du pain, du vin ou d'autres produits agricoles
pour les présenter au prêtre au début de la messe, remonte aux origines
du christianisme. En Égypte, elle est restée en vigueur plus longtemps
qu'ailleurs (par exemple, plus longtemps qu'à Byzance (^)). Encore
à la fin des années vingt du xx<= siècle, lorsque C. Kopp faisait son
<s des Coptes, certains vieillards
du vin (3).
moralement obligatoires ; ce-
rir était laissée à la discrétion
un nécessaires à l'eucharistie
:s. Telle est la situation à la
iarche d'Alexandrie, écrit ('*) :
TÙ Ta etç
/tacdcouar Mat ^*re
Mà ot TbbyptKot %at
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ie(i, à ses p'déies, Revue de l'Orient
Été écrit par Pisenthios, à qui il est
p, cf. G. GRAF, GeseAicAie der eArisl-
} légèrement modifié la traduction
ès les indications que j'ai obtenues
t:casion pour le remercier vivement
pour moi la traduction de quelques
' particulièrement importants,
des IViederAderus, p. 429-430. À
ndant des siècles, mais sans avoir
i-eAen PO'rcAe, Orientialia Christia-
LES OBLATIONS
Une prophétie « post eventum » prédisant la conquête arabe et les
malheurs qui devaient s'ensuivre, montre clairement que la messe
était impossible sans les offrandes des fidèles : « beaucoup d'églises
seront privées de sacrifices le samedi et le saint jour du dimanche,
parce que les aumônes, les dons votifs, les offrandes pour la messe
[Aara&in], le vin auront disparu de sur la terre par la suite des taxes '> (i).
La coutume d'apporter du pain, du vin ou d'autres produits agricoles
pour les présenter au prêtre au début de la messe, remonte aux origines
du christianisme. En Égypte, elle est restée en vigueur plus longtemps
qu'ailleurs (par exemple, plus longtemps qu'à Byzance (^)). Encore
à la fin des années vingt du xx<= siècle, lorsque C. Kopp faisait son
<s des Coptes, certains vieillards
du vin (3).
moralement obligatoires ; ce-
rir était laissée à la discrétion
un nécessaires à l'eucharistie
:s. Telle est la situation à la
iarche d'Alexandrie, écrit ('*) :
TÙ Ta etç
/tacdcouar Mat ^*re
Mà ot TbbyptKot %at
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ie(i, à ses p'déies, Revue de l'Orient
Été écrit par Pisenthios, à qui il est
p, cf. G. GRAF, GeseAicAie der eArisl-
} légèrement modifié la traduction
ès les indications que j'ai obtenues
t:casion pour le remercier vivement
pour moi la traduction de quelques
' particulièrement importants,
des IViederAderus, p. 429-430. À
ndant des siècles, mais sans avoir
i-eAen PO'rcAe, Orientialia Christia-