Le charivari (16.1847)

LES BONS BOIMMOIS.

m

ur un chou dont la
baptismaux parla g

st à l'ordre du jour ^ J
eu parle dans les - *

re. Ou s'aborde en 5e ^ ^

ictionnaire le survejijî?1
it un grenadier

itions actuelles du
sûr qu'il chantera
ses vaches noires •
taies en son honneur-T
lans ses commentaires t'

itte pour aller vaquer j,
on derviche.

UN GRENADIER,

i a monté la garde autou
chou-cabus.

«Français.

et, comédie en deux 54
Léon Laya

était question depuis lmj
1 trois actes. M Léonin
érience, fut le premier à li
s que le sujet ne se p*
t il réduisit son œuvre II
le que cette précaution 11
sou cadre, bien que

ût rempli. Le premier a
assez longue et assez frit
qu'à la dernière scène. ll]i
is le second, et aussi plus (
gueurs dans la scènuntre

5nore laquelle des de«
r le sort, car il s'est

s cette comédie est
n, sans que le soupçon îi
M. Léon Laya, car
é la représentation du va

nan fort endetté, est soi
ntre la main d'une riche i
•cé à la maison de Ci
olie et spirituelle. Lejsm
ait pas, l'épouserait te]"
>ortrait, s'il n'était épris*
e marquise est mariée;*
3 peut disposer de son «
on, écrit pour refuser le t
les idées plus sages pari
icritdans le sens contn:
entre ses mains : laquelle1
barras du choix, il s'en re

lansquenet décidera de) ^^"m***"* „ ^,^>^„j;,^^^^- .

GkditatïïielaBinim.

ïïll:rSS-J _ & knk mimmè zéro.... Al jenemétome jûns si celtenmtfèl.m \

it oui est d'ailleurs s* 0 . ' , .

lux amené. L'indiscrétion^ crjacè 3UJ)reS de Ï01, hbOJlïïB ! W

yen trop vulgaire. Le re|
provoqué par un incident':
>mmérage.

; donnée VétoSe d'un
i Laya eu a fait une o>
a bien réussi.
(La suite à la 4« f0&

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