ixS OEUYBÉ DE P. V, EL
du nom de Jonck heer, nous en ajoutons
une troisième qui ne porte pas son nom,
mais qui est incontestablement de ce même
artiste. Sa dimension étant la même que
celles des pièces 3, 4 et 6, nous ne dou-
tons pas, que ces morceaux n'aient été ori-
ginairement destinés à former une suite.
3, Les deux dogues qui se mordent.
L'un d'eux, sur la gauche de l'estampe,
qui paroît. être le vainqueur, a sa patte
gauche de devant posée sur le dos de son
adversaire qu'il mord dans le cou, tandis
qu'il retire sa jambe droite que l'autre
mord à son tour. Ce dernier est à moitié
terrassé, et paroit. succomber.
du nom de Jonck heer, nous en ajoutons
une troisième qui ne porte pas son nom,
mais qui est incontestablement de ce même
artiste. Sa dimension étant la même que
celles des pièces 3, 4 et 6, nous ne dou-
tons pas, que ces morceaux n'aient été ori-
ginairement destinés à former une suite.
3, Les deux dogues qui se mordent.
L'un d'eux, sur la gauche de l'estampe,
qui paroît. être le vainqueur, a sa patte
gauche de devant posée sur le dos de son
adversaire qu'il mord dans le cou, tandis
qu'il retire sa jambe droite que l'autre
mord à son tour. Ce dernier est à moitié
terrassé, et paroit. succomber.