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il m'a semblé utile de les signaler à l'attention des
chimistes et des experts légistes.
Ces corps réputés si instables, et que l'état de nos
connaissances chimiques nous permettent à peine de
caractériser exactement, peuvent donc, sous certaines
influences et dans certains milieux, résister indéfini-
ment ?
Une expérience d'une durée de 3 à 4,000 ans n'est
pas chose commune, étant donnée la fragilité humaine.
Les résultats fournis par la mystérieuse momie de
Deïr-el-Bahari me semblent un fait acquis, une donnée
précieuse. .
Qui résiste le plus longtemps aux influences des di-
vers milieux :
Les bases végétales ?
Ou les bases cadavériques ?
Je me permets toutefois en passant de conseiller aux
habiles savants du Musée de Boulacq d'apporter dans
le dépouillement des momies la plus extrême pru-
dence ; cette opération est une véritable autopsie, elles
piqûres accidentelles peuvent atteindre la gravité de
toute piqûre anatomique.
il m'a semblé utile de les signaler à l'attention des
chimistes et des experts légistes.
Ces corps réputés si instables, et que l'état de nos
connaissances chimiques nous permettent à peine de
caractériser exactement, peuvent donc, sous certaines
influences et dans certains milieux, résister indéfini-
ment ?
Une expérience d'une durée de 3 à 4,000 ans n'est
pas chose commune, étant donnée la fragilité humaine.
Les résultats fournis par la mystérieuse momie de
Deïr-el-Bahari me semblent un fait acquis, une donnée
précieuse. .
Qui résiste le plus longtemps aux influences des di-
vers milieux :
Les bases végétales ?
Ou les bases cadavériques ?
Je me permets toutefois en passant de conseiller aux
habiles savants du Musée de Boulacq d'apporter dans
le dépouillement des momies la plus extrême pru-
dence ; cette opération est une véritable autopsie, elles
piqûres accidentelles peuvent atteindre la gravité de
toute piqûre anatomique.