3MPTE RENDU DU IVme CONGRÈS INTERNATIONAL, ETC. 303
=ie la caverne ou selon qu'elle est vide ou remplie de pus.
=} les épanchements pleurétiques et les hydro-pneumothq-
=3aduisent par des opacités à formes spéciales. On constate
EEEnution dans l'ascension et la descente du diaphragme.
—[avons vu entre autres, un cas spécialement intéressant à
"E=Tenon et donnant presque des détails d'anatomie patho-
-=jur le vivant. Il s'agissait d'un hydro pneumothorax dans
-EEEi constatait de visu le phénomène de la succession
-j=|tique. On voyait en effet les ondulai ions du liquide en
=le malade devant l'écran fluorescent, et l'obscurité corres-
_=ËÉ& l'épanchemcnl changeait d'aspect selon la position du
=D;ms un autre cas d'hydro-pneumothorax, on voyait le
|=rétract,é vers le hile, dépasser de plusieurs travers de
EEE niveau du liquide. Cette surélévation du sommet du
~==j,'expliquait par la présence d'une adhérence fibreuse dont
-ge projetait nettement sur l'écran et dont on n'aurait
~^=l connaître l'existence par un autre mode d'investigation.
-jtres lésions pulmonaires non tuberculeuses ont d'autres
~~jgnostiques caractéristiques dans le détail desquels il serait
-==q d'entrer sans trop prolonger ce compte rendu.
= thndf» des rayons X permet donc, dans certains cas. de
JËËËCS altérations des poumons dès le début alors que les autres
_^=jd'investigation clinique ne donnent aucune indication.
=|tdans d'autres cas préciser l'importance et l'étendue d'une
==juffisammeut révélée par l'auscultation et la percussion ou
=risé à rejeter l'hypothèse de tuberculose dans des cas où
—f.Amna fonctionnels et les signes physiques douteux met-
•^=inicien dans l'embarras.
-jla radioscopie permet souvent de rapporter par une véri-
-=jivaillc d'examen, à leur véritable origine, des troubles
-=d que l'observation et la clinique seules ne permettent pas
JËËpmr.
= ioscopie n'est pas seulement une méthode de contrôle
==f't ou appuyant utilement les résultats fournis par les
== usuels, mais elle donne encore des indications nouvelles,
— snns nos yeux le jeu de l'appareil respiratoire, la valeur
=|elle d'un poumon, les adhérences pleurales, les parésies
=ie la caverne ou selon qu'elle est vide ou remplie de pus.
=} les épanchements pleurétiques et les hydro-pneumothq-
=3aduisent par des opacités à formes spéciales. On constate
EEEnution dans l'ascension et la descente du diaphragme.
—[avons vu entre autres, un cas spécialement intéressant à
"E=Tenon et donnant presque des détails d'anatomie patho-
-=jur le vivant. Il s'agissait d'un hydro pneumothorax dans
-EEEi constatait de visu le phénomène de la succession
-j=|tique. On voyait en effet les ondulai ions du liquide en
=le malade devant l'écran fluorescent, et l'obscurité corres-
_=ËÉ& l'épanchemcnl changeait d'aspect selon la position du
=D;ms un autre cas d'hydro-pneumothorax, on voyait le
|=rétract,é vers le hile, dépasser de plusieurs travers de
EEE niveau du liquide. Cette surélévation du sommet du
~==j,'expliquait par la présence d'une adhérence fibreuse dont
-ge projetait nettement sur l'écran et dont on n'aurait
~^=l connaître l'existence par un autre mode d'investigation.
-jtres lésions pulmonaires non tuberculeuses ont d'autres
~~jgnostiques caractéristiques dans le détail desquels il serait
-==q d'entrer sans trop prolonger ce compte rendu.
= thndf» des rayons X permet donc, dans certains cas. de
JËËËCS altérations des poumons dès le début alors que les autres
_^=jd'investigation clinique ne donnent aucune indication.
=|tdans d'autres cas préciser l'importance et l'étendue d'une
==juffisammeut révélée par l'auscultation et la percussion ou
=risé à rejeter l'hypothèse de tuberculose dans des cas où
—f.Amna fonctionnels et les signes physiques douteux met-
•^=inicien dans l'embarras.
-jla radioscopie permet souvent de rapporter par une véri-
-=jivaillc d'examen, à leur véritable origine, des troubles
-=d que l'observation et la clinique seules ne permettent pas
JËËpmr.
= ioscopie n'est pas seulement une méthode de contrôle
==f't ou appuyant utilement les résultats fournis par les
== usuels, mais elle donne encore des indications nouvelles,
— snns nos yeux le jeu de l'appareil respiratoire, la valeur
=|elle d'un poumon, les adhérences pleurales, les parésies