DOI Artikel:
Séance du Comité du 7 juin 1858
DOI Artikel:Séance générale du 19 juin 1858
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que les comptes seronl definitivement arretös et approuves
ä la fm de chaque annee, sauf ä les presenter ensuite ä la
sanclion de l'assemblee generale, conformement aux statuts.
La seance est levee ä une heure et demie.
Sfrmce generale du 19 juin 1858.
Presidence de M. le PREFET, president honoraire.
La seance est ouverte ä 2 heures 1/4.
M. le Prefet, president honoraire, s'exprime ainsi:
«Messieurs, en venant presider votre troisieme reunion,
je ne crois plus necessaire de vous donner des esperances
ni d'encourager vos efforts par la perspective du succes.
Tous ceux auxquels votre societe pouvait pretendre ont ete
obtenus et vous etes arrives ä ce moment oü l'action, rem-
plagant la parole, a plus qu'elle d'eloquence et de persuasion.
«Vos travaux ontnon-seulement preserve quelques ruiries
d'une perte imminente, mais ils les ont sauvees toutes, en
constatant leur valeur et en reveillant un interet qui sem-
blait s'eloigner. Vos memoires ont pris rang parmi ceux des
societes savantes, et ainsi se trouve verifie et realise ce que
j'avais l'honneur de vous dire il y a trois ans.
« Puis, apres, le compter endu de ces travaux, les faits qu'ils
mettent en lumiere constitueront un bulletin interessant,
un Supplement progressif et continuel aux savantes publica-
tions dont l'Alsace a conserve l'habitude.
«Aussi, Messieurs, je viens ici pour vous ecouter et non
pour parier. Je laisse la parole aux evenements, c'est-ä-dire
aux resultats de vos travaux, dont personne ne saurait
que les comptes seronl definitivement arretös et approuves
ä la fm de chaque annee, sauf ä les presenter ensuite ä la
sanclion de l'assemblee generale, conformement aux statuts.
La seance est levee ä une heure et demie.
Sfrmce generale du 19 juin 1858.
Presidence de M. le PREFET, president honoraire.
La seance est ouverte ä 2 heures 1/4.
M. le Prefet, president honoraire, s'exprime ainsi:
«Messieurs, en venant presider votre troisieme reunion,
je ne crois plus necessaire de vous donner des esperances
ni d'encourager vos efforts par la perspective du succes.
Tous ceux auxquels votre societe pouvait pretendre ont ete
obtenus et vous etes arrives ä ce moment oü l'action, rem-
plagant la parole, a plus qu'elle d'eloquence et de persuasion.
«Vos travaux ontnon-seulement preserve quelques ruiries
d'une perte imminente, mais ils les ont sauvees toutes, en
constatant leur valeur et en reveillant un interet qui sem-
blait s'eloigner. Vos memoires ont pris rang parmi ceux des
societes savantes, et ainsi se trouve verifie et realise ce que
j'avais l'honneur de vous dire il y a trois ans.
« Puis, apres, le compter endu de ces travaux, les faits qu'ils
mettent en lumiere constitueront un bulletin interessant,
un Supplement progressif et continuel aux savantes publica-
tions dont l'Alsace a conserve l'habitude.
«Aussi, Messieurs, je viens ici pour vous ecouter et non
pour parier. Je laisse la parole aux evenements, c'est-ä-dire
aux resultats de vos travaux, dont personne ne saurait