George, par la veuve Marguerite de Deux-Ponts-Bitchc, née de Féné-
trange, son frère Jean de Fénétrange, et Frédéric d’Ochsenslein1.
En Fin, Hugues, Hug von Geroltzegke, est témoin d’un accord entre
George de Ilohengeroldseck de Tübingen et son frère Henri, le 20 novem-
bre 1370 (an dem mittewochen nach S. Elisabethenlag)2. C’est la dernière
fois que nous avons rencontré son nom.
Hugues II fut-il marié et laissa-t-il des descendants? On ne saurait l’af-
firmer. Mais il est question dans une charte du 15 juillet 1370 (dunresdage
uf der zwelf hotten Scheidungen) d’un certain Jungherrn Symonde von Ge-
roltzecke, qui, de concert avec Jean le Jeune, sire de Ribeaupierre, Jean
d’Eschcry, Otbon de Girsberg, les villes de Strasbourg, de Colmar et de
Münster, fait la paix avec Marie de Chat il Ion de Blois, duchesse de Lor-
raine, et les chanoines de Saint-Dié3. En 1370, la famille de Geroldseck
était fort réduite; car de ses nombreuses branches, une seule avait en-
core des représentants et, parmi ces représentants, il n’y en avait que
deux qui ne fussent pas voués au célibat en qualité de prêtres: Hugues II
et Frédéric, son frère. Or les enfants deFrédéric sont nommés dans beau-
coup de pièces et on n’v range jamais qu’un fils, Volmar. Il faut donc que
ce jeune Symon soit ou un fils de Hugues II, ou un fils de Frédéric, mort
très-peu de temps après son père; la première hypothèse nous paraît la plus
vraisemblable.
Frédéric, qui est souvent nommé avec ses frères, figure en outre dans
les pièces suivantes : le 25 mai 1362, il s’allie, en même temps que son
cousin, le Stenlzler, aux villes et aux principaux dynastes d’Alsace, pour
repousser l’invasion anglaise4.
Le 16 janvier 1366, il est mentionné dans l’instrument d’une paix pu-
blique conclue pour deux ans3.
Sa mort suivit probablement à trois ou quatre années d’intervalle. De
son mariage avec Walpurge, fille de Volmar, comte de Lützelstein, et
d’Adélaïde de Fénétrange, il eut quatre enfants: un fils, Volmar, et trois
filles, Adélaïde, Gunégonde et Catherine (?).
La dernière de ces filles, dont le prénom n’est pas exactement connu,
vivait encore en 1381, mais elle mourut avant son frère et sans avoir été
mariée.
1. Archives de Darmstadt (Lehmann, op. eit., t. II, p. 92); voy. ci-dessus, p. 51.
2. Pragm. Gesch. des Hanses Geroldseck, Urk., n° 28, p. 75.
3. Schoepflin, Als. dipl., n° 1044.
4. Laguille, Hist. d'Alsace, preuves, u° 6G.
5 Schoepflin, Als. dipl., n° 1129.
trange, son frère Jean de Fénétrange, et Frédéric d’Ochsenslein1.
En Fin, Hugues, Hug von Geroltzegke, est témoin d’un accord entre
George de Ilohengeroldseck de Tübingen et son frère Henri, le 20 novem-
bre 1370 (an dem mittewochen nach S. Elisabethenlag)2. C’est la dernière
fois que nous avons rencontré son nom.
Hugues II fut-il marié et laissa-t-il des descendants? On ne saurait l’af-
firmer. Mais il est question dans une charte du 15 juillet 1370 (dunresdage
uf der zwelf hotten Scheidungen) d’un certain Jungherrn Symonde von Ge-
roltzecke, qui, de concert avec Jean le Jeune, sire de Ribeaupierre, Jean
d’Eschcry, Otbon de Girsberg, les villes de Strasbourg, de Colmar et de
Münster, fait la paix avec Marie de Chat il Ion de Blois, duchesse de Lor-
raine, et les chanoines de Saint-Dié3. En 1370, la famille de Geroldseck
était fort réduite; car de ses nombreuses branches, une seule avait en-
core des représentants et, parmi ces représentants, il n’y en avait que
deux qui ne fussent pas voués au célibat en qualité de prêtres: Hugues II
et Frédéric, son frère. Or les enfants deFrédéric sont nommés dans beau-
coup de pièces et on n’v range jamais qu’un fils, Volmar. Il faut donc que
ce jeune Symon soit ou un fils de Hugues II, ou un fils de Frédéric, mort
très-peu de temps après son père; la première hypothèse nous paraît la plus
vraisemblable.
Frédéric, qui est souvent nommé avec ses frères, figure en outre dans
les pièces suivantes : le 25 mai 1362, il s’allie, en même temps que son
cousin, le Stenlzler, aux villes et aux principaux dynastes d’Alsace, pour
repousser l’invasion anglaise4.
Le 16 janvier 1366, il est mentionné dans l’instrument d’une paix pu-
blique conclue pour deux ans3.
Sa mort suivit probablement à trois ou quatre années d’intervalle. De
son mariage avec Walpurge, fille de Volmar, comte de Lützelstein, et
d’Adélaïde de Fénétrange, il eut quatre enfants: un fils, Volmar, et trois
filles, Adélaïde, Gunégonde et Catherine (?).
La dernière de ces filles, dont le prénom n’est pas exactement connu,
vivait encore en 1381, mais elle mourut avant son frère et sans avoir été
mariée.
1. Archives de Darmstadt (Lehmann, op. eit., t. II, p. 92); voy. ci-dessus, p. 51.
2. Pragm. Gesch. des Hanses Geroldseck, Urk., n° 28, p. 75.
3. Schoepflin, Als. dipl., n° 1044.
4. Laguille, Hist. d'Alsace, preuves, u° 6G.
5 Schoepflin, Als. dipl., n° 1129.