en Egypte, Syrie; &c. g
car Telles dit que le champ esl plein de petits
arbres , 6c Pais remarque que dans la source
qu'il sonda, la picque dont il se servoit s'ar-
rêta entre les racines des arbres.
Telles décrit ces sources comme ayants été
trouvées dans un champ environné de hautes
montagnes -, ôc Pais nous les represente sur le
sommet d'une Vallée, lequel sommet fait une
espece de Plaine toute environnée de mon-
tagnes. Mais Pais remarque auili que cette
grande Plaine est sur une montagne qui est as-
sez accelsible du côté du Nord ( vray-sembla-
blementparce qu'on y descend des montagnes
de la Lune ) mais de très-difficile accès des au-
tres cotez.
Telles a trouvé ces sources dans un petit Lac3
large en quarré d'environ un jet de pierre ,
plein d'arbriiseaux, dont les racines sont tel-
lement entre-lacées les unes dans les autres,
qu'en été on peut aller desTus. Vray-sembla-
blement Telles les a vues dans une année plus
humide &; dans une autre saison que Pais ; car
quand ce dernier les vit l'eau ne débordoit
point par-desTus la source : mais il remarque
aulli que , quand il se trouva là l'an 161 8, c'é-
toit une année d'une grande secheresse ; Se il
remarque encore expressément que le circuit
de l'endroit où sont les sources a la forme d'un
petit Lac } de rétenduê* d'une pierre jettée
Tom. IL M avec
car Telles dit que le champ esl plein de petits
arbres , 6c Pais remarque que dans la source
qu'il sonda, la picque dont il se servoit s'ar-
rêta entre les racines des arbres.
Telles décrit ces sources comme ayants été
trouvées dans un champ environné de hautes
montagnes -, ôc Pais nous les represente sur le
sommet d'une Vallée, lequel sommet fait une
espece de Plaine toute environnée de mon-
tagnes. Mais Pais remarque auili que cette
grande Plaine est sur une montagne qui est as-
sez accelsible du côté du Nord ( vray-sembla-
blementparce qu'on y descend des montagnes
de la Lune ) mais de très-difficile accès des au-
tres cotez.
Telles a trouvé ces sources dans un petit Lac3
large en quarré d'environ un jet de pierre ,
plein d'arbriiseaux, dont les racines sont tel-
lement entre-lacées les unes dans les autres,
qu'en été on peut aller desTus. Vray-sembla-
blement Telles les a vues dans une année plus
humide &; dans une autre saison que Pais ; car
quand ce dernier les vit l'eau ne débordoit
point par-desTus la source : mais il remarque
aulli que , quand il se trouva là l'an 161 8, c'é-
toit une année d'une grande secheresse ; Se il
remarque encore expressément que le circuit
de l'endroit où sont les sources a la forme d'un
petit Lac } de rétenduê* d'une pierre jettée
Tom. IL M avec