en Egypte J SyriiJ grr:
Chapitre L7 V;
Description de ÏEglife du S. Sepulcbre , avec quelques
autres particularité^ qui appartient à ce Jujet.
E 8. de Novembre, comme on m*apprit Entrée de
que l'Eglise du S. Sepulchre étoitouver- l'Auteur
j-r r \ il 1 r - a /- dans l'Egli-
te, je me dilpoiay a y aller le loir même îur se du s*lnt
les quatre heures. Les Pèlerins Grecs qui Sepulchre.
croient alors à Jerusalem > étoient déjà dans
TEglise ayec les femmes & les enfants, ce qui
faiioitune grande confuiion, qui étoit enco-
re augmentée par le peu de respedl; qu'ils gar-
dent dans leurs exercices de pieté. Le soir on
fit la Proceffîon sélon la coutume. J'y afîïstay
aurli, mais je n'en donneray pas pourtant la
description j on en a allez de connoilTance
par ce qu'en ont écrit ceux qui nous ont don-
né les relations de leurs voyages en ce païs-
là. Les Grecs pafîerent la nuit dans l'Eglise
y firent tant d'extravagances qu'elle res-
sembloit plutôt à une place de marché, qu'à
un lieu où l'on ne doit aller que pour faire ses
dévotions. Lorsque le jour commença à pa-
roître , le bruit cessa Se tout le monde sortit ;
.•de-sorte qu'y étant demeuré seul comme Pè-
lerin étranger 3 seus le tems de voir tout à
Tom. Ma H h Mûr *
Chapitre L7 V;
Description de ÏEglife du S. Sepulcbre , avec quelques
autres particularité^ qui appartient à ce Jujet.
E 8. de Novembre, comme on m*apprit Entrée de
que l'Eglise du S. Sepulchre étoitouver- l'Auteur
j-r r \ il 1 r - a /- dans l'Egli-
te, je me dilpoiay a y aller le loir même îur se du s*lnt
les quatre heures. Les Pèlerins Grecs qui Sepulchre.
croient alors à Jerusalem > étoient déjà dans
TEglise ayec les femmes & les enfants, ce qui
faiioitune grande confuiion, qui étoit enco-
re augmentée par le peu de respedl; qu'ils gar-
dent dans leurs exercices de pieté. Le soir on
fit la Proceffîon sélon la coutume. J'y afîïstay
aurli, mais je n'en donneray pas pourtant la
description j on en a allez de connoilTance
par ce qu'en ont écrit ceux qui nous ont don-
né les relations de leurs voyages en ce païs-
là. Les Grecs pafîerent la nuit dans l'Eglise
y firent tant d'extravagances qu'elle res-
sembloit plutôt à une place de marché, qu'à
un lieu où l'on ne doit aller que pour faire ses
dévotions. Lorsque le jour commença à pa-
roître , le bruit cessa Se tout le monde sortit ;
.•de-sorte qu'y étant demeuré seul comme Pè-
lerin étranger 3 seus le tems de voir tout à
Tom. Ma H h Mûr *