3<r# Voyage au Levant;
Chapitre LXVL
Départ d'une Caravane pour la Mecque. Renversement
£ une maison a Alepy ou meurent quelques Arméniens.
Subtilité de l'air dAlep > & ulcère qui en provient è
^uifqui a une grande famille»
Omme j'ay de de in de rama (Ter dans ce
Chapitre plusîeurs particularitez > qui
prises sép are ment ne pourroient pas fournir
de matière à autant de Chapitres particuliers*
£c que le peu de liaison qu'elles ontensemble
ne me permet pas de m'y proposer aucun or-
dre , j'espere que le Lecteur voudra bien les
recevoir telles que je les lui presente.
Départ d'u- Le 4. d'Octobre il partit d'icy une Carava-
ne ^arava- nfi pOU,r ]a Mecque. Sa marche ordinairement
ne pour la L / 1 N
Mecque, elt allez agréable, a cauie du concours des ha-
bitants qui viennent en foule. Car personne
pour ainsi dire ne demeure à la maison, &
tout le monde > tant les femmes que les hom-
mes sortent de la Ville pour voir partir la Ca-
ravane, qui ne passe qu'une fois Tan. Ceux qui
en font le voyage^quoy qu'ils l'entreprennent
par curiosité ou par dévotion , car il y en a
des uns 6c des autres, n'épargnent rien pour
orner leurs chameaux 6c leurs mulets le plus
propre-
Chapitre LXVL
Départ d'une Caravane pour la Mecque. Renversement
£ une maison a Alepy ou meurent quelques Arméniens.
Subtilité de l'air dAlep > & ulcère qui en provient è
^uifqui a une grande famille»
Omme j'ay de de in de rama (Ter dans ce
Chapitre plusîeurs particularitez > qui
prises sép are ment ne pourroient pas fournir
de matière à autant de Chapitres particuliers*
£c que le peu de liaison qu'elles ontensemble
ne me permet pas de m'y proposer aucun or-
dre , j'espere que le Lecteur voudra bien les
recevoir telles que je les lui presente.
Départ d'u- Le 4. d'Octobre il partit d'icy une Carava-
ne ^arava- nfi pOU,r ]a Mecque. Sa marche ordinairement
ne pour la L / 1 N
Mecque, elt allez agréable, a cauie du concours des ha-
bitants qui viennent en foule. Car personne
pour ainsi dire ne demeure à la maison, &
tout le monde > tant les femmes que les hom-
mes sortent de la Ville pour voir partir la Ca-
ravane, qui ne passe qu'une fois Tan. Ceux qui
en font le voyage^quoy qu'ils l'entreprennent
par curiosité ou par dévotion , car il y en a
des uns 6c des autres, n'épargnent rien pour
orner leurs chameaux 6c leurs mulets le plus
propre-