sbd Voyage au Levant;
Chapitre L V I 11.
Pierres dans lesquelles il parent des rejjemblances de Poif-
Jons. décident malheureux de quelques vaifjeaux dans-
le Port de S- ^ean d'acre. Particularité^ touchant U>
njille de Tripoli. Manière de a/ivre fort extraordi-
naire d'un Saint homme Aiahometan x &c,
Pierre où 1\ P r e' s avoir fini le Chapitre précèdent^
îlparoitdes J~\ par quelque remarque sur les fruits de
reiremblan
ces
depois- Cèdre r nous ne laurions mieux commencer
sous, celui-cy qu'en disant quelque cllose de cer-
taines pierres, oùl'on voitla reisemblance de
diverses sortes de poilsonsrmais si naturelle
qu'on ne sauroit la regarder sans admiration.
On trouve ces pierres au haut d'une monta-
gne à quelques heures de distance de Tripoli
Quand elles son t entièreson n'y voit rien
tout par-dehors ; mais lorsqu'on les casse , en<
les jettant à terre ou en les frappant contre
quelque chose de dur, elles se sendent à pem
près comme les ardoiies, & alors on voit or-
dinairement sur chacun des deux morceaux:
la reisemblance d'un poisson y ou pour mieux
dire de son arrête. A fin d'avoir de ces pierres,
j'envoyay une personne exprès avec un âne:
à la montagne > qui m'en apporta une alsez
grande:
Chapitre L V I 11.
Pierres dans lesquelles il parent des rejjemblances de Poif-
Jons. décident malheureux de quelques vaifjeaux dans-
le Port de S- ^ean d'acre. Particularité^ touchant U>
njille de Tripoli. Manière de a/ivre fort extraordi-
naire d'un Saint homme Aiahometan x &c,
Pierre où 1\ P r e' s avoir fini le Chapitre précèdent^
îlparoitdes J~\ par quelque remarque sur les fruits de
reiremblan
ces
depois- Cèdre r nous ne laurions mieux commencer
sous, celui-cy qu'en disant quelque cllose de cer-
taines pierres, oùl'on voitla reisemblance de
diverses sortes de poilsonsrmais si naturelle
qu'on ne sauroit la regarder sans admiration.
On trouve ces pierres au haut d'une monta-
gne à quelques heures de distance de Tripoli
Quand elles son t entièreson n'y voit rien
tout par-dehors ; mais lorsqu'on les casse , en<
les jettant à terre ou en les frappant contre
quelque chose de dur, elles se sendent à pem
près comme les ardoiies, & alors on voit or-
dinairement sur chacun des deux morceaux:
la reisemblance d'un poisson y ou pour mieux
dire de son arrête. A fin d'avoir de ces pierres,
j'envoyay une personne exprès avec un âne:
à la montagne > qui m'en apporta une alsez
grande: