DOI Heft:
No 8 (1907)
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DES ARTS DECORATIFS ET INDUSTRIELS
61
TOMBEAU D'ISABELLE DE BOURBON. .(D'après une
seulement sont reproduites sur la gravure qui se
trouve dans le Cramai <7zz
Après la destruction de l'église abbatiale, le
monument fut transféré au Musée et placé défi-
nitivement, en 1872, dans la cathédrale à Anvers,
où il est, en quelque sorte, dissimulé derrière le
maître-autel L On ignore l'époque de la dispari-
tion des figurines ; elle doit coïncider avec la Révo-
lution française; elle est, en tout cas, comprise
Bourbon Nous ignorons la source où cette donnée a
été puisée. En tout cas, Sweertius n'en parle pas dans ses
df.77M3773^72ÔZ S^zz/r7*7z7h! ^ Z72.Sr7'7^Ù't77M.S etc. Il
convient d'ajouter qu'il est très sobre de détails ; mais
on a peine à croire que cela ait été inventé de toutes
pièces. Il restait peut-être un quart des figurines à l'épo-
que où le baron Leroy fit faire la gravure du tombeau.
On pourrait se demander où venait se placer la longue
inscription. Elle se trouvait sur l'un des deux petits
côtés, comme c'est le cas pour le tombeau de Marie de
Bourgogne.
1. Il avait été question de placer ce tombeau au Steen,
mais on avait dû renoncer à ce projet faute de place ;
l'emplacement actuel n'est pas heureux : c'est à peine si
les visiteurs se doutent de l'existence du monument.
gravure du TléÂf/z*^ Mr7*<? <zf^7'<7/iz7M 7?T*<zé%T:3.7
entre la date delà gravure, du début de XVHL siècle,
et le transfert de la sépulture L
Le tombeau d'Isabelle portait autrefois une
inscription tracée sur des lames de cuivre qui
avaient déjà disparu à l'époque où le baron Leroy
publiait son ouvrage L II la reproduit d'après But-
kens, qui écrivait au début du xvn" siècle :
Æt'c 7Zob37z'.Mz'77Z<3 7M&//M, 7Z^ ^7z7^C7*7)ïfa
zzf7*z*zzyyzzg ^%7*g7ZfzV (7gT7Z07Z.s77*af^7*o^7*^z'o ÆazTM^/z'z*
C0773z7z'vvz7, Æ27*oA' 7?Z3CM T?C7*bo73z'z' /%'<3 <7<WofzM'z'77Z<2,
Z?0773z'77z' Æ<27*o/3, z7/zz.s77'ZMz'77Zz' T-Vz7ZC7^7y,
Z?gZ ^*7*zzfz'z7 TPzzZ^. Aof^ZZ7*z'7Z^*zip, T?7*zzbz77zfz'cg, Lz'77Z-
bzz7*^*z' Zlzzczit, A7zZ7Zt7. Az'TM'z'a?. 7?ZZ7*^*. ÆzAzfZMzj
Æ?737Z. 77b//. ^2gAz7Zt7. TVù77ZZZ7'CZ. C077ZZ7A, tS. 7773^g-
7*37, AfzZ7'C^zb7Z3V-)$'zz/z'73<r7'7Z77Z, 77bc^7z7zzb? Z?077Zz'7Zzj
ZZ7ZZCz'/?/z'zj C07Z/'7Z% C/^Z?7*Z.MZ'77ZZ2 yzztt? 7727*737773 3Z7ZZC277Z
z7/zzv/7*zls'J7'77ZO T7Z27*z7o 7*^/Z7Zyzzg7ZV ^/Z2777, Z7Z y7o7*zf7z7
2. La reproduction que l'on voit aux Musées royaux
du Cinquantenaire a été exécutée en 1905, pour l'expo-
sition des dinanderies qui eutlieuaDinant.ilest regret-
table qu'on ait fait disparaître dans la reproduction les
traces de détérioration qu'on remarque au cou et sur
la face.
3. Epitaphe tirée des 77'<%7&.s par BuTKEKS,
t. 11, p. 236.
61
TOMBEAU D'ISABELLE DE BOURBON. .(D'après une
seulement sont reproduites sur la gravure qui se
trouve dans le Cramai <7zz
Après la destruction de l'église abbatiale, le
monument fut transféré au Musée et placé défi-
nitivement, en 1872, dans la cathédrale à Anvers,
où il est, en quelque sorte, dissimulé derrière le
maître-autel L On ignore l'époque de la dispari-
tion des figurines ; elle doit coïncider avec la Révo-
lution française; elle est, en tout cas, comprise
Bourbon Nous ignorons la source où cette donnée a
été puisée. En tout cas, Sweertius n'en parle pas dans ses
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convient d'ajouter qu'il est très sobre de détails ; mais
on a peine à croire que cela ait été inventé de toutes
pièces. Il restait peut-être un quart des figurines à l'épo-
que où le baron Leroy fit faire la gravure du tombeau.
On pourrait se demander où venait se placer la longue
inscription. Elle se trouvait sur l'un des deux petits
côtés, comme c'est le cas pour le tombeau de Marie de
Bourgogne.
1. Il avait été question de placer ce tombeau au Steen,
mais on avait dû renoncer à ce projet faute de place ;
l'emplacement actuel n'est pas heureux : c'est à peine si
les visiteurs se doutent de l'existence du monument.
gravure du TléÂf/z*^ Mr7*<? <zf^7'<7/iz7M 7?T*<zé%T:3.7
entre la date delà gravure, du début de XVHL siècle,
et le transfert de la sépulture L
Le tombeau d'Isabelle portait autrefois une
inscription tracée sur des lames de cuivre qui
avaient déjà disparu à l'époque où le baron Leroy
publiait son ouvrage L II la reproduit d'après But-
kens, qui écrivait au début du xvn" siècle :
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2. La reproduction que l'on voit aux Musées royaux
du Cinquantenaire a été exécutée en 1905, pour l'expo-
sition des dinanderies qui eutlieuaDinant.ilest regret-
table qu'on ait fait disparaître dans la reproduction les
traces de détérioration qu'on remarque au cou et sur
la face.
3. Epitaphe tirée des 77'<%7&.s par BuTKEKS,
t. 11, p. 236.