DOI Heft:
Avril (No. 91-120)
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.17624#0474
LE CHARIVARI
propriétaire n'ait pas voulu se mettre en frais d'i-
magination pour leur constituer un état civil, —soit
que ces chevaux, d'une modeste race, n'aient voulu
concourir ou plutôt courir tout court que sous le
voile du plus mystérieux anonyme. Ce sont proba-
blement des chevaux descendans d'une illustre fa-
mille et ne voulant pas être vaincus par de sim-
ples plébéiens qui ne comptent pas dans leurs aïeux
des Eclipse ou des Miss Annette.
Nous avons remarqué, sur la liste de cette année,
W..., appartenant à M. le comte deBlan^y, etZ...,
faisant partie des écuries de M. de Rothschild.
L'année prochaine, on couronnera Monsieur Chose
et Miss Trois étoiles.
Du reste, nous approuvons beaucoup plus cette
réserve discrète, que l'idée par trop cavalière qu'a-
vait eue naguère M. de Rothschild en donnant à ses
chevaux les noms de certains artistes célèbres. Dé-
jazet consent bien à être couronnée, mais ce n'est
qu'au théâtre.
Une autre fois, le même M. de Rothschild dont
l'imagination a ses jours de verve excessivement plai-
sante, se permit d'intituler un de ses élèves, Mon-
tieur-le-Curé. Passe encore s'il l'a\ ait nommé Mon-
skur-le'Grand-Rabbin !
On nous a glissé dans le tuyau de l'oreille et nous
transvasons dans votre tympan qu'à partir du 15
mai le Journal des Débats, ce dernier des Romains à
80 francs, va faire le sacrifice de son opinion... tou-
chant le prixde l'abonnement.C'est le plus cruel de tous
les sacrifices qu'il ait jamais faits depuis son instal-
lation dans la rue des Prêtres-St-Germain-l'Auxer-
rois.
Au 15 mai, le dernier journal à 80 francs aura
vécu,—non pas que nous voulions insinuer que le
papier public de M. Bertin soit agonisant, mais il se
met à 48 francs par an, ni plus ni moins que la
Presse, son éternelle ennemie.
Pour comble d'infortunes, ce pauvre Journal des
Débats n'aura pas même l'avantage du format, car
le journal de M. de Girardin va se procurer aussi
un abdomen à la Bertin.
Les marchands de papier continuent de trouver
toutes ces révolutions fort spirituelles.
Carillon.
LE PROGRAMME DE LA FETE.
Le préfet de la Seine vient d'arrêter le program-
me des réjouissances de la Saint-Philippe. Le préfet
de police se réserve d'arrêter ceux qui ne s'y confor-
meront pas.
— Dans la matinée du 1er mai il y aura des dis-
tributions à domicile de pâtés à 4 sous et de croix
d'honneur. Cela fera une double distribution de
viande creuse.
— Les familiers du château seront admis à pré-
senter leurs complimeus et leurs paquets de fleurs.
Si les complimens sont vides, il y aura peut-être
des pensées dans les bouquets.
— On fera polker les danseurs au son des instru-
mens de cuivre. Quant à ceux dont l'enthousiasme
laisserait à désirer, on se bornera à les accompa-
gner au violon.
— Dans la soirée, on exécutera un grand concert
dans le jardin des Tuileries. Pour cette fois seule-
ment il y aura au château beaucoup d'harmonie.
— Un grand feu d'artifice sera tiré sur le quai
d'Orsay. Ainsi tout le feu de la fête pourra bien
tomber dans l'eau.
— Le bouquet représentera le programme de p 0lss^T'16 (B°
l'Hôtel-de-Ville. Comme tant d'autres promesses i"('t C" -____
flambées, il s'en ira en fumée. -«aWB
— Un deuxième feu d'artifice sera tire a la bar- '
rière de l'Étoile. La capitale du monde embastillé se | ...............\.\
trouvera entre deux feux. .,..........."[[.....
— La grande avenue des Champs-Elysées sera il- ^icnii ^ale"
luminée en petits verres de couleur. Reste à savoir ; -S388§>-
si les petits verres suffiront pour donner à l'enthou. \ p0„r i» Fl'ïgcecc
siasme un peu plus d'ivresse.
-.--tstgfâ^
BTJLL3TI1T.
,*» Ce soir a lieu, dans la salle des Italiens, le grand con-
cert donné par l'association des artistes musiciens au bénéfice
de la caisse de pensions. L'orchestre sera dirigé par M. Ha-
beneck. MM. Thalberg, Allard, Géraldy, Ponchard prendront
part à cette brillante fête.
,*» L'Empire n'aura plus que six représentations. On an-
nonce la dernière pour Dimanche. Lundi relâche; mardi l'ou-
verture du Cirque des Champs-Elysées.
Le gérant, léopold pannier.
Est-ce le prix qui arrête lorsqu'on veut se procurer un die- ! iB BKÏR fll
tionnaire? Non, bien certainement. Ce que l'on veut avant ""'^
tout, c'est qu'il soit complet. Sous ce rapport, aucun ouvrage I
ne peut être comparé au Dictionnaire national, que rublie
M. Bescherelle ainé, de la bibliothèque du Louvre. Rien de
plus complet, de plus universel que cet ouvrage où quinze « ' Un Chanoine
cent mille citat'ons choisies viennent appuyer les acceptions '
les nuances et les différens emplois des muts. C'est le seul die- '
tionnaire où, indépendamment de la langue proprement dite l'ombre couvrait les t
on trouve encore la géographie, l'histoire et la bioaraphie. il • f,ftjd ne tren
est indispensable à toutes les bibliothèques des villes, à tous UP^"" . . . .
les maires, à tous les étudians, car la meilleure orthographe y la ville était eteinn
est discutée à chaque mot un peu diflicultueux. Ce magnifique Comme un réveil de i
ouvrage, qui avait été annoncé comme ne devant f->rmer quo 1 i.-. riAmps
400 livraisons, en aura 600; mais les souscripleui ne paie- t^naam palais, uouico
îont que Moitié du prix des 200 dernières livraisons. La 300» -S'agitant dans l'end
vient de paraître, et le premier volume qui touch à sa Un, , Urdè'-ent mille foi
sera mis en vente dans les premiers jours de mai. 6 . . .
Le premier volume sera mis en vente le Ier mai 1845-
DICTIONNAIRE NATIONAL
lignant de feu les i
Les béfrois se
Bientôt dans les
Poussèrent une pla
Louvre aux splendidi
Qui donc ainsi, quan
T'éveille plein de c
Quel noir nuage dans
Vient couvrir tes mi
Ou grand Dictionnaire classiffue de la Langïte Française, pBuw?exac4 etjpliim complet que tous ceux qui existent, D'une sinistre tein
par M. BBSCMiiK*iIiIjK ainé, de la Bibliothèque du Louvre. -Oh! chaque nuit s
Ce magnifique ouvrage, qui fait honneur aux presses de Mme veuve Djndey-Dupré, se recommande par une rare correction et par la richesse de sa nomenclature et de ses développemens.— Grandit l'ombre des c
Dans la seule lettre A, il contient près de six mille mots de plus que le Dictionnaire de napoléon landais, et donne dix fois plus de matière dans le même espace. Il a élé honoré de la Et dans les to
souscription du roi et de la reine, de LL. AA. RM. Mme la duenesse d'Orléans, le duc de Nemours, le prince de Joinville, le duc d'Aumale, le duc de Montpensier, l'empereur d'Autriche, , ■ ,
le prince héréditaire de Bavière, des ambassadeurs des cours étrangères, de M .M. Thiers, Dupin ainé, de.Kothschild, etc., etc.—Les souscripteurs sont invités à faire retirer le plus promplement ciocnes touj
possible les livraisons qui leur manquent, parce que plus tard il serait difficile de compléter leurs exemplaires, l'ouvrage est toujours en souscription a 15 cent, la livraison. 1 Poussaient leur se
N' B. Quinze centimes la livr. Il parait 6 livr. par semaine. L'ouvrage formera deux beaux vol. in- 4° de 2,400 pages.—On souscrit à Paris, chez M. SIMON, éditeur, rue des Fossés-du-Tem-
ple, 48 ; et chez tous les libraires.
E.A Fit4ÎÏCE MÉDICALE (deuxième et dernière édition), Statistique générale de mil. les médecins, cliirur-
iens, pharmaciens de Paris et de tons les départeinens, classés par cantons et par communes, avec l'indica-
Panthéon, qui fait se
Ton front où le génii
A gravé son emprt
■iillIK avec I'luUlt:a" Et pourquoi, d'un ai
classes par cantons et par coV"", . | et règlement) Troubler dans son r<
gens du monde, est inaisp»«»
i**V « C»l «■«■■•-'■'^■-■'^""-"'^ R---' '------1---»-------- --------------■ M-------------- ' |
le seul qui renferme plus de 20,000 adresses de médecins, chirurgiens et pharmaciens du royaume. 1 toi.
ln-18 près de 600 pages. Prix: 5 fr. — S'adresser à M. Norbert Estibal, rue Ncuve-Vivienne, 53, où Ton reçoit
les annonces et insertions pour tous les journaux. _
A TCMDBB A I,'AMIABLE
En totalité ou par lots
LA TERRE
DE SOLIÈRE,
Située près de Moulins-fciigilljert et ae
Chàleau-Chinon, sur la route de
Nevers à Autun,
à l'entrée des montagnes du Morvand
(NIÈVRE).
Cette terre se compose d'un beau
château, d'une chapelle gothique, d'un
pare, de plusieurs pièces d'eau, de vas-
tes ruines, d'un moulin, de deux tuile-
ries et d'environ 900 hectares de (erres,
prés et bois d'un seul tenant, traversés
par une rivière et dans la plus jolie
situation,
Une grande portion des terres est
susceptible d'irrigation.
Les baux expirent au i" novembre
prochain.
Le revenu net est d'environ 35,000 fr.
Il aéra iotmi toutes facilités pour
l%'adresseerSpourles renseignemens, |__________ Fabrique et dépôt central, rue Cadet, 28, à Paris.
A Paris, à M. Outrebon, notaire, ruej gaaBSàfiS miîlfl S m"Bl"B"T1"fi . du D
St-Honore, 354;
Na 2. 500 B,
N» S. i kilo.
N» A. 3 kilo
N° 5. 5kilo.
N° 6. 6 kilo.
i5t.. -î61
A Coïne"'(Nièvre),, à M j lllRXfiATTRÏTR ÉGUtSIER fonctionnant seul
taire; à Chàleau-Chinon, à M'' Colas, ïtfflKB^il „ ^ *J-H-*' et se montant comme une pemliiic
notaire; et pour la visite elles condi- («MaS m "O0T,oate espèce d'iN'JECTlONS, lave.yie.vs, douches irrigations
lions, a M. Pannelrat, régisseur au |M) 1,«^l?!*,! ?" Srand "«"«bre d'hopitaux de France et de l'Etranger
Château de SOlière. MMMTft k) Lt& lAJhCIIONS sefont d'elles-mtme, San, mouiller le lit. On peut prendre le, LAVEMENS
T~,-!-;--'--t" WM>~=*! j ' ' """ " */"«"•. -LURRIGATEUR EST GARANTI UNE ANNEE• tout
A vendre OU « louer de SUlle meuDlec- fWi.V-J dérangement sur,c»u par la faute de .'instrument, dan, et espace d, temps,e.t rép.ré ».» fr.!. 11 jour ,ur la rer.mm«e««t,»-i • «......-•
OU non, deux jolies maisons de Campa- L« n" 1 et 2 sont plus particulièrement propre, aux laTemen.-, le n- 5 aux injection.; le, n« A 5et 6 an» irrira'ton. interne, et externe, doecb», 4
■me avec grand jardin, dans un rayon te, dem,er. fonct.onnent six, dix et dnnxe heure, san. être remonté. : 'leur robinet marqueTa d reë d ^ jet par '
CAPACITÉ, PRIX
N" 1 S75 ;
U femme qui sauva
Et dans les to
Les c'oches touj
Poussaient leur so
Dan! tes flancs qui e
Sotte-Dame? Au fui
De ton bourdon qi
Anges, dragons, dén
S'agitent troublés st
ueton noir labyr'u
-le frissonne, car
—^1^»^——"^_^^! ^ mèche des canot
x,^—i^^**^^^^^^^ - —---' ' Et dans les te
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Onlouedoeraud.lrr;SoUoralJlim
S'adresser de 11 a 1 heure,rue Saint-
Honoré, 355bis.
A vendre ou a louer de suile meublé
ou non un bel hôtel avec jardin,écuries
et remise dans le quartier du faubourg
Sainl-Honoré.
S'adresser rue St-Houoré, 355 bis, au
concierge, de ii h. a i h.
Imprimerie lange lévy et C',
rue du Croissant, 16.
Les sieur et dame Philippe, de 29 ans,
sans enfans, le mni'i sach int conduire
deux chevaux, désirent une place de
concierge ou autre de conliance ; ils
ont de bons répondans. S'adr. franco
rue des Pyramides, n° 3.
Une dame veuve désire céder tout ou
partie de son appartement meublé,
donnant sur les Champs-Elysées.
S'adresser au concierge, rue des Vi-
gnes, 5, près la barrière de l'Etoile.
pendules fit oeils de boeuf,huit JOUrS,28 I.a Sun..;-,
cadres-horloges à grands cadrans, formes vanf*1 «hpereur ron™
boites a musique avec polka, mazurka, valse, ew k > t urquo
réveille-matin à poids, 12 fr.; portatifs, 15 >rv ^ '"«"«eau de ton
YOîîTTTTiTiPiiKf tableaux-horloges avec angélus lointain, musiquo nans Une
PENDULE8.de voyage, petites à réveil, 45 fr., à répét, 65 fr., etc. ^ourauni a
p, H ul> oe ton pi
^'ertonpHier,
^basoàlapi
propriétaire n'ait pas voulu se mettre en frais d'i-
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que ces chevaux, d'une modeste race, n'aient voulu
concourir ou plutôt courir tout court que sous le
voile du plus mystérieux anonyme. Ce sont proba-
blement des chevaux descendans d'une illustre fa-
mille et ne voulant pas être vaincus par de sim-
ples plébéiens qui ne comptent pas dans leurs aïeux
des Eclipse ou des Miss Annette.
Nous avons remarqué, sur la liste de cette année,
W..., appartenant à M. le comte deBlan^y, etZ...,
faisant partie des écuries de M. de Rothschild.
L'année prochaine, on couronnera Monsieur Chose
et Miss Trois étoiles.
Du reste, nous approuvons beaucoup plus cette
réserve discrète, que l'idée par trop cavalière qu'a-
vait eue naguère M. de Rothschild en donnant à ses
chevaux les noms de certains artistes célèbres. Dé-
jazet consent bien à être couronnée, mais ce n'est
qu'au théâtre.
Une autre fois, le même M. de Rothschild dont
l'imagination a ses jours de verve excessivement plai-
sante, se permit d'intituler un de ses élèves, Mon-
tieur-le-Curé. Passe encore s'il l'a\ ait nommé Mon-
skur-le'Grand-Rabbin !
On nous a glissé dans le tuyau de l'oreille et nous
transvasons dans votre tympan qu'à partir du 15
mai le Journal des Débats, ce dernier des Romains à
80 francs, va faire le sacrifice de son opinion... tou-
chant le prixde l'abonnement.C'est le plus cruel de tous
les sacrifices qu'il ait jamais faits depuis son instal-
lation dans la rue des Prêtres-St-Germain-l'Auxer-
rois.
Au 15 mai, le dernier journal à 80 francs aura
vécu,—non pas que nous voulions insinuer que le
papier public de M. Bertin soit agonisant, mais il se
met à 48 francs par an, ni plus ni moins que la
Presse, son éternelle ennemie.
Pour comble d'infortunes, ce pauvre Journal des
Débats n'aura pas même l'avantage du format, car
le journal de M. de Girardin va se procurer aussi
un abdomen à la Bertin.
Les marchands de papier continuent de trouver
toutes ces révolutions fort spirituelles.
Carillon.
LE PROGRAMME DE LA FETE.
Le préfet de la Seine vient d'arrêter le program-
me des réjouissances de la Saint-Philippe. Le préfet
de police se réserve d'arrêter ceux qui ne s'y confor-
meront pas.
— Dans la matinée du 1er mai il y aura des dis-
tributions à domicile de pâtés à 4 sous et de croix
d'honneur. Cela fera une double distribution de
viande creuse.
— Les familiers du château seront admis à pré-
senter leurs complimeus et leurs paquets de fleurs.
Si les complimens sont vides, il y aura peut-être
des pensées dans les bouquets.
— On fera polker les danseurs au son des instru-
mens de cuivre. Quant à ceux dont l'enthousiasme
laisserait à désirer, on se bornera à les accompa-
gner au violon.
— Dans la soirée, on exécutera un grand concert
dans le jardin des Tuileries. Pour cette fois seule-
ment il y aura au château beaucoup d'harmonie.
— Un grand feu d'artifice sera tiré sur le quai
d'Orsay. Ainsi tout le feu de la fête pourra bien
tomber dans l'eau.
— Le bouquet représentera le programme de p 0lss^T'16 (B°
l'Hôtel-de-Ville. Comme tant d'autres promesses i"('t C" -____
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— Un deuxième feu d'artifice sera tire a la bar- '
rière de l'Étoile. La capitale du monde embastillé se | ...............\.\
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luminée en petits verres de couleur. Reste à savoir ; -S388§>-
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cert donné par l'association des artistes musiciens au bénéfice
de la caisse de pensions. L'orchestre sera dirigé par M. Ha-
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part à cette brillante fête.
,*» L'Empire n'aura plus que six représentations. On an-
nonce la dernière pour Dimanche. Lundi relâche; mardi l'ou-
verture du Cirque des Champs-Elysées.
Le gérant, léopold pannier.
Est-ce le prix qui arrête lorsqu'on veut se procurer un die- ! iB BKÏR fll
tionnaire? Non, bien certainement. Ce que l'on veut avant ""'^
tout, c'est qu'il soit complet. Sous ce rapport, aucun ouvrage I
ne peut être comparé au Dictionnaire national, que rublie
M. Bescherelle ainé, de la bibliothèque du Louvre. Rien de
plus complet, de plus universel que cet ouvrage où quinze « ' Un Chanoine
cent mille citat'ons choisies viennent appuyer les acceptions '
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est indispensable à toutes les bibliothèques des villes, à tous UP^"" . . . .
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vient de paraître, et le premier volume qui touch à sa Un, , Urdè'-ent mille foi
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Ce magnifique ouvrage, qui fait honneur aux presses de Mme veuve Djndey-Dupré, se recommande par une rare correction et par la richesse de sa nomenclature et de ses développemens.— Grandit l'ombre des c
Dans la seule lettre A, il contient près de six mille mots de plus que le Dictionnaire de napoléon landais, et donne dix fois plus de matière dans le même espace. Il a élé honoré de la Et dans les to
souscription du roi et de la reine, de LL. AA. RM. Mme la duenesse d'Orléans, le duc de Nemours, le prince de Joinville, le duc d'Aumale, le duc de Montpensier, l'empereur d'Autriche, , ■ ,
le prince héréditaire de Bavière, des ambassadeurs des cours étrangères, de M .M. Thiers, Dupin ainé, de.Kothschild, etc., etc.—Les souscripteurs sont invités à faire retirer le plus promplement ciocnes touj
possible les livraisons qui leur manquent, parce que plus tard il serait difficile de compléter leurs exemplaires, l'ouvrage est toujours en souscription a 15 cent, la livraison. 1 Poussaient leur se
N' B. Quinze centimes la livr. Il parait 6 livr. par semaine. L'ouvrage formera deux beaux vol. in- 4° de 2,400 pages.—On souscrit à Paris, chez M. SIMON, éditeur, rue des Fossés-du-Tem-
ple, 48 ; et chez tous les libraires.
E.A Fit4ÎÏCE MÉDICALE (deuxième et dernière édition), Statistique générale de mil. les médecins, cliirur-
iens, pharmaciens de Paris et de tons les départeinens, classés par cantons et par communes, avec l'indica-
Panthéon, qui fait se
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LA TERRE
DE SOLIÈRE,
Située près de Moulins-fciigilljert et ae
Chàleau-Chinon, sur la route de
Nevers à Autun,
à l'entrée des montagnes du Morvand
(NIÈVRE).
Cette terre se compose d'un beau
château, d'une chapelle gothique, d'un
pare, de plusieurs pièces d'eau, de vas-
tes ruines, d'un moulin, de deux tuile-
ries et d'environ 900 hectares de (erres,
prés et bois d'un seul tenant, traversés
par une rivière et dans la plus jolie
situation,
Une grande portion des terres est
susceptible d'irrigation.
Les baux expirent au i" novembre
prochain.
Le revenu net est d'environ 35,000 fr.
Il aéra iotmi toutes facilités pour
l%'adresseerSpourles renseignemens, |__________ Fabrique et dépôt central, rue Cadet, 28, à Paris.
A Paris, à M. Outrebon, notaire, ruej gaaBSàfiS miîlfl S m"Bl"B"T1"fi . du D
St-Honore, 354;
Na 2. 500 B,
N» S. i kilo.
N» A. 3 kilo
N° 5. 5kilo.
N° 6. 6 kilo.
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A Coïne"'(Nièvre),, à M j lllRXfiATTRÏTR ÉGUtSIER fonctionnant seul
taire; à Chàleau-Chinon, à M'' Colas, ïtfflKB^il „ ^ *J-H-*' et se montant comme une pemliiic
notaire; et pour la visite elles condi- («MaS m "O0T,oate espèce d'iN'JECTlONS, lave.yie.vs, douches irrigations
lions, a M. Pannelrat, régisseur au |M) 1,«^l?!*,! ?" Srand "«"«bre d'hopitaux de France et de l'Etranger
Château de SOlière. MMMTft k) Lt& lAJhCIIONS sefont d'elles-mtme, San, mouiller le lit. On peut prendre le, LAVEMENS
T~,-!-;--'--t" WM>~=*! j ' ' """ " */"«"•. -LURRIGATEUR EST GARANTI UNE ANNEE• tout
A vendre OU « louer de SUlle meuDlec- fWi.V-J dérangement sur,c»u par la faute de .'instrument, dan, et espace d, temps,e.t rép.ré ».» fr.!. 11 jour ,ur la rer.mm«e««t,»-i • «......-•
OU non, deux jolies maisons de Campa- L« n" 1 et 2 sont plus particulièrement propre, aux laTemen.-, le n- 5 aux injection.; le, n« A 5et 6 an» irrira'ton. interne, et externe, doecb», 4
■me avec grand jardin, dans un rayon te, dem,er. fonct.onnent six, dix et dnnxe heure, san. être remonté. : 'leur robinet marqueTa d reë d ^ jet par '
CAPACITÉ, PRIX
N" 1 S75 ;
U femme qui sauva
Et dans les to
Les c'oches touj
Poussaient leur so
Dan! tes flancs qui e
Sotte-Dame? Au fui
De ton bourdon qi
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S'agitent troublés st
ueton noir labyr'u
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S'adresser de 11 a 1 heure,rue Saint-
Honoré, 355bis.
A vendre ou a louer de suile meublé
ou non un bel hôtel avec jardin,écuries
et remise dans le quartier du faubourg
Sainl-Honoré.
S'adresser rue St-Houoré, 355 bis, au
concierge, de ii h. a i h.
Imprimerie lange lévy et C',
rue du Croissant, 16.
Les sieur et dame Philippe, de 29 ans,
sans enfans, le mni'i sach int conduire
deux chevaux, désirent une place de
concierge ou autre de conliance ; ils
ont de bons répondans. S'adr. franco
rue des Pyramides, n° 3.
Une dame veuve désire céder tout ou
partie de son appartement meublé,
donnant sur les Champs-Elysées.
S'adresser au concierge, rue des Vi-
gnes, 5, près la barrière de l'Etoile.
pendules fit oeils de boeuf,huit JOUrS,28 I.a Sun..;-,
cadres-horloges à grands cadrans, formes vanf*1 «hpereur ron™
boites a musique avec polka, mazurka, valse, ew k > t urquo
réveille-matin à poids, 12 fr.; portatifs, 15 >rv ^ '"«"«eau de ton
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