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https://doi.org/10.11588/diglit.8686#0170
LE GRELOT
Tirap ies Obligations à lots t Canal de Panama
Le 1K octobre a eu lieu le deuxième tirage
des obligations à lots du canal de Panama.
Le numéro 262.478 gagne 500.000 francs.
Le numéro 386.477 gagne 250.000 »
Le numéro 258 836 gagne 100 000 »
Le numéro 724.201 gagne 100.000 »
Le numéro 181.062 gagne 10.000 »
Le numéro 466.084 gagne 10 000 »
Le numéro 190.356 gagoe 5.000 » ,
Le numéro 45.027 gagne 5 000 »
Le numéro 69.025 ga'gne 5.000 »
Le numéro 123.528 gagne 5.000 » .
Les sept numéros suivants gagnent chacun
deüx mille francs : 433.387 — 203.293 —
16.763 — 526.752 — 442.523 — 264.806 —
501.345.
Les quatre-vingts numéros suivants sont
remboursables chacun à mille francs :
731.965
734,048
751.806
752.856
760.801
764.096
770.313
786.757
798.910
803 010
814.805
820.118
821.073
6.327
25.238
29.083
32.771
53.632
64.323
116.5s5
138.898
141.056
142.87b
179.816
184.903
189.145
191.555
197.164
219.528
222.491
224.839
235.518
285.916
288.477
297.992
301.047
309.593
323.350
332.585
336.278
358.281
358.752
363.421
364.399
374.278
375.824
375.868
385.477
386.395
399.635
409.237
415.554
826.122
418.082
421 903
424.409
454.873
468.926
512 820
526.359
528.484
536.b59
546.658
548.051
534.867
558 468
828.767
562.633
566.002
566.063
587.648
594.474
594.802
676.067
681.765
686.173
680.972
706.404
710 900
723.646
GRELOTSFINANCE
11 n’est pas facile de deviner à quelle impul-
sion la Bourse se décidera en fin de compte à
obéir. Pour l’instant, elle est tiraillée en sens
inverse par les haussie-s et les baissiers. Ce
n’est point nouveau. Mais ee qui l’est davan-
tage, c’est la raptdité avec laquelle on ehat ge
son fusil d’épauie, depuis une buitaine, voyant
tout en noir le lundi et le mardi, tout en rose
le mercredi et le jeudi jusqu’à deux heures,
lout en gris de deux à trois le jeudi et le ven-
dredi, pbur finir le samedi en rose pâlot.
Cette houle continue est d’autant plus re-
marquable qu’elle ne se trouve justifiée en
rien par le seul facteur qui passe pour ètre
susceptible'de l'entrainer,— j’entends parler
des informations concernant la politique tant
intérieure qu’extérieure.
On a essayé, il est vrai, dans certains cercles,
de produire de l’émotiou, en ergotant sur le
décret réglementant le séjour des étrangers et
sur les incidents et polémiques docoulânt du
voyage de Guillaumell à Bome.Mais ces ten-
tatives ont été couronnées d un orillmt in-
succès — d’ailleurs mérité.
Le véritable point sur lequel se condense
l’intérèt, est l’éiévation du prix de l’argent.
Ces reiraits de numéraire à la Banque de
France, signalés par le bilan de jeudi matin,
laisaient craindre une élévalion nouvelle du
taux de l’escompte, pour ce jour même. Le
conseil des régents ajourne l’adoption decette
mesure dont on ne persiste pas moins àcon-
sidérer la promulgation comme imminente.
Bref, l’état général du marcbé peut se résu-
mer en un mot : l’incertitude. G’est dans ces
conditions que l’on procède à la liquidation de
quinzaine, peu intéressante, ce qui De permet
pas de préjuger ce que sera la liquidation de
fin de mois.
*
* *
Les prèts consentis par le Grédit Foucier aux
communes et aux particuliers, — cc atre pre-
mière hypotbèque, — sonf exécute.', on )e
sait, avec les fonds provenant des > niia.sions
d’obligations foncières et communale's qui, en
attendant de trouver cet empioi, sorÇ tempo-
rairemenl placés en fonds français garantis
par l’État.
Actuellement, le chiffre des émissions dé-
passe celui des prêts, mais l’excédent, ainsi
qu’on peut le constater en consultant les bi-
lans, est régulièrement employé en valeurs
de l’Ëtat.
Le chitî're de ces valeurs a grossi depuis
quelque temps; il est plus élevé aujourd’hui
que le mois dernier, et le mois dernier, il
l’était pius qu’il y a deux mois. Cela tient,
non pas àdes placements nouveaux d’obliga-
tions, mais aux versements effectués sur des
titres déjà émis depuis longtemps; le fait n’a
d ailleurs aucune importanc ' au point de vue
des porteurs d’obligations, dont la sécurité est
toujours la même, puisqu’ils ne resteut jamais
à découvert. Ce qu’il leur manque, comme
couverture, au porieteuille des prêts fonciers
ot communaux, ils le retrouvent au porte-
feuille titres, composé, suivant les statuts, de
valeurs d’État.
Dès le mois prochain, le Crédit-Foncier
n’aura plus en circulation que des obligations
entièrement libérées, le dernier versement
étant venu à échéance sur les obligations 1885.
Les provisions pour nouveaux prèts nè :se re-
nouvelleront plus, et celles qui ont èté con-
stituées décroitront progressivement, du fait
des prêts journaliers, jusqu’au moment où la
Société jugera utiie de constituer des provi-
sions nouvelles, car elle ne doit jamàis se
laisser prendre au dépourvu.
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L’ALIANACH DES AMOÜREUX
qui vient de paraître. illustré de jolies gravures,
offre à ses leeteurs une di/.ainè de nouvelles
alertes el pimpantes, q-jj •u..tifient on ne peul
mieux son titre.
Tout l’esprit parisien, qui, dit-on, court les rues,
a été saisi au passage et imprimé tout vif dans
cejoli recueil, qu'une couverture coquette signale
d’abord à l’attention des passants, et qui, mé-
rite précieux, peut ètre mis dans toutes les mains.
L’Exposition de 1889 consacrera le centenaire
de la Révolution.
L’Almanach des Amoureux célébrera l’éternelle
jeunesse de la gaîté française.
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CRÉDIT FONCIER DE FRANCE
Tlrage du 1" octobre 1888
Obligaiions de 300 fr'ancs 4 0/0
DE LABANQUEHYPOTHÉCAIRE DEFRAN E
(en liquidation)
Ce iirage a été effectué au siège du Crédit Foncier
de France, liquidateur de ladite Société.
Liste des 26 obligations sorties au pair :
483 1483 2302 4487 5486 6483 7484
9483 10483 15483 17506 18483 19483 23505
27483 31483 32506 33506 34484 36505 39483
40484 52505 54504 55505
Remboursement à dater du l“ rnovembre 1888
Tirage du 5 Octobre 1888
Obligations communales ûe 500 fr. 3 0/0 — 1819
Le n'> 345,475 sera remboursé par 100,000 fc.
Le n° 23,331. par 25,000 fraues.
Les n os 183,856 414,004, 654,802, 696,663,
766,018, 883,819, chacun par 5,000 fr.
Les 45 n° s ci-après, chacun par 1,000.
16,079 155,173 299,087 547.322 726.550 947,768
52,859 173,018 366,126 604,924 725,111 953,313
89,442 216,519 368,839 623,592 742.872 934.18!)
114.710 217,61! 421. iif- 641.348 746,240 959,189
116,916-232,830 422,981 647,025 767,449 996,518
126,676 251,632 496,518 670,002 839.327
129,024 268,115 525,753 688,345 8bO,OS5
132,839 289,573 535,151 721,733 873,750
OMiptions communales lie 500 fr. 3 0/0 — 1880
Le n° 359,837 sera remboursé par 100,000 i'r.
Le n° 899,235, par 25.000 francs.
Les n os 225,127, 280,460, 316,598, 369,905,
563,637, 815,682, chacun par 5,000 fr.
Les4S numéros ci-après, chacun par 1.000fr.
603 241,798 396,520 580,045 748,811 878,676
31,705 254,228 448,797 605,498 773,613 905,581
124,998 271.343 458,818 672,457 797,781 906.905
126,362 319.509 475,590 681.630 823.842 914.288
131,720 327,625 481,153 717.990 825,833 923,645
153,222 342,449 484,062 718,121 829,695
194,065 347.393 529,478 727,647 851,391
' 219,790 368,259 560,554 745,461 859,971
(Mptions foncières fle 41 fr. 3 0/0 — 1811
Le n°,504,859 sera remboursé par 100,000 fr.
Le n° 574,233 par 50.000 francs.
Les n cs 13,244, 199,306, chacun par 10,000 f .
Les 30 numéros ci-après, chacun par 1,000 f-.
12,258 88,477 193.984 266.601 391,413 503,855
28,637 119,559 234,268 267,855 449,707 555,501
34,122 138,747 259,011 291,988 47b,593"573,5o9
39,925 140,750 260,016 379,949 481,325 611,956
86,765 169,457 262,652 389,729 493 770 621,501
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tout en produisant une grande quantitc de clialeur, son enveloppe extérieure n’a pas
I rnconvénient de brùièr par son contact les objets qui peuvent la toucher, et ia
chaleur produite est douce. Ii fonctionne de 12 à 14 heures avec du coke n° 0 sans
avoir in’soin d’ètre rcchargé, pouvant marchcr tout l'hiver sans être rallumé et sa
construction intérieure. à double enveloppe, consume entièrement, les produits de
la combustioD. — 11 peut ètre placé partout, sur des parquéts ou des tapis, sans la
moindre crainte de danger; il se roule d’une chambre à une autre et peut mème
chauffer deux pièces à la fois au moyen d’une bouche de cbaleur que l’on y adapte.
— Ce calorifère étant mum d’une soupape, permet d'en régler la marche à volonté.
PRIX: Garniture nikelée, N° 1, 90 francs. — N° 2, 100 francs.
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dans toutes les pièces sans danger.
PRIX : N° 1, garniture cuivre, 90 francs; — garniture nikelée, 100 francs.
2 i. 110 » — « 125 »
3 » 130 » — « 150 jj
r\I 111! I l’I SlF Iir f 1V17 d’un système particulier tenant moins de place que tout ce qui existe
1° UÜLUUlI' IjIIL UL LA V L jusqu’ici, coùtant moins cher, procurant une économie de 40 ■/. en
produisaot uutaut de chaleur, et ayant de plus l'avantage de pouvoir se dèplacer à peu de frais, étaut
etablis sans maçonnerie. - Och caloriréreat de ce système sont établis à la poudrerie nationale
de Sevran-Livry, à l’administration du mont-de-piété, etc.
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3° nl rntlLILo iVUL)VLnl)A matisé, donnant des résultats des pius satisfaisants et appelés à
rendre de grands services par les moyens qu’ils offrent de pouvoir prendre les diverses sortes de
lumigations prescrites soit en temps d’épidémie, ou pour la goutte, rhumatismes, etc.
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« Vmtlttr, n» m'mr guirl i’um BalaBI* 4a Peaa,
aluiuppartëblu iuajo taijnsit ti> rainCspuit qutlra tut.
€ KffiifARS, hïtcsler k Cuaüôuo (Qa/dJ .
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igf/atiguant pas l'estomac, ne donnant ni renvois,
§bÿ ni diarrhée, ni constipation ; ne communiquant
«n aucune odeur aux urines; supprime, dés le
Vle second jour, la douleur pendant la
miction, et guérit radicalement l’écoule—
^iment le plus învétérë, récent ou ancien,
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814.805
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821.073
6.327
25.238
29.083
32.771
53.632
64.323
116.5s5
138.898
141.056
142.87b
179.816
184.903
189.145
191.555
197.164
219.528
222.491
224.839
235.518
285.916
288.477
297.992
301.047
309.593
323.350
332.585
336.278
358.281
358.752
363.421
364.399
374.278
375.824
375.868
385.477
386.395
399.635
409.237
415.554
826.122
418.082
421 903
424.409
454.873
468.926
512 820
526.359
528.484
536.b59
546.658
548.051
534.867
558 468
828.767
562.633
566.002
566.063
587.648
594.474
594.802
676.067
681.765
686.173
680.972
706.404
710 900
723.646
GRELOTSFINANCE
11 n’est pas facile de deviner à quelle impul-
sion la Bourse se décidera en fin de compte à
obéir. Pour l’instant, elle est tiraillée en sens
inverse par les haussie-s et les baissiers. Ce
n’est point nouveau. Mais ee qui l’est davan-
tage, c’est la raptdité avec laquelle on ehat ge
son fusil d’épauie, depuis une buitaine, voyant
tout en noir le lundi et le mardi, tout en rose
le mercredi et le jeudi jusqu’à deux heures,
lout en gris de deux à trois le jeudi et le ven-
dredi, pbur finir le samedi en rose pâlot.
Cette houle continue est d’autant plus re-
marquable qu’elle ne se trouve justifiée en
rien par le seul facteur qui passe pour ètre
susceptible'de l'entrainer,— j’entends parler
des informations concernant la politique tant
intérieure qu’extérieure.
On a essayé, il est vrai, dans certains cercles,
de produire de l’émotiou, en ergotant sur le
décret réglementant le séjour des étrangers et
sur les incidents et polémiques docoulânt du
voyage de Guillaumell à Bome.Mais ces ten-
tatives ont été couronnées d un orillmt in-
succès — d’ailleurs mérité.
Le véritable point sur lequel se condense
l’intérèt, est l’éiévation du prix de l’argent.
Ces reiraits de numéraire à la Banque de
France, signalés par le bilan de jeudi matin,
laisaient craindre une élévalion nouvelle du
taux de l’escompte, pour ce jour même. Le
conseil des régents ajourne l’adoption decette
mesure dont on ne persiste pas moins àcon-
sidérer la promulgation comme imminente.
Bref, l’état général du marcbé peut se résu-
mer en un mot : l’incertitude. G’est dans ces
conditions que l’on procède à la liquidation de
quinzaine, peu intéressante, ce qui De permet
pas de préjuger ce que sera la liquidation de
fin de mois.
*
* *
Les prèts consentis par le Grédit Foucier aux
communes et aux particuliers, — cc atre pre-
mière hypotbèque, — sonf exécute.', on )e
sait, avec les fonds provenant des > niia.sions
d’obligations foncières et communale's qui, en
attendant de trouver cet empioi, sorÇ tempo-
rairemenl placés en fonds français garantis
par l’État.
Actuellement, le chiffre des émissions dé-
passe celui des prêts, mais l’excédent, ainsi
qu’on peut le constater en consultant les bi-
lans, est régulièrement employé en valeurs
de l’Ëtat.
Le chitî're de ces valeurs a grossi depuis
quelque temps; il est plus élevé aujourd’hui
que le mois dernier, et le mois dernier, il
l’était pius qu’il y a deux mois. Cela tient,
non pas àdes placements nouveaux d’obliga-
tions, mais aux versements effectués sur des
titres déjà émis depuis longtemps; le fait n’a
d ailleurs aucune importanc ' au point de vue
des porteurs d’obligations, dont la sécurité est
toujours la même, puisqu’ils ne resteut jamais
à découvert. Ce qu’il leur manque, comme
couverture, au porieteuille des prêts fonciers
ot communaux, ils le retrouvent au porte-
feuille titres, composé, suivant les statuts, de
valeurs d’État.
Dès le mois prochain, le Crédit-Foncier
n’aura plus en circulation que des obligations
entièrement libérées, le dernier versement
étant venu à échéance sur les obligations 1885.
Les provisions pour nouveaux prèts nè :se re-
nouvelleront plus, et celles qui ont èté con-
stituées décroitront progressivement, du fait
des prêts journaliers, jusqu’au moment où la
Société jugera utiie de constituer des provi-
sions nouvelles, car elle ne doit jamàis se
laisser prendre au dépourvu.
Ariep.
Eten-Théâtre.— La Fillede Madame Angot.
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8. h. 1/2. — Dimanches, Jeudis et Fêtes, ma-
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par les Lauri Lauri’s. — Les Schefî'er, acrobates.
— Ella Zuila, exercices sur la corde. — Ballet
Japonais.
L’ALIANACH DES AMOÜREUX
qui vient de paraître. illustré de jolies gravures,
offre à ses leeteurs une di/.ainè de nouvelles
alertes el pimpantes, q-jj •u..tifient on ne peul
mieux son titre.
Tout l’esprit parisien, qui, dit-on, court les rues,
a été saisi au passage et imprimé tout vif dans
cejoli recueil, qu'une couverture coquette signale
d’abord à l’attention des passants, et qui, mé-
rite précieux, peut ètre mis dans toutes les mains.
L’Exposition de 1889 consacrera le centenaire
de la Révolution.
L’Almanach des Amoureux célébrera l’éternelle
jeunesse de la gaîté française.
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CRÉDIT FONCIER DE FRANCE
Tlrage du 1" octobre 1888
Obligaiions de 300 fr'ancs 4 0/0
DE LABANQUEHYPOTHÉCAIRE DEFRAN E
(en liquidation)
Ce iirage a été effectué au siège du Crédit Foncier
de France, liquidateur de ladite Société.
Liste des 26 obligations sorties au pair :
483 1483 2302 4487 5486 6483 7484
9483 10483 15483 17506 18483 19483 23505
27483 31483 32506 33506 34484 36505 39483
40484 52505 54504 55505
Remboursement à dater du l“ rnovembre 1888
Tirage du 5 Octobre 1888
Obligations communales ûe 500 fr. 3 0/0 — 1819
Le n'> 345,475 sera remboursé par 100,000 fc.
Le n° 23,331. par 25,000 fraues.
Les n os 183,856 414,004, 654,802, 696,663,
766,018, 883,819, chacun par 5,000 fr.
Les 45 n° s ci-après, chacun par 1,000.
16,079 155,173 299,087 547.322 726.550 947,768
52,859 173,018 366,126 604,924 725,111 953,313
89,442 216,519 368,839 623,592 742.872 934.18!)
114.710 217,61! 421. iif- 641.348 746,240 959,189
116,916-232,830 422,981 647,025 767,449 996,518
126,676 251,632 496,518 670,002 839.327
129,024 268,115 525,753 688,345 8bO,OS5
132,839 289,573 535,151 721,733 873,750
OMiptions communales lie 500 fr. 3 0/0 — 1880
Le n° 359,837 sera remboursé par 100,000 i'r.
Le n° 899,235, par 25.000 francs.
Les n os 225,127, 280,460, 316,598, 369,905,
563,637, 815,682, chacun par 5,000 fr.
Les4S numéros ci-après, chacun par 1.000fr.
603 241,798 396,520 580,045 748,811 878,676
31,705 254,228 448,797 605,498 773,613 905,581
124,998 271.343 458,818 672,457 797,781 906.905
126,362 319.509 475,590 681.630 823.842 914.288
131,720 327,625 481,153 717.990 825,833 923,645
153,222 342,449 484,062 718,121 829,695
194,065 347.393 529,478 727,647 851,391
' 219,790 368,259 560,554 745,461 859,971
(Mptions foncières fle 41 fr. 3 0/0 — 1811
Le n°,504,859 sera remboursé par 100,000 fr.
Le n° 574,233 par 50.000 francs.
Les n cs 13,244, 199,306, chacun par 10,000 f .
Les 30 numéros ci-après, chacun par 1,000 f-.
12,258 88,477 193.984 266.601 391,413 503,855
28,637 119,559 234,268 267,855 449,707 555,501
34,122 138,747 259,011 291,988 47b,593"573,5o9
39,925 140,750 260,016 379,949 481,325 611,956
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avoir in’soin d’ètre rcchargé, pouvant marchcr tout l'hiver sans être rallumé et sa
construction intérieure. à double enveloppe, consume entièrement, les produits de
la combustioD. — 11 peut ètre placé partout, sur des parquéts ou des tapis, sans la
moindre crainte de danger; il se roule d’une chambre à une autre et peut mème
chauffer deux pièces à la fois au moyen d’une bouche de cbaleur que l’on y adapte.
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3 » 130 » — « 150 jj
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produisaot uutaut de chaleur, et ayant de plus l'avantage de pouvoir se dèplacer à peu de frais, étaut
etablis sans maçonnerie. - Och caloriréreat de ce système sont établis à la poudrerie nationale
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