VII.
Außer der Heidelberger Handschrift existieren in Deutschland
m. W. noch zwei Handschriften des “Livre de quatre Dames“, die
aber hinsichtlich ihres Wertes P weit nachstehen.
Der in München befindliche Cod. Gall. 10 (M) ist nach dem
Druck bei Galliot du Pre (1529) kopiert und infolgedessen wertlos28.
Die ihm entnommenen Varianten bilden gewöhnlich mit denen
denen aus A und G herrührenden eine Gruppe.
Die in Karlsruhe befindliche Handschrift 410 (K) ist ganz
fragmentarisch. Sie enthält nur einige Blätter einer reichen
Miniaturenhandschrift, die zusammenhanglos mit anderen Bruch-
stücken aus Alain Chartiers und anderen Werken zusam-
mengebunden sind29. Durch die Unvollständigkeit ergibt sich von
selbst, daß K nur sehr teilweise brauchbar ist.
Außer den erwähnten enthalten noch folgende Handschriften
das “Livre des quatre Dames“, die mir aber insgesamt nicht zur
Bearbeitung vorgelegen haben: Paris Bibi. Nat. ms. fr. 2234, 2235,
London 21247, Rom Vatikan 4794, Wien 2619, Ashburnham 355,
396. Es existieren also heute m. W. noch insgesamt 25 Hand-
schriften des “Livre des quatre Dames“.
Von den oben erwähnten Drucken wurden drei zum Vergleich
herangezogen: Der aller Wahrscheinlichkeit nach früheste der er-
haltenen Drucke “Les Faiz maistre Alain Charetier“, Paris, P.
Le Caron (circa 1484) (A), “Les Oeuvres feu maistre Alain Char-
“J’ay depuis decouvert en feuilletant les oeuvres d’A Iain C h a r t i e r que
cet ouvrage en tont entier en fait partie. II est dans I’edition de Paris 1617,
pag. 594 sous le titre du livre des quatre Dames.“
Auf der Vorderseite desselben Blattes steht folgende Notiz: “Le livre
des 4 Dames est le plus suportable de tous les Poemes d’Alain Chartier.
II y a meme quelque chose de fleuri et on y trouve des descriptions et
peintures asses vives. Dans une edition des oeuvres de cet auteur donnee
en 1529, on dit qu’il composa ce Poeme en 1433. Duchesne le renvoye au
contraire a 1415, ou 1416, et I’abbe Goujet croit qu’il a raison. II paroit
que ce Poeme fut fait peu apres la Bataille d’Azincourt qui fut donnee au
mois d’Octobre 1415. Les 4 Dames que le Poete introduit dans son ouvrage
se pleignent d’avoir perdu chacune leur amant dans cette journee et il
paroit par la maniere dont elles s’expriment que leur perte etoit tres
recente. Elles racontent ensuite la fa<jon dont elles pensent que Ifturs amants
sont morts et cela excite des sentimens differents de leurs diverses situations
que le Poeme rend quelquefois avec feu. La fin du Poeme est une con-
testation sur les differents sentiments et le Poete propose pour les accorder
de s’en raporter au jugement de la Dame qu’il aime dont il fait l’eloge —
elles y consentent el il les quitte pour revenir ä Paris ou il feint qu’il ecrivit
tout ce que son poeme contient et qu’il l’envoya ä sa Dame la priant de le
lire et de decider.“
28 Vgl. P i a g e t, Arthur, Romania XXX, p. 46.
29 Die Handschriften der großherzoglichen badischen Hof- und Landes-
bibliothek, Beilage 2, 1894, S. 26.
— 37 —
Außer der Heidelberger Handschrift existieren in Deutschland
m. W. noch zwei Handschriften des “Livre de quatre Dames“, die
aber hinsichtlich ihres Wertes P weit nachstehen.
Der in München befindliche Cod. Gall. 10 (M) ist nach dem
Druck bei Galliot du Pre (1529) kopiert und infolgedessen wertlos28.
Die ihm entnommenen Varianten bilden gewöhnlich mit denen
denen aus A und G herrührenden eine Gruppe.
Die in Karlsruhe befindliche Handschrift 410 (K) ist ganz
fragmentarisch. Sie enthält nur einige Blätter einer reichen
Miniaturenhandschrift, die zusammenhanglos mit anderen Bruch-
stücken aus Alain Chartiers und anderen Werken zusam-
mengebunden sind29. Durch die Unvollständigkeit ergibt sich von
selbst, daß K nur sehr teilweise brauchbar ist.
Außer den erwähnten enthalten noch folgende Handschriften
das “Livre des quatre Dames“, die mir aber insgesamt nicht zur
Bearbeitung vorgelegen haben: Paris Bibi. Nat. ms. fr. 2234, 2235,
London 21247, Rom Vatikan 4794, Wien 2619, Ashburnham 355,
396. Es existieren also heute m. W. noch insgesamt 25 Hand-
schriften des “Livre des quatre Dames“.
Von den oben erwähnten Drucken wurden drei zum Vergleich
herangezogen: Der aller Wahrscheinlichkeit nach früheste der er-
haltenen Drucke “Les Faiz maistre Alain Charetier“, Paris, P.
Le Caron (circa 1484) (A), “Les Oeuvres feu maistre Alain Char-
“J’ay depuis decouvert en feuilletant les oeuvres d’A Iain C h a r t i e r que
cet ouvrage en tont entier en fait partie. II est dans I’edition de Paris 1617,
pag. 594 sous le titre du livre des quatre Dames.“
Auf der Vorderseite desselben Blattes steht folgende Notiz: “Le livre
des 4 Dames est le plus suportable de tous les Poemes d’Alain Chartier.
II y a meme quelque chose de fleuri et on y trouve des descriptions et
peintures asses vives. Dans une edition des oeuvres de cet auteur donnee
en 1529, on dit qu’il composa ce Poeme en 1433. Duchesne le renvoye au
contraire a 1415, ou 1416, et I’abbe Goujet croit qu’il a raison. II paroit
que ce Poeme fut fait peu apres la Bataille d’Azincourt qui fut donnee au
mois d’Octobre 1415. Les 4 Dames que le Poete introduit dans son ouvrage
se pleignent d’avoir perdu chacune leur amant dans cette journee et il
paroit par la maniere dont elles s’expriment que leur perte etoit tres
recente. Elles racontent ensuite la fa<jon dont elles pensent que Ifturs amants
sont morts et cela excite des sentimens differents de leurs diverses situations
que le Poeme rend quelquefois avec feu. La fin du Poeme est une con-
testation sur les differents sentiments et le Poete propose pour les accorder
de s’en raporter au jugement de la Dame qu’il aime dont il fait l’eloge —
elles y consentent el il les quitte pour revenir ä Paris ou il feint qu’il ecrivit
tout ce que son poeme contient et qu’il l’envoya ä sa Dame la priant de le
lire et de decider.“
28 Vgl. P i a g e t, Arthur, Romania XXX, p. 46.
29 Die Handschriften der großherzoglichen badischen Hof- und Landes-
bibliothek, Beilage 2, 1894, S. 26.
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