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ment du monogramme de Roger Van der

Weyden, trouvé derrière le triptyque peint en
1443 pour la famille de Willem Edelheer et
actuellement à l'église St. Pierre, à Louvain.
(Voir Journal des Beaux-Arts 1861, page 32.)

[Communiquépar M. Weah).

Ce monogramme se trouve sur un tableau
que possède le musée de Tournai (n° H8bis
du catalogue) et qui représente la Vierge,
l'enfant Jésus, St. Bernard, des soldats et
des Anges. On le rencontre également à Bru-
ges dans l'église St. Sauveur, sur un panneau
cintré représentant une Mater Dolorosa et pro-
venant de l'église conventuelle des Augustins
où il était considéré comme étant d'une gran-
de valeur. Un tableau semblable, non signé,
se rencontre à la Pinacothèque de Munich.

M. Weale ne fait aucune supposition sur ce
monogramme. Serait-il de Jean van Eyck?
(Voir Journal des Beaux-Arts 1861, p. 88).

MARGUERITE VAN EYCK.
(Communiqué par M. J. Weale).

MARiNus. tracée non loin du monogramme, porte ces

(Communiqué par M. Otto Mundler). mots ; Anthoine Perenot, Card. de Granvelle,

Àili » fip -v s" r -1 mn' 62, Cette inscription est

'KVLrirrri) Htf irflf * H ■ 15ZI trat;ée en jaune clair ombré de

brun- Est-elle de la main du
^ous ne pouvons reproduire ici l'intéres- I peintre et que signifie le monogramme du ca-
sante notice publiée par M. Otto Mundler chet?

dans notre Journal, 1863, p. 126, sur ces La peinture paraît flamande et concorde,

comme aspect, à la date de 1562, époque du
séjour du Cardinal dans les Pays-Bas. Autour
du monogramme, se trouve une légende in-
déchiffrable.

Ce portrait se trouve à Nancy.

(Communiqué par M. Cit. Cournault, de Nancy.)

inscriptions précieuses ; nous ne pouvons qu'y
renvoyer nos lecteurs qui y trouveront des
renseignements nouveaux sur un artiste ex-
cellent confondu très souvent avec Quentin
Metsys.

LUCAS GASSEL.
(Communiqué pur M. Héris).

A:SO j544.

Ce monogramme se rencontre sur une œu-
vre fantastique de Lucas Gassel, appartenant
à M. l'avoué Bauwens et provenant du sculp-
teur Fayd'herbe. Dans ce tableau peint en

,-,____.-1544, on remarque un chemin de

o13^-*—--~----3---fer dit américain Voir Journal des

M. Weale, p. 29 de notre Journal, année
1863, émet l'opinion que cette inscription
qu'il a relevée sur un tableau dont il est pos-
sesseur, est la signature de Marguerite van
Eyck. Cette opinion a été contestée, et, il faut
le dire, rien ne prouve jusqu'ici que M.
Weale soit dans le vrai. L'interprétation que
M. Weale fait de cette inscription que nous
avons vue, nous semble fantaisiste. Il faut,
tout au moins, beaucoup de complaisance
pour y trouver le nom de la sœur des célè-
bres peintres flamands.

fer dit américain! (Voir Journal des
Beaux-Arts, 1864, p. 88).

LES RUISDAEL.

(Communiqué par M. Héris).

Ces trois monogrammes appartiennent aux
Ruisdael et ont fait l'objet d'une notice de M.

Sur un portrait d'homme qui se trouve à
Nancy, on remarque le monogramme ci-dessus
avec la date de 1595.

Sait-on ce que ces marques signifient?

(Communiquépar M. Ch. Cournault, de Nancy).

Ce monogramme a été copié d'un tableau
italien du XVII0 siècle. La peinture rappelle
assez celle du napolitain Solimène. Connaît-
on l'artiste à qui ce monogramme pourrait
s'appliquer?

Héris, insérée à la page 175 de notre Journal,
1865.

PIERRE CHRISTOP1ISEN.
(Communiqué par M. Ollo Mundler).

e/\a (Communiqué par M. Ch.

Cournault, de Nancy).
Voici un monogram-
me qui se trouve sur

FRANCE.

Celte inscription si nette et si claire se trouve
sur un portrait de Edward Grimston, appar-
tenant à Lord Verulam. On pourra la rap-
procher de celle donnée par Brulliot, n° 953,
p. 137, 3me partie. (Voir Journal des Beaux-
Arts, 1865, p. 126).

un cachet de cire placé
derrière un petit pan-
neau de forme ronde
représentant le buste
du Cardinal de Gran-
velle. Une inscription

(Correspondance particulière.)

Paris.

On a commencé une souscription pour éle-
ver, dans l'École des Beaux-Arts, une statue
à la mémoire d'Ingres. Sans pousser l'indis-
crétion jusqu'à demander quelles ressources
pourrait fournir à la sculpture ce type d'hom-
me petit, gras et commun, d'une figure très-
peu noble et d'une allure encore moins héroï-
que, nous cherchons encore les motifs de ces
honneurs extraordinaires. Si Ingres a illustré
l'art français, Géricault et Delacroix ne lui
ont pas fait moins d'honneur. Si Ingres a dé-
fendu les doctrines classiques, l'expérience
de chaque jour tend à prouver qu'il n'a fait
que reculer la ruine d'une esthétique surannée.
Que signifient alors toutes ces distinctions?
Qu'on laisse donc enfin les hommes de talent

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