DOI Seite / Zitierlink:
https://doi.org/10.11588/diglit.18493#0122
4
— 114 —
» Zeit erlialten. » Il est donc plus que néces-
saire que l'on fasse tout ce qui est possible
pour donner les preuves du contraire et pour
mieux éclairer les étrangers sur l'art ancien
dans les Pays-Bas.
Il seraitcertes d'une importance majeure que
l'on pût connaître les noms des peintres, leur
école, et quelques particularités en rapport
avec ces choses; peut-être y aurait-il à glaner
dans ces Archives du chapitre du St. Sacre-
ment, à Maastricht, qui reposent à l'hôtel du
Gouvernement en cette ville. On pourrait en-
core consulter la Légende de St. Servais,
d'Henri van Veldeken, (mort avant 1190) d'a-
près un manuscrit du milieu du XVe siècle,
publié par le professeur Bormans, en 1858.
Quoi qu'il en soit, nous espérons que M. de
Stuers aura le bonheur de découvrir encore
beaucoup de peintures murales à Maastricht
et qu'ensuite il pourra publier ces vestiges
si importants pour l'histoire de notre ancien-
ne école; ce serait une page intéressante à
ajouter à la connaissance d'une branche de
l'art dont parle Maerlant lorsqu'il dit :
Een scrivere 'was in Vlaenderlant,
Die malen conde an die want,
Ende met pincelen beeîden maken.
Hi eei'de ende diende in allen saken
Onser Vrouwen. Van hem ginc mare,
Dat hi een groot meester ware.
Eens soudi in eenen portale
Eene ymage, scone ende wale,
31aken na onser Vrouwen ,gedane,
Daer leidi siner zin vaste ane,
Ende pyndem ende dochte,
Hoe hise scoenst gemaken mochle?
CHRONIQUE GÉNÉRALE.
— Le Conseil communal d'Anvers fait exécuter par le
Statuaire Breuer, le buste du regretté Mertens, biblio-
thécaire de la ville d'Anvers, mort récemment. Le buste
sera placé à la bibliothqèue d'Anvers.
— L'oratorio de Benoit, Lucifer, sera exécuté le 20
Août à Anvers.
— Les journaux anglais sont unanimes à faire l'éloge
de l'exposition ouverte à Londres par les soins de la
Société internationale des Beaux-arts, dans son beau local
d'Old Bond Street. Parmi les Belges on cite d'une ma-
nière toute spéciale les œuvres de Fassin, Smits, X. De
Cock, Tscharner, Hermans, Billoin, Stroobant, Kinder-
mans, Duwée, Papeleu, De Noter, etc.
— A la suite d'une circulaire du ministre de l'inté-
rieur, vingt-quatre ouvriers fréquentant l'école de des-
sin et de modelage de Molenbeek Saint-Jean viennent de
partir pour visiter l'exposition de Paris, où ils seront
guidés par le directeur et les professeurs de cet établis-
sement. Des fonds ont été votés, à cet effet, par la com-
mune de Molenbeek et par l'Etat. M. Piron-Vanderlon
et un généreux anonyme sont également intervenus
pour une part dans les frais généraux.
L'école de dessin de Molenbeek- St-Jean estla première
qui ail été désignée pour faire ce voyage à Paris et visi-
ter l'exposition ; elle ouvre donc la marche aux autres
écoles du pays.
Le travail relatif à ces voyages des ouvriers à Paris
était confié, au ministère de l'intérieur, à M. Clerfeyt,
secrétaire de la commission de l'exposition universelle ;
en quelques jours, il est parvenu à organiser et à mener
à bonne fin celte besogne difficile et qui dépendait de
plusieurs administrations.
Exposition d'Anvers.
L'exposition triennale des beaux-arts aura lieu cette
année à Anvers; elle s'ouvrira le 11 août prochain pour
être irrévocablement close le dimanche 6 Octobre sui-
vant. Celle exposition ne comprendra que des œuvres
d'artistes vivants; toutefois, les œuvres des artistes dé-
cédés depuis l'exposition de 1864 y seront également
admises.
La commission recevra au Salon les tableaux, — les
cartons, dessins, aquarelles, pastels, — les gravures,
lithographies, — les sculptures, ciselures et gravures
en médailles, — les compositions architecturales.
ISe seront point admis : Les ouvrages qui ont figuré à
l'une des expositions précédentes, à Anvers. Les copies,
sauf celles qui reproduiraient un ouvrage dans un genre
différent ; les œuvres d'art n'appartenant plus à leur
auteur, s'il n'est justifié de l'autorisation de ce dernier ;
les tableaux, dessins sans cadres; les ouvrages anonymes.
Les ouvrages destinés à l'exposition devront être dé-
posés au local de la Société, rue de Vénus, au plus tard
le 20 juillet à 8 heures du soir. Après celle date ils ne
! seront plus reçus.
Ils seront annoncés par une lettre d'avis adressée au
secrétaire de la Société royale pour l'encouragement des
beaux-arts , à Anvers. Cette lettre fera connaître le nom,
le prénom et le domicile de l'artiste; ■— l'explication
du sujet, — et, si l'artiste désire vendre son œuvre, le
prix qu'il en demande.
Les colis seront adressés : à la commission directrice
■ de l'exposition nationale des beaux-arts, rue de Vénus, à
Anvers.
La Société prend à sa charge les frais de transport sur
le territoire belge, à l'arrivée comme au retour, de tous
les objets qui lui seront envoyés par chemin de fer de
l'Etat, tarif n° 2 (petite vitesse). Les frais faits par toute
autre voie resteront pour compte de l'envoyeur.
Les colis expédiés de l'étranger devront être affranchis
jusqu'à la frontière belge.
Les ressources dont la Société dispose dès aujourd'hui
la mettent en mesure de faire pour elle-même d'impor-
tantes acquisitions d'objets d'art destinés à être réparlis
entre ses souscripteurs.
Académie Royale des sciences, des lettres et des
Beaux-Arts de Belgique.
CLASSE DES LETTRES ET DES SCIENCES MORALES ET POLITIQUES.
PROGRAMME DE CONCOURS POUR (808.
Première question. — Déterminer l'influence que l'é-
tablissement des colonies saxonnes sur le littoral a i
exercée sur les mœurs et les institutions de la Flandre.
Deuxième question. — Faire l'histoire des relations
politiques et administratives qui ont existé entre la
Belgique et le comté de Bourgogne, jusqu'à la conquête
de ce dernier pays par la France.
Troisième question. — On demande un essai sur la
vie et le règne de Septimc Sévère.
Quatrième question. — Jean Lemaire (des Belges) con-
sidéré comme poète et prosateur.
Cinquième question. — Exposer les divers systèmes
électoraux qui ont été successivement introduits chez les
peuples anciens et modernes. Faire, en même temps,
ressortir l'esprit dans lequel ces systèmes ont été conçus,
et en apprécier les résultats pour la liberté civile et po-
litique, pour l'ordre et la prospérité chez ces peuples.
Sixième question. — Faire le tableau de l'état de la
philosophie au moment où ont éclaté les mouvements
révolutionnaires qui ont agité l'Europe en 1848. Faire
ressortir l'influence qu'elle a pu exercer sur ces mouve-
ments et réciproquement. Compléter ce tableau par
l'histoire de la philosophicdepuis 1848jusqu'aujourd'hui.
Les prix réservés à ces diverses questions seront : pour
la première, de mille francs; pour la cinquième, de
douze cents francs ; pour la sixième, de mille francs et de
six cents francs pour chacune des trois autres.
Les mémoires devront être écrits lisiblement et pour-
ront être rédigés en fiançais, en flamand ou en latin;
ils devront être adressés, francs de port, avant le 1er
février 1868, à M. Ad. Quetelet, secrétaire perpétuel.
AN NQN CES-
JOURNAL DES DEMOISELLES
(55mc année).
Le JOURNAL DES DEMOISELLES paraît le 1crdechaque
mois, par livraisons de 52 pages, avec planches de Pa-
trons : Bobes, Manteaux, Lingeries, Broderies, Tapis-
series, Cartonnages. — 18 Gravures de Modes — Gra-
vures artistiques. — Fac-similé d'Aquarelles. — Musique,
et cœlera.
Paris : 10 francs. — Départements ; 12 francs.
TROIS ÉDITIONS BI-MEW SU ELLES
paraissent en deux fois, le 1er et le 15 de chaque mois.
La Violette, avec un grand patron imprimé recto
et verso.
Pans : 15 francs. — Départements: 18 francs.
La Bleue, avec 50 gravures — total 42 par an — et
8 pages de Mode par mois :
Paris : 16 francs. — Départements 18 francs.
La Verte, avec les Patrons et les Suppléments de Modes
des deux autres éditions :
Paris : 20 francs. — Départements : 24 francs.
Les abonnements ne se font que pour l'année entière,
et datent du 1er Janvier.
LA POUPÉE MODÈLE
Journal des Petites Filles (ime année).
LA POUPÉE MODÈLE parait le 15 de chaque mois en
une livraison de 24 pages de texte, — contenant de pe-
i tits contes moraux, — Conseils aux petiles filles, —
Gravures de Modes d'Enfants et de Poupées, — Travaux
d'aiguille et de tapisserie faciles à exécuter, etc. —Ima-
ges coloriées, Feuilles à découper, etc. — Cartonnages,
— Joujoux, — Petit Théâtre, •— Musique, etc.
Pons : d francs. — Départements : 7 francs 50 cent.
La collection entière des trois premières années forme
trois beaux volumes in-8°. ■— Même prix que l'abon-
nement.
Les abonnements ne se font que pour l'année entière et
datent du mois de novembre.
On s'abonne à l'un ou à l'autre des deux journaux en
envoyant un mandat de poste ou une valeur timbrée, à
vue, sur Paris, à l'ordre du Directeur du Journal.
Toute personne des Départements qui en fera la deman-
de par lettre affranchie recevra FRANCO un Numéro Spé-
cimen de l'un des deux Journaux.
A Paris, 1, Boulevard des Italiens, même administra-
lion que LE PETIT COURRIER DES DAMES, Journal
des .Modes (45e année).
Maison LACROIX, VERBOECKHOVENetO", Bruxelles;
Paris, Leipzig.
HISTOIRE DE LA
PEINTURE FLAMANDE
DEPUIS SES DÉBUTS JUSQU'EN 1804
par alfred aiICHIELS.
Tome quatrième. — Seconde édition. — Prix : 5 fr.
DICTIONNAIRE HISTORIQUE
DES PEINTRES
DE TOUTES LES ÉCOLES
depuis l'origine de la peinture jusqu'à nos jours
par ADOLPHE SIRIiT.
DEUXIÈME ÉDITION. — REVUE ET AUGMENTÉE.
Un fort volume, grand in-8°, à 2 colones. — 50 Francs.
PAULUS PÔTTËR
SA VIE & SES ŒUVRES
par T. Van Westrheene, Wz.
1 beau vol. in-8°. La Haye, Martinus Nyboff.— Bruxel-
les, Dccq. — Paris , Bcnouard. Prix : ô florins.
DU MEME AUTEUR :
JAN STEEN
ÉTUDE SUR L'ART EN HOLLANDE
avec liste complète des œuvres de Jan Steen et portrait
gravé au burin. — 1 beau vol. in-8", prix : 5 florins.
ST. NICOLAS, TYP, DE ). EDQM.
— 114 —
» Zeit erlialten. » Il est donc plus que néces-
saire que l'on fasse tout ce qui est possible
pour donner les preuves du contraire et pour
mieux éclairer les étrangers sur l'art ancien
dans les Pays-Bas.
Il seraitcertes d'une importance majeure que
l'on pût connaître les noms des peintres, leur
école, et quelques particularités en rapport
avec ces choses; peut-être y aurait-il à glaner
dans ces Archives du chapitre du St. Sacre-
ment, à Maastricht, qui reposent à l'hôtel du
Gouvernement en cette ville. On pourrait en-
core consulter la Légende de St. Servais,
d'Henri van Veldeken, (mort avant 1190) d'a-
près un manuscrit du milieu du XVe siècle,
publié par le professeur Bormans, en 1858.
Quoi qu'il en soit, nous espérons que M. de
Stuers aura le bonheur de découvrir encore
beaucoup de peintures murales à Maastricht
et qu'ensuite il pourra publier ces vestiges
si importants pour l'histoire de notre ancien-
ne école; ce serait une page intéressante à
ajouter à la connaissance d'une branche de
l'art dont parle Maerlant lorsqu'il dit :
Een scrivere 'was in Vlaenderlant,
Die malen conde an die want,
Ende met pincelen beeîden maken.
Hi eei'de ende diende in allen saken
Onser Vrouwen. Van hem ginc mare,
Dat hi een groot meester ware.
Eens soudi in eenen portale
Eene ymage, scone ende wale,
31aken na onser Vrouwen ,gedane,
Daer leidi siner zin vaste ane,
Ende pyndem ende dochte,
Hoe hise scoenst gemaken mochle?
CHRONIQUE GÉNÉRALE.
— Le Conseil communal d'Anvers fait exécuter par le
Statuaire Breuer, le buste du regretté Mertens, biblio-
thécaire de la ville d'Anvers, mort récemment. Le buste
sera placé à la bibliothqèue d'Anvers.
— L'oratorio de Benoit, Lucifer, sera exécuté le 20
Août à Anvers.
— Les journaux anglais sont unanimes à faire l'éloge
de l'exposition ouverte à Londres par les soins de la
Société internationale des Beaux-arts, dans son beau local
d'Old Bond Street. Parmi les Belges on cite d'une ma-
nière toute spéciale les œuvres de Fassin, Smits, X. De
Cock, Tscharner, Hermans, Billoin, Stroobant, Kinder-
mans, Duwée, Papeleu, De Noter, etc.
— A la suite d'une circulaire du ministre de l'inté-
rieur, vingt-quatre ouvriers fréquentant l'école de des-
sin et de modelage de Molenbeek Saint-Jean viennent de
partir pour visiter l'exposition de Paris, où ils seront
guidés par le directeur et les professeurs de cet établis-
sement. Des fonds ont été votés, à cet effet, par la com-
mune de Molenbeek et par l'Etat. M. Piron-Vanderlon
et un généreux anonyme sont également intervenus
pour une part dans les frais généraux.
L'école de dessin de Molenbeek- St-Jean estla première
qui ail été désignée pour faire ce voyage à Paris et visi-
ter l'exposition ; elle ouvre donc la marche aux autres
écoles du pays.
Le travail relatif à ces voyages des ouvriers à Paris
était confié, au ministère de l'intérieur, à M. Clerfeyt,
secrétaire de la commission de l'exposition universelle ;
en quelques jours, il est parvenu à organiser et à mener
à bonne fin celte besogne difficile et qui dépendait de
plusieurs administrations.
Exposition d'Anvers.
L'exposition triennale des beaux-arts aura lieu cette
année à Anvers; elle s'ouvrira le 11 août prochain pour
être irrévocablement close le dimanche 6 Octobre sui-
vant. Celle exposition ne comprendra que des œuvres
d'artistes vivants; toutefois, les œuvres des artistes dé-
cédés depuis l'exposition de 1864 y seront également
admises.
La commission recevra au Salon les tableaux, — les
cartons, dessins, aquarelles, pastels, — les gravures,
lithographies, — les sculptures, ciselures et gravures
en médailles, — les compositions architecturales.
ISe seront point admis : Les ouvrages qui ont figuré à
l'une des expositions précédentes, à Anvers. Les copies,
sauf celles qui reproduiraient un ouvrage dans un genre
différent ; les œuvres d'art n'appartenant plus à leur
auteur, s'il n'est justifié de l'autorisation de ce dernier ;
les tableaux, dessins sans cadres; les ouvrages anonymes.
Les ouvrages destinés à l'exposition devront être dé-
posés au local de la Société, rue de Vénus, au plus tard
le 20 juillet à 8 heures du soir. Après celle date ils ne
! seront plus reçus.
Ils seront annoncés par une lettre d'avis adressée au
secrétaire de la Société royale pour l'encouragement des
beaux-arts , à Anvers. Cette lettre fera connaître le nom,
le prénom et le domicile de l'artiste; ■— l'explication
du sujet, — et, si l'artiste désire vendre son œuvre, le
prix qu'il en demande.
Les colis seront adressés : à la commission directrice
■ de l'exposition nationale des beaux-arts, rue de Vénus, à
Anvers.
La Société prend à sa charge les frais de transport sur
le territoire belge, à l'arrivée comme au retour, de tous
les objets qui lui seront envoyés par chemin de fer de
l'Etat, tarif n° 2 (petite vitesse). Les frais faits par toute
autre voie resteront pour compte de l'envoyeur.
Les colis expédiés de l'étranger devront être affranchis
jusqu'à la frontière belge.
Les ressources dont la Société dispose dès aujourd'hui
la mettent en mesure de faire pour elle-même d'impor-
tantes acquisitions d'objets d'art destinés à être réparlis
entre ses souscripteurs.
Académie Royale des sciences, des lettres et des
Beaux-Arts de Belgique.
CLASSE DES LETTRES ET DES SCIENCES MORALES ET POLITIQUES.
PROGRAMME DE CONCOURS POUR (808.
Première question. — Déterminer l'influence que l'é-
tablissement des colonies saxonnes sur le littoral a i
exercée sur les mœurs et les institutions de la Flandre.
Deuxième question. — Faire l'histoire des relations
politiques et administratives qui ont existé entre la
Belgique et le comté de Bourgogne, jusqu'à la conquête
de ce dernier pays par la France.
Troisième question. — On demande un essai sur la
vie et le règne de Septimc Sévère.
Quatrième question. — Jean Lemaire (des Belges) con-
sidéré comme poète et prosateur.
Cinquième question. — Exposer les divers systèmes
électoraux qui ont été successivement introduits chez les
peuples anciens et modernes. Faire, en même temps,
ressortir l'esprit dans lequel ces systèmes ont été conçus,
et en apprécier les résultats pour la liberté civile et po-
litique, pour l'ordre et la prospérité chez ces peuples.
Sixième question. — Faire le tableau de l'état de la
philosophie au moment où ont éclaté les mouvements
révolutionnaires qui ont agité l'Europe en 1848. Faire
ressortir l'influence qu'elle a pu exercer sur ces mouve-
ments et réciproquement. Compléter ce tableau par
l'histoire de la philosophicdepuis 1848jusqu'aujourd'hui.
Les prix réservés à ces diverses questions seront : pour
la première, de mille francs; pour la cinquième, de
douze cents francs ; pour la sixième, de mille francs et de
six cents francs pour chacune des trois autres.
Les mémoires devront être écrits lisiblement et pour-
ront être rédigés en fiançais, en flamand ou en latin;
ils devront être adressés, francs de port, avant le 1er
février 1868, à M. Ad. Quetelet, secrétaire perpétuel.
AN NQN CES-
JOURNAL DES DEMOISELLES
(55mc année).
Le JOURNAL DES DEMOISELLES paraît le 1crdechaque
mois, par livraisons de 52 pages, avec planches de Pa-
trons : Bobes, Manteaux, Lingeries, Broderies, Tapis-
series, Cartonnages. — 18 Gravures de Modes — Gra-
vures artistiques. — Fac-similé d'Aquarelles. — Musique,
et cœlera.
Paris : 10 francs. — Départements ; 12 francs.
TROIS ÉDITIONS BI-MEW SU ELLES
paraissent en deux fois, le 1er et le 15 de chaque mois.
La Violette, avec un grand patron imprimé recto
et verso.
Pans : 15 francs. — Départements: 18 francs.
La Bleue, avec 50 gravures — total 42 par an — et
8 pages de Mode par mois :
Paris : 16 francs. — Départements 18 francs.
La Verte, avec les Patrons et les Suppléments de Modes
des deux autres éditions :
Paris : 20 francs. — Départements : 24 francs.
Les abonnements ne se font que pour l'année entière,
et datent du 1er Janvier.
LA POUPÉE MODÈLE
Journal des Petites Filles (ime année).
LA POUPÉE MODÈLE parait le 15 de chaque mois en
une livraison de 24 pages de texte, — contenant de pe-
i tits contes moraux, — Conseils aux petiles filles, —
Gravures de Modes d'Enfants et de Poupées, — Travaux
d'aiguille et de tapisserie faciles à exécuter, etc. —Ima-
ges coloriées, Feuilles à découper, etc. — Cartonnages,
— Joujoux, — Petit Théâtre, •— Musique, etc.
Pons : d francs. — Départements : 7 francs 50 cent.
La collection entière des trois premières années forme
trois beaux volumes in-8°. ■— Même prix que l'abon-
nement.
Les abonnements ne se font que pour l'année entière et
datent du mois de novembre.
On s'abonne à l'un ou à l'autre des deux journaux en
envoyant un mandat de poste ou une valeur timbrée, à
vue, sur Paris, à l'ordre du Directeur du Journal.
Toute personne des Départements qui en fera la deman-
de par lettre affranchie recevra FRANCO un Numéro Spé-
cimen de l'un des deux Journaux.
A Paris, 1, Boulevard des Italiens, même administra-
lion que LE PETIT COURRIER DES DAMES, Journal
des .Modes (45e année).
Maison LACROIX, VERBOECKHOVENetO", Bruxelles;
Paris, Leipzig.
HISTOIRE DE LA
PEINTURE FLAMANDE
DEPUIS SES DÉBUTS JUSQU'EN 1804
par alfred aiICHIELS.
Tome quatrième. — Seconde édition. — Prix : 5 fr.
DICTIONNAIRE HISTORIQUE
DES PEINTRES
DE TOUTES LES ÉCOLES
depuis l'origine de la peinture jusqu'à nos jours
par ADOLPHE SIRIiT.
DEUXIÈME ÉDITION. — REVUE ET AUGMENTÉE.
Un fort volume, grand in-8°, à 2 colones. — 50 Francs.
PAULUS PÔTTËR
SA VIE & SES ŒUVRES
par T. Van Westrheene, Wz.
1 beau vol. in-8°. La Haye, Martinus Nyboff.— Bruxel-
les, Dccq. — Paris , Bcnouard. Prix : ô florins.
DU MEME AUTEUR :
JAN STEEN
ÉTUDE SUR L'ART EN HOLLANDE
avec liste complète des œuvres de Jan Steen et portrait
gravé au burin. — 1 beau vol. in-8", prix : 5 florins.
ST. NICOLAS, TYP, DE ). EDQM.