CATALOGUE DES INSCRIPTIONS
ru
T raduction :
Au mois de Elül de l’année 329 (septembre de l’année 17) ce tombeau est
celui de ‘Ogïlô, fils de Yedî'bel, fils de Bôrephâ des Béni ... qu’il a fait pour
lui et ses enfants.
Trouvée dans le socle de la colonnade Sud fouillée en 1962, prés de la
Grande Porte.
3. Inv. CD 69 (fig. 108).
Calcaire gris, dur.
Haut. 0“ 34. Larg. 0m,485. Prof. 0m,25.
Fragment d’une console murale. Inscription sur la face de la console en
six lignes. Écriture gravée et peinte en rouge, en partie effacée.
T ext e:
1 S LM DNH DY ZBDLH DY MTQR’
2 SHLPH BR SM‘WN BR ’YS’ DY MN
3 B NY M‘ZYN DY ’QYMW LH ’LT W BNY
4 (N)WRBL LYQRH
5 BYRH ’R SNT CCCLXXIIT
6 DKYR HLYPY BR YRHY ’LHW(C)LWP’
Tr aduction :
Cette statue est celle de Zabdalah qui est surnommé... SHPLH fils de
Sim‘ôn, fils de Aisà des Benë Ma'ziyân que lui a élevé Allâth et Benë Nürabel
en son honneur au mois de Adar (ou Iyar) de l’année 373 (mars ou mai l’an 62)2.
2 La déesse Allâth comme fondatrice d’un monument commémoratif est déjà connue de deux inscriptions
provenant de la même époque, cf. J. C a n t i n e a u, Inventaire VI, pp. 4-7 et II, pp. 22-23.
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T raduction :
Au mois de Elül de l’année 329 (septembre de l’année 17) ce tombeau est
celui de ‘Ogïlô, fils de Yedî'bel, fils de Bôrephâ des Béni ... qu’il a fait pour
lui et ses enfants.
Trouvée dans le socle de la colonnade Sud fouillée en 1962, prés de la
Grande Porte.
3. Inv. CD 69 (fig. 108).
Calcaire gris, dur.
Haut. 0“ 34. Larg. 0m,485. Prof. 0m,25.
Fragment d’une console murale. Inscription sur la face de la console en
six lignes. Écriture gravée et peinte en rouge, en partie effacée.
T ext e:
1 S LM DNH DY ZBDLH DY MTQR’
2 SHLPH BR SM‘WN BR ’YS’ DY MN
3 B NY M‘ZYN DY ’QYMW LH ’LT W BNY
4 (N)WRBL LYQRH
5 BYRH ’R SNT CCCLXXIIT
6 DKYR HLYPY BR YRHY ’LHW(C)LWP’
Tr aduction :
Cette statue est celle de Zabdalah qui est surnommé... SHPLH fils de
Sim‘ôn, fils de Aisà des Benë Ma'ziyân que lui a élevé Allâth et Benë Nürabel
en son honneur au mois de Adar (ou Iyar) de l’année 373 (mars ou mai l’an 62)2.
2 La déesse Allâth comme fondatrice d’un monument commémoratif est déjà connue de deux inscriptions
provenant de la même époque, cf. J. C a n t i n e a u, Inventaire VI, pp. 4-7 et II, pp. 22-23.