INSCRIPTIONS INÉDITES
DE LA
PROVINCE DE CONSTANTINE
Par Ch. VARS,
Secrétaire de la Société archéologique
Grâce au zèle de nos correspondants qui se sont
empressés de répondre à l'appel que nous leur adres-
sions l'année dernière ; grâce aux recherches fruc-
tueuses de nos confrères, MM. le lieutenant-colonel
Gœtschy et Stéphane Gsell, professeur à l'École su-
périeure des Lettres d'Alger; grâce, enfin, aux sa-
crifices que s'est imposée la Société archéologique
en nous confiant à nous-mème deux missions épi-
graphiques, l'une à Announa (Thibili) et l'autre à
Oum-Gueriguech (Civitas Nattabu(um), près de Re-
nier, notre volume contient cette année une ample
moit-son d'épigraphes inédites.
Nos lecteurs viennent d'étudier les textes envoyés
de la région d'Haydra (Tunisie) par M. Gœtschy. Un
grand nomhre présentent un intérêt réel que nous
aurions voulu souligner par un commentaire. Mal-
heureusement, le mauvais temps n'a pas permis à
notre correspondant de prendre des estampages.
L'incertitude qui en résulte pour nous ne nous auto-
DE LA
PROVINCE DE CONSTANTINE
Par Ch. VARS,
Secrétaire de la Société archéologique
Grâce au zèle de nos correspondants qui se sont
empressés de répondre à l'appel que nous leur adres-
sions l'année dernière ; grâce aux recherches fruc-
tueuses de nos confrères, MM. le lieutenant-colonel
Gœtschy et Stéphane Gsell, professeur à l'École su-
périeure des Lettres d'Alger; grâce, enfin, aux sa-
crifices que s'est imposée la Société archéologique
en nous confiant à nous-mème deux missions épi-
graphiques, l'une à Announa (Thibili) et l'autre à
Oum-Gueriguech (Civitas Nattabu(um), près de Re-
nier, notre volume contient cette année une ample
moit-son d'épigraphes inédites.
Nos lecteurs viennent d'étudier les textes envoyés
de la région d'Haydra (Tunisie) par M. Gœtschy. Un
grand nomhre présentent un intérêt réel que nous
aurions voulu souligner par un commentaire. Mal-
heureusement, le mauvais temps n'a pas permis à
notre correspondant de prendre des estampages.
L'incertitude qui en résulte pour nous ne nous auto-