DOI Heft:
Nr. 1-4
DOI Artikel:Revillout, Eugène: Les entretiens philosophiques de la chatte éthiopienne et du petit chacal Koufi, [4]
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.11060#0024
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Eugène Ebvillout.
» régulatrice (le neyeb) du monde repose sur lui1 — je parle du sceptre des maîtres du
r> monde.2
«II (le dieu Sai) dit à elle : «Pousse (tige), sois eii nom (à titre) de semence encore :3
»et semblablement la pousse de papyrus qu'on la mange quand elle va pousser.4 Semblable-
»ment la feuille, qu'on la prenne pour beaucoup de nids (d'oiseaux5).»
«Il a dit à la stèle (d'être à ce nom à savoir : «Que la pierre soit la stèle en Egypte»0
»— et le nid du serpent, c'est la pierre que les montagnes produisent.7 II n'existe) point,
» celui qui la transportera ailleurs.8
« Il a dit au papyrus : « Sois ! » — et (il n'existe) point celui qui le transportera ailleurs pour
«pousser.9 — Il n'y a personne qui le méprise en Egypte, car on fait sur lui des suppli-
» cations à la déesse (pour avoir des richesses10); car les montagnes ne produisent pas par
«elles-mêmes (par leur être) de l'or vrai — cette chose que personne ne méprise même en
»Éthiopie, tou pays, (ô chatte éthiopienne!11).
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2 c'ei pat nanebu nplo | _a | * k. I I l' ~ nK& llnie0)-
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= ujoon,
mketi pmkar nt'uf mtu amtuf eefi rot {^^\
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on).
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: I I I
oh-ûiav, <=> C| ^ q A = eeqei, <__] ^JJ = pco-r).
— Nous savons par les anciens que" le tubercule du papyrus était cuit sous la cendre, comme les pommes
de terre maintenant, et formait le fond de l'alimentation des Égyptiens.
5 mketi ta yab (= keb) .... mtuu t'i ams eaU enmeh ^ > ) ^ Jj = ^[ -
JJ ^ de notre texte, ^ ^ '-^ = ati, mavoc, '$4^ = ^S^'j 'WWA oc>\ -
6 erf t'e uiti eravf t'e mtu pani yep puiii kemi ^^=*^ _> J = otggit, <d> ^
= rhavg).
^ = H.TG, (| Q-j-j-Q-j-j = t01lC! 8-1^'^
7 mah npliof pani nte er natoou kema (
9 e/^/* £'e £aw/i /ep ôe?i pentut erof rot ^ ï^=w-;
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\\ = ne'lT' T\1 = °"rt°T' , —3 "^î = PÛ>T)'
0 ben petit seSi erof nkemi sepsep eef er amf nta netert pai j -J = n,
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nnooq,
\\ = DtooTrq, fâ? = ujoon, -J = n5
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^ = kh.sie, cenecon = cconc -
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= neiiT, ctoui,
J
11 ben natoou %a ncvyep per an nnub nmat pnka nte ben petit naseSf erof en mami pet to5 (^ce, »
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A = neipe, au
Eugène Ebvillout.
» régulatrice (le neyeb) du monde repose sur lui1 — je parle du sceptre des maîtres du
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«II (le dieu Sai) dit à elle : «Pousse (tige), sois eii nom (à titre) de semence encore :3
»et semblablement la pousse de papyrus qu'on la mange quand elle va pousser.4 Semblable-
»ment la feuille, qu'on la prenne pour beaucoup de nids (d'oiseaux5).»
«Il a dit à la stèle (d'être à ce nom à savoir : «Que la pierre soit la stèle en Egypte»0
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» celui qui la transportera ailleurs.8
« Il a dit au papyrus : « Sois ! » — et (il n'existe) point celui qui le transportera ailleurs pour
«pousser.9 — Il n'y a personne qui le méprise en Egypte, car on fait sur lui des suppli-
» cations à la déesse (pour avoir des richesses10); car les montagnes ne produisent pas par
«elles-mêmes (par leur être) de l'or vrai — cette chose que personne ne méprise même en
»Éthiopie, tou pays, (ô chatte éthiopienne!11).
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