DOI Heft:
Nr. 1-4
DOI Artikel:Aimé-Giron, Noe͏̈l: Une plaque hittite inédite
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.11060#0069
61
Un côté, que j'appellerai religieux, était celui destiné à être enchâssé dans la muraille;
l'autre, de rituel funèbre, était exposé aux regards des parents et des passants.
Le côté religieux se divise en deux registres superposés : un registre supérieur et un
registre inférieur.
Sur le registre supérieur, de droite à gauche, se trouvent la Triade sacrée d'Osiris,
d'Horus et d'Isis, puis un prêtre qui leur fait face.
Les trois divinités sont assises, nues, chacune sur un escabeau à dossier bas recourbé
en arrière, et reposent, toutes trois, sur une ligne droite qui figure - probablement - la
limite céleste, car elle n'existe pas sous les pieds du prêtre dont nous parlerons tout à l'heure.
La première, une Isis coiffée d'une sorte de calotte surmontée d'une petite statuette —
croyons-nous - et qui se continue et descend sur le dos, jusqu'au bas des reins, en une
™ j nnmmo iitip chevelure ou une étoffe. Elle a le bras gauche levé et
masse sans ornement, comme une ^^uuiv s
les doigts de la main tournés vers Horus devant elle, son bras droit passé au bras gauche
de son fils.
Horus, avec une tête d'épervier, coiffé du Pschent, auquel il manque l'Uréus, et d'une
calotte de toile dont les bouts retombent en bandeaux sur sa poitrine. Il a le bras droit et
l'index levés.
Osiris est coiffé du Pschent orné de l'Atef auquel il manque la plume antérieure.
Un côté, que j'appellerai religieux, était celui destiné à être enchâssé dans la muraille;
l'autre, de rituel funèbre, était exposé aux regards des parents et des passants.
Le côté religieux se divise en deux registres superposés : un registre supérieur et un
registre inférieur.
Sur le registre supérieur, de droite à gauche, se trouvent la Triade sacrée d'Osiris,
d'Horus et d'Isis, puis un prêtre qui leur fait face.
Les trois divinités sont assises, nues, chacune sur un escabeau à dossier bas recourbé
en arrière, et reposent, toutes trois, sur une ligne droite qui figure - probablement - la
limite céleste, car elle n'existe pas sous les pieds du prêtre dont nous parlerons tout à l'heure.
La première, une Isis coiffée d'une sorte de calotte surmontée d'une petite statuette —
croyons-nous - et qui se continue et descend sur le dos, jusqu'au bas des reins, en une
™ j nnmmo iitip chevelure ou une étoffe. Elle a le bras gauche levé et
masse sans ornement, comme une ^^uuiv s
les doigts de la main tournés vers Horus devant elle, son bras droit passé au bras gauche
de son fils.
Horus, avec une tête d'épervier, coiffé du Pschent, auquel il manque l'Uréus, et d'une
calotte de toile dont les bouts retombent en bandeaux sur sa poitrine. Il a le bras droit et
l'index levés.
Osiris est coiffé du Pschent orné de l'Atef auquel il manque la plume antérieure.