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Revue égyptologique — 9.1900

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Nr. 1-4
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Rougé, Jacques de: Le poème de Pentaour, [11]
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https://doi.org/10.11588/diglit.11060#0073
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Le poème de Pentaour.

65

P. S. Ix/9.
L. 79.
K. 65.

P. S. IX, 9.

L. 79.
K. détruit.

sau-k ati1 (en) peu6 yeta er nehelt-6 fêta (hân

Tu as brisé les reins de celui de Kheta pour les siècles à toujours. Alors

P. S. IX, 10.
L. 79.
K. 66.

fat en).....iu apu - ti - f 'fer Sa em tot-f her ran

on dit au (roi) qu'arrivait un messager avec une lettre dans sa main au nom

1 em liâ-u-f, mot-à-mot : «dans ses membres», c'est-à-dire : lui-même, en personne.

2 %. fllj^n. heri «terreur». Cf. ç_e\i, Lerror.

3 Ce groupe paraît fautif: déjà (Louqs. 65) le scribe avait fait une répétition inutile avant ce même
mot sau (J. R.). — On peut se demander pourtant si nés n'indique pas pour sau ou nsau une prononciation
adoucie, comme nous en constatons pour le z transcrit ns, le d (3) transcrit ni, etc. dans les papyrus
bilingues démotico-grecs. Il s'agirait alors simplement de compléments phonétiques du verbe zan = J?lî
qui dans les langues sémitiques a les mêmes sens (E. R.).

5 ^ après le substantif est déterminatif : avant, c'est plutôt l'article composé pa-en «le de».

6 neheh paraît être l'éternité qui a commencé à un lever de soleil au commencement, tandis que t'ela
serait l'éternité sans commencement ni fin.

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