Papyrus magique de Londees et de Leide.
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III, 4. à Anubis, à savoir : Le dieu qui répondra à moi aujourd'hui, qu'il me dise son nom. — Il
se tient debout sur ses pieds pour dire son nom. Tu l'interroges
III, 5. sur toute chose que tu désires. — Sa conjuration (réunion) d'esprits. — Quand tu as apporté
sept briques neuves qu'on n'a point (remuées) pour les retourner
III, 6. sur l'autre face, tu les prends, toi-même étant pur et sans toucher rien au monde, tu les
établis à la façon dont elles étaient
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III, 4. nanpu
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111,5. e^e<! (_|_C~':' ^^^"^ uj&.3ce niJA.) ; ntearkabf ^ j^jjj j Pe/sahai/ (eoovçisS ^ "jfj j))'
yjin («geot); cwzï& ^J^ ente); <e5a ^t~°=^3^j ^ t£°êg); «e^e/ c<s.ujq); nnemai.
Pour l'orthographe spéciale de ce mot Z_///^J^ voir l'identité d'orthographe de y//'/-^
\> «île» et de y^fH^^ | ' ^ j] * à nouveau *• p0111' le Premier de ces mots
11^^ = «île»'' = voir Canope dans ma Chrest. dém., p. 35. Pour le second -
AAAAAA^^| * ^ nouveau * vcnr Eosette, Chrest. dém., p. 183. Le signe ressemblant à un qui ter-
mine le mot, est <c£^ servant à désigner l'« île » ou servant de déterminatif aux différents mots qui ont
cette signification. Ce déterminatif, devenu abusif, est resté pour l'autre signification. Les transcriptions,
telles que— ta\.ottïioro . . ., prouvent qu'il était muet. Ajoutons que dans le papyrus
magique le ti de relation précédant mai a fini par faire corps avec le mot et par être ainsi redoublé.
Conf. Maspero sur le Papyrus démotique bilingue de Paris, VI, 13.
buartu kim (riav.)* natnu (av.ja.oott)-, epena (ncocone }.
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III, 6. epke (rê Vif \ 5 ho (°_° ^Ç)? earkf t^^^^*^))'1 earkab (otw); nid (hots-cuî s^); n^'eh
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III, 4. à Anubis, à savoir : Le dieu qui répondra à moi aujourd'hui, qu'il me dise son nom. — Il
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III, 5. sur toute chose que tu désires. — Sa conjuration (réunion) d'esprits. — Quand tu as apporté
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11^^ = «île»'' = voir Canope dans ma Chrest. dém., p. 35. Pour le second -
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mine le mot, est <c£^ servant à désigner l'« île » ou servant de déterminatif aux différents mots qui ont
cette signification. Ce déterminatif, devenu abusif, est resté pour l'autre signification. Les transcriptions,
telles que— ta\.ottïioro . . ., prouvent qu'il était muet. Ajoutons que dans le papyrus
magique le ti de relation précédant mai a fini par faire corps avec le mot et par être ainsi redoublé.
Conf. Maspero sur le Papyrus démotique bilingue de Paris, VI, 13.
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