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Revue égyptologique — 12.1907

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Nr. 1-3
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Revillout, Eugène: Papyrus magique de Londres et de Leide, [2]
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https://doi.org/10.11588/diglit.11501#0073
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Papykus magique de Londees et de Leide.

63

III, 11. Tu amènes un jeune homme pur qui n'est pas allé avec femme. Tu parles sur sa tête,
III, 12. alors qu'il se tient debout sur ses pieds, à savoir : Est-ce qu'il sera digne d'aller au vase?

— S'il est digne, tu le feras coucher sur le ventre.

III, 13. Tu le couvriras d'un voile de lin pur. Tu crieras en bas sur sa tête, alors qu'un manteau

bleu sera à la partie supérieure de lui

III, 11. Vv 1V»

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III, 13. [ (3-<S>-^*| ^ ^^^A^^'^OI^ j^A^AAA^^f ( (S ! ^ [

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III, 11. mato (eMes.Te jjj^ (j j)ï sur les transformations phonétiques de ce mot voir les notes de mon
Pétibast)-, mtukani (ktcriki); ou/em^el (WujHA\.s5e'\ujHpi); efub (eqoTHÊ)-, ebuartufi >J I ^

[_ (jj A^; «m (ivTû)); ^^jj q oioavg); earkset'e (grccs.2£.i) ; e^?-i (e&pni); ^en (iSeti); i'a/'/ (fjs.co2c

III, 12. e/fta ^SLe)î eratf (p^Tq ^^_f e^ (""^ T£.H); *'e O2*-6 '^^^^l)' °"

est peut-être ici pris pour eui interrogatif); e/ersw (ujo-y); m |aw« | { A Rd); ephne (enoniN.fc.ir
efersu (eqepujoir); e/'M &e</(eR^ rrot \J .Çg3~ j ; e7»> ^ ^ çi)-, ^e««/ ^ Sut).

III, 13. earkhebs Ç&ooc)i tjow, sentat natiu (ujetrrco tufc.ir ^ ^ | "|" >.wm ^ g. Pour la

transcription ei ou ci0.tr de = ^ ^ dans notre document même, voir Poème satyrique, p. 71, Les

compléments phonétiques fixent d'ailleurs ici la prononciation ifc-ir); es«A (ecoTHÊ)-, earkaë (eiicouj ^ "^)'
e/ri (esSpm); jen (5en ctz:); (aewat. A lk\ h \\ ft\ \^ <? | ; eun (<^. oiron); om (ou-

^pj- 1(1 (3 jj, cont. XXI, 5) niorft.

Ce mot, écrit primitivement j et *ra*iTiit par les contrats bilingues de Vienne, etc., otx7]xr)piov,

désignait un appartement, une partie de maison ou de demeure <zr> | ^ ' , tandis que la maison se

disait //\ | ^ = nrzi — ouux. Le mot pi ce/Za a conservé ce sens en copte. Mais peu à peu, la

prononciation vulgaire pi, en laissant tomber l'aspirée ha, a amené à confondre d'une façon plus générale

ce mot avec <zr> I pe «partie». Dans le décret de Rosette et dans Setna même, /_^Z.//\.^y^j

désigne la partie supérieure d'un naos par exemple, etc., voir ma Ohrest. dém., p. 49, Setna, p. 141,
Poème 165, 168, Setme, II, 17 et 19; VI, 18, etc. Le Rituel de Pamont, préface, p. IV, emploie même

Sj^jy pour « tes parties », c'est-à-dire les parties de ton corps. Dans le pap. magique il reçoit le com-
plément phonétique i.

hirt ^ ^ F=3, voir la note précédente).
 
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