Papykus magique de Londees et de Leide.
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III, 11. Tu amènes un jeune homme pur qui n'est pas allé avec femme. Tu parles sur sa tête,
III, 12. alors qu'il se tient debout sur ses pieds, à savoir : Est-ce qu'il sera digne d'aller au vase?
— S'il est digne, tu le feras coucher sur le ventre.
III, 13. Tu le couvriras d'un voile de lin pur. Tu crieras en bas sur sa tête, alors qu'un manteau
bleu sera à la partie supérieure de lui
III, 11. Vv 1V»
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III, 13. [ (3-<S>-^*| ^ ^^^A^^'^OI^ j^A^AAA^^f ( (S ! ^ [
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tH) lis) 1 1 1 U
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III, 11. mato (eMes.Te jjj^ (j j)ï sur les transformations phonétiques de ce mot voir les notes de mon
Pétibast)-, mtukani (ktcriki); ou/em^el (WujHA\.s5e'\ujHpi); efub (eqoTHÊ)-, ebuartufi >J I ^
[_ (jj A^; «m (ivTû)); ^^jj q oioavg); earkset'e (grccs.2£.i) ; e^?-i (e&pni); ^en (iSeti); i'a/'/ (fjs.co2c
III, 12. e/fta ^SLe)î eratf (p^Tq ^^_f e^ (""^ T£.H); *'e O2*-6 '^^^^l)' °"
est peut-être ici pris pour eui interrogatif); e/ersw (ujo-y); m |aw« | { A Rd); ephne (enoniN.fc.ir
efersu (eqepujoir); e/'M &e</(eR^ rrot \J .Çg3~ j ; e7»> ^ ^ çi)-, ^e««/ ^ Sut).
III, 13. earkhebs Ç&ooc)i tjow, sentat natiu (ujetrrco tufc.ir ^ ^ | "|" >.wm ^ g. Pour la
transcription ei ou ci0.tr de = ^ ^ dans notre document même, voir Poème satyrique, p. 71, Les
compléments phonétiques fixent d'ailleurs ici la prononciation ifc-ir); es«A (ecoTHÊ)-, earkaë (eiicouj ^ "^)'
e/ri (esSpm); jen (5en ctz:); (aewat. A lk\ h \\ ft\ \^ <? | ; eun (<^. oiron); om (ou-
^pj- 1(1 (3 jj, cont. XXI, 5) niorft.
Ce mot, écrit primitivement j et *ra*iTiit par les contrats bilingues de Vienne, etc., otx7]xr)piov,
désignait un appartement, une partie de maison ou de demeure <zr> | ^ ' , tandis que la maison se
disait //\ | ^ = nrzi — ouux. Le mot pi ce/Za a conservé ce sens en copte. Mais peu à peu, la
prononciation vulgaire pi, en laissant tomber l'aspirée ha, a amené à confondre d'une façon plus générale
ce mot avec <zr> I pe «partie». Dans le décret de Rosette et dans Setna même, /_^Z.//\.^y^j
désigne la partie supérieure d'un naos par exemple, etc., voir ma Ohrest. dém., p. 49, Setna, p. 141,
Poème 165, 168, Setme, II, 17 et 19; VI, 18, etc. Le Rituel de Pamont, préface, p. IV, emploie même
Sj^jy pour « tes parties », c'est-à-dire les parties de ton corps. Dans le pap. magique il reçoit le com-
plément phonétique i.
hirt ^ ^ F=3, voir la note précédente).
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III, 11. Tu amènes un jeune homme pur qui n'est pas allé avec femme. Tu parles sur sa tête,
III, 12. alors qu'il se tient debout sur ses pieds, à savoir : Est-ce qu'il sera digne d'aller au vase?
— S'il est digne, tu le feras coucher sur le ventre.
III, 13. Tu le couvriras d'un voile de lin pur. Tu crieras en bas sur sa tête, alors qu'un manteau
bleu sera à la partie supérieure de lui
III, 11. Vv 1V»
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III, 13. [ (3-<S>-^*| ^ ^^^A^^'^OI^ j^A^AAA^^f ( (S ! ^ [
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III, 11. mato (eMes.Te jjj^ (j j)ï sur les transformations phonétiques de ce mot voir les notes de mon
Pétibast)-, mtukani (ktcriki); ou/em^el (WujHA\.s5e'\ujHpi); efub (eqoTHÊ)-, ebuartufi >J I ^
[_ (jj A^; «m (ivTû)); ^^jj q oioavg); earkset'e (grccs.2£.i) ; e^?-i (e&pni); ^en (iSeti); i'a/'/ (fjs.co2c
III, 12. e/fta ^SLe)î eratf (p^Tq ^^_f e^ (""^ T£.H); *'e O2*-6 '^^^^l)' °"
est peut-être ici pris pour eui interrogatif); e/ersw (ujo-y); m |aw« | { A Rd); ephne (enoniN.fc.ir
efersu (eqepujoir); e/'M &e</(eR^ rrot \J .Çg3~ j ; e7»> ^ ^ çi)-, ^e««/ ^ Sut).
III, 13. earkhebs Ç&ooc)i tjow, sentat natiu (ujetrrco tufc.ir ^ ^ | "|" >.wm ^ g. Pour la
transcription ei ou ci0.tr de = ^ ^ dans notre document même, voir Poème satyrique, p. 71, Les
compléments phonétiques fixent d'ailleurs ici la prononciation ifc-ir); es«A (ecoTHÊ)-, earkaë (eiicouj ^ "^)'
e/ri (esSpm); jen (5en ctz:); (aewat. A lk\ h \\ ft\ \^ <? | ; eun (<^. oiron); om (ou-
^pj- 1(1 (3 jj, cont. XXI, 5) niorft.
Ce mot, écrit primitivement j et *ra*iTiit par les contrats bilingues de Vienne, etc., otx7]xr)piov,
désignait un appartement, une partie de maison ou de demeure <zr> | ^ ' , tandis que la maison se
disait //\ | ^ = nrzi — ouux. Le mot pi ce/Za a conservé ce sens en copte. Mais peu à peu, la
prononciation vulgaire pi, en laissant tomber l'aspirée ha, a amené à confondre d'une façon plus générale
ce mot avec <zr> I pe «partie». Dans le décret de Rosette et dans Setna même, /_^Z.//\.^y^j
désigne la partie supérieure d'un naos par exemple, etc., voir ma Ohrest. dém., p. 49, Setna, p. 141,
Poème 165, 168, Setme, II, 17 et 19; VI, 18, etc. Le Rituel de Pamont, préface, p. IV, emploie même
Sj^jy pour « tes parties », c'est-à-dire les parties de ton corps. Dans le pap. magique il reçoit le com-
plément phonétique i.
hirt ^ ^ F=3, voir la note précédente).