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https://doi.org/10.11588/diglit.27697#0159
PASIPHAE.
@Asmiv r àytXjngiïgt..
Tous les oimrages de 'Dedale sembkntproprement (èmomoir, dr (es essîpies de voh\
T 2 E T Z B n,'
sansmainsfansfiedssânsyeux : teliement qiïilfut lesremier quiy ftvne dtstincîion de mains &de pieds^
& accommoda les doigts, enfe?nble lespaupieres,&autresparties du corps, Ce qui a donnéIteu à la sdîion.que
tout ce quipartoit de la main de Dedalus auoit momement & vie\
C a r il iette ienefçay quelleœillade pleinedegrande discretion. Cecy bat sur le Prouerbe3 AYWp
@Xè7wç,Le rcgardAttique. Ce qui dénote proprementvn îiomme quiveut faire du sufïisant&£
entendm c’est à dire, qui fait bonne mine5 A: le plus souuent mauuais jeu, Dequoy estoient sur
tous les autresGrecs taxcz principalement les Atheniens, commequelque peuimpudens Sc
effrontez; voire qui monstroient vne partrop grande asfeuranee en ce quils auoient à dire3
âinii que le sçait fort bien remarquer Aristophanes és nuées.
Pîutarque à ce propos 5 en la vie de Phociom <povsima $ dvê. yXdortVTtt zXdvaztvTu,
Dedalus. Âristophane és nuées 5 où il tasche de perstreindre & blasoiiner Socrates5 introduit
vn Strepsiades qui veut enuoyer son fils Philippides àson escole, pour apprendrelamaniere
de fuyr à payer leurs debtes3 dont la farce de Pattelin semble auoir esté empruntée. Philippi~
des donc demande à son pere ; Qui sont ces ames si sçauantes qiul iuy loiië tant? Etil responci
qu’tl n’en sçaitpas bien le nom5toutesfois que ce sontgens bons &: honnestes5&Merimnopbron*
tisesy c’est à dire a vne fort estroite contemplation. Ha » ne m’en parlez plus2 dit Philippides,
Et Platon touc auconlmencementdu Phædrus Fintroduit 5 parlantainsi à Socrates 5 Iefiis tout
a çroposdefcbauféwaintenant, carquantà toy, tu l’estousiours. Etdans le Symposion oubanquet, i!
fait mention d’vn Aristodemus Cydatherien, qui auoit de coustume d’aller tousiours les pieds
nuds 5 disant incontinent apres, qu’il venoit de rencontrer Socrates tres-bkn estuué fc iauéÿ
auec des souliers en ses pieds : ce qui ne luy aduenoit pas souuenti
M iij
@Asmiv r àytXjngiïgt..
Tous les oimrages de 'Dedale sembkntproprement (èmomoir, dr (es essîpies de voh\
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sansmainsfansfiedssânsyeux : teliement qiïilfut lesremier quiy ftvne dtstincîion de mains &de pieds^
& accommoda les doigts, enfe?nble lespaupieres,&autresparties du corps, Ce qui a donnéIteu à la sdîion.que
tout ce quipartoit de la main de Dedalus auoit momement & vie\
C a r il iette ienefçay quelleœillade pleinedegrande discretion. Cecy bat sur le Prouerbe3 AYWp
@Xè7wç,Le rcgardAttique. Ce qui dénote proprementvn îiomme quiveut faire du sufïisant&£
entendm c’est à dire, qui fait bonne mine5 A: le plus souuent mauuais jeu, Dequoy estoient sur
tous les autresGrecs taxcz principalement les Atheniens, commequelque peuimpudens Sc
effrontez; voire qui monstroient vne partrop grande asfeuranee en ce quils auoient à dire3
âinii que le sçait fort bien remarquer Aristophanes és nuées.
Pîutarque à ce propos 5 en la vie de Phociom <povsima $ dvê. yXdortVTtt zXdvaztvTu,
Dedalus. Âristophane és nuées 5 où il tasche de perstreindre & blasoiiner Socrates5 introduit
vn Strepsiades qui veut enuoyer son fils Philippides àson escole, pour apprendrelamaniere
de fuyr à payer leurs debtes3 dont la farce de Pattelin semble auoir esté empruntée. Philippi~
des donc demande à son pere ; Qui sont ces ames si sçauantes qiul iuy loiië tant? Etil responci
qu’tl n’en sçaitpas bien le nom5toutesfois que ce sontgens bons &: honnestes5&Merimnopbron*
tisesy c’est à dire a vne fort estroite contemplation. Ha » ne m’en parlez plus2 dit Philippides,
Et Platon touc auconlmencementdu Phædrus Fintroduit 5 parlantainsi à Socrates 5 Iefiis tout
a çroposdefcbauféwaintenant, carquantà toy, tu l’estousiours. Etdans le Symposion oubanquet, i!
fait mention d’vn Aristodemus Cydatherien, qui auoit de coustume d’aller tousiours les pieds
nuds 5 disant incontinent apres, qu’il venoit de rencontrer Socrates tres-bkn estuué fc iauéÿ
auec des souliers en ses pieds : ce qui ne luy aduenoit pas souuenti
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