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https://doi.org/10.11588/diglit.27697#0354
w-
ARRICHION.
ne du Roy alaguerrc.Arislophanes auPiutus introduisant laPauureté, quircproche àIupitcr
son indigcnce. s , > , ~
£/ yè i7Îk& etGi TFlSç 7F01CÙV CUITVÇ TOV 0X\J\À/7ncL)tOV CL'yàùVCL)
Ita tocç' ÏMlwM a.7mso( dù Jt tvw mpvm %iway*'ip{,
A.’vtiMpvTi'Tev sip stPivJp vix&>v(&Ç > ‘?e (Pw !ù}CTa-Ç>
xvnva çeçata* fêvvo) tf&ï&ov ifëlw yèiTnp ïTÛ'.'t.'tft.
Car/î Inpiter efioit riché, cemment cjl-ce que faisint ajjimbler tew les Grecs de cmtjans en tinq anspotir celc-
brer ks combats & ieux deprix olpmpitjues.Une decerneaux vainqueursqu’vne ctwromt d’olmer-, U m
toutcssois s’iUmit deauoyclle deuroitestre d’or. , .
L y Ÿ estant ïcy decerné cét honneurstir le deputede la Grece. Ce depute , îugc, president, lii-
petintendant, ou autre tel nom qu’on luy vueüle donnet: s’appelloit en Grec ^oftrnç. Le
premier Hellanodique ou iuge des sacrez combats fut institue par Hercules es icux Olympt-
ques; & puis continué à celuy qui auok la reputation d’estre le plus entier, ventable & sincere;
car il estoit esseu à celapar les voix & suffrages du peuple: &: deferoit le pnx a ceux qm ensa
conscience luy sembloient auoir le mieuxfait lcur dcuoir. Les combats au restc se faisoient en-
uiron la pleine Lune,& le lé.d’icelle se prononçoit le îugement dcs Hellanodiques: dont voi-
cy ce que Pausanias en ailegue es Eliaques. , n
Païsaniaj En la ro Ohmpiode,deuxperfonnagesdesEleenscommenccrentaeftretmivsmfirtpourauoirlachar-
re desieux Olympimes ; & dura ce leng tohps en lafirte,msques i ce que smdemem on cjleut neufluges om
Presidens defdttsteux, oppeUesvdcetteocufion HeUmod,ques,commeqmdirmles luges^ de U Grcce; dontles
troisauoientUcharredescourfesdescbemux,troiswtresdul>enMhle(ccfontlejault,Ucourfe,lediJque,les
coups depoing,& U luitte)le reftefrrles autres combats. Deux Olympiades apres ony adtoufta le dixiefme, ce
aui sutdiuerftftécncores,&finalemcntremis auditnornbre de dixenla 108. olympiade ; qui ne changerent
plm depuis.Mais Philostrate n’en met icy qu’vn,gardant en cela fort bien le vpimv qu’appellenc
lcs Grecs;parcequedutempsd’Arrichion,quifutenlaseconde & tierce Olympiade.il n’y
auoit qu’vn Iuo-e ou Hellanodique. Au demeurant leur parquet (comme le dit en vn autre en-
droit du mesme liure iceluy Pausanias)estoit situé au desssus du sepulchre d’Achilles, par où ils
descendoient dans les liises, &: y entroient deuanc le Soleilleuépour vacquer au faid de la
course Puis sur le Midy entendoient au Pcntachle,&autres les plus rudes leux & combats. Les
Heilanodiques souloient aussi lc plus souuent demeurer, & mesine sur iour,en ia portiquc,qui
estenla orande place des Eléens : prés de laquelle à la mai.n gauchc estoit lcur dessusdit par-
quet appellé Hellanodiceon, separé dumarche par vne ruë entre-deux, la ou iis seiournoienc
dix mois entiers de l’année apres auoir esté esseus,pour y apprendre ies staruts des coinbats pac
ceux qui auoient en garde les registres des loix & ordonnances publiqucs.
Tzstzis. Tzetzes enla.407.histoiredeladouziesmeChiliadedescritainucesriellanodiques.
'E'TX.CLVOcJizCLÇ Vo{ stÿt, (îôm TTQstV Sj!g.TiZso'?(&ç
Tyjv oXv(Z7mv lop-nît', tov dy2vcc (ÿVTWa
&écL?£pV , &c.
Pavsanias.
Entendezs qucles Hellanodiques ( dic-iî ) csloïentceux qui Jouloient ordonnerla fôlcmnite olympiquc, & les
combatsquis'y saifeient: carlesOlympiesesioientcommevntheatreouefchajfantdetoute la Grece. Or ccux
qui iugeoient de ces ieux deprix & combats, esioicnt de tous appellez les Hellanodiques, comme t'ay dit ; & js
prenoient des i_Amphictions,principalement dupays d'Actolie auecques les Eléens. Ce qui aduint en cetteJor-
te. Car quand Hercules cegrandçerfionnage s’en alla de ce monde en l’autre, il laijsa la charge de ces combats
â Oxilm Aetoüen ,pour cn dijjoser, les conduire érsaire amsique bon luy fembleroit : dont du depuis surent
saitsparticipans les Aetoliens Hellanodiqnes. Mais Pausanias és Eliaquesparticularise le sermenc
que faisoient les Athletes en cette sorte. Versla murailLed’Altcl’on 'void vne slatuè de Iupitcrtour-
ncc deuers Soleil leuant fans aucune infcription. Mais ccluy qui esidans le Palais, esifeurtoutes les autres csji-
giesde Iupiter quifont la, appropriépourfairepeurauxpariurcs > aufii a-il lefetrnom de O'pjc/oç, du ser-
mcnt quonfaitfaire là aux filthletesfe leursperes &sreres, & ccux qui lcur monstrcnt. Il tient'vnefoudre
en chaque main. Et iurentfur vn Sanglier coupe en deux, de ne s’ayder d’aucune sraude au combat Olympique:
& que pardix mois continuels ilsfeejont exercczsort foigneufeemcnt entout ce qui appartient à lcur deuoir.
Les Iuges des enfans aifii, & ccux qui veulcntsairc courir lespoulains ; qui ne feont corrompm d’aucuns pre-
fens, ny que tamais ils ne declarerontpourquoy ils ayentplnfioft adiugé laviffoire à cettui-cy qu’à celuy-là.
c_Auxpieds sinalement de Iupiter Horcim.esivn tabLeau,auecques des vers Elegiaques ponr saire peur aux
periures.
L e canald'fAlphce coule d*<vne telle lcgereté, qu’ilny a que luy fenl de tom les sseuues quifurnage à U
mer. Pausanias és Eliaques en parlc de cettc sortc.
A l p h e E ne naisipasen l’Elidc, mais en l’e_Arcadie : duqucl entrantres chofes on raconte cecy : que
ee sut autrcsfois vn Tjencur, leqnel demnt awoureux d’ArethuJè qui estoitpareillement sort addonnée à la.
, chafe;
ARRICHION.
ne du Roy alaguerrc.Arislophanes auPiutus introduisant laPauureté, quircproche àIupitcr
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