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https://doi.org/10.11588/diglit.27697#0844
ôiô
iz, V JL ii v iv XJ
Euphorbe le sils de cEanthw
Le naura de pres à l’efyaule :
Euphorbe qut ses coegaux
A tirer le dard9 à la course»
Et bien manier *vn cheual
Surmontoit. Ce sut luy Patrocle^
ghti tout le premier tassena.,
ALais il ne te porta par terre,
Car les ames des trejsajsez, ne mentent iamais aupres du sang quon ieur ejjanâ deâans desfojfs pour en
goufter. II fait icy allusion àcc qui estescriten ronziesmede rOdyssée,où Vlyiïesestàtdescen-
du aux Enfers pour se conseiller à ramede Tyresias, apres îuy auoir immolé quelques vidi-
mes, &: d’icellcsespandu le sangdansvnefossedont il se tcnoit pres sespée au poing, pour
empescherlesautresamesde senapprocherjTyreheapresen auoir taste luy ditï
A’M’ /3oô^u, dmyî di cpuàytvov o%ù
Ai/eyc(çç oÇict 7noo 9 %aj St vy/MpTia èhm»
Mais essoigne-tqy de la sijfe^
€t ofie ceglaiue trenchant,
Afin que de ce fang ie bome^
Et te die la njerité.
Et Plutarque en la vie d'Homere: à? Jè ydbtxsdia, èloXrç viç vëjcv/aç rn #Mo,iLnaisenPGdysrée
en toute ceste descente aux Enfers, que veut-il demonstrer autre chosc linon que les amcs de-
mcurent apreslamort, &:qu ,apresauoirbcudusang ellesparlcnt? Car il sçauoit bicnque le
sang est la pasture &: le nourrissement de l’esprit, & quc Fesprit est lc vehiculc de l’ame.
Les nj 'illes curieusesde s'bonorerde lamemoire d’Homcre, Jè L*approprioient à l'enuy les vnsdes autres.
Aulugelle liurè troifîesme, chap. n. Jpuantaupays d‘Homere, ily a dtuerses opinions la dejfus, les
vns le faisans ejire Colopbonienses autres Smyrnéen; ilyen a qui le dijènt ejlre ctEgypte, les autres d'A-
tbenes ; Arisiote de l’isle d’Ios. M. Farro aupremier des Images, a apposé cet Epigramme : Sept viUes de-
battem entre elles de la naijsance d'Homere : Smyrne, Rbodes, Colophon, Salamine, los, Argos,d? Athenes,
TxTrsaL 7wX<{ç cbrgjttyucn p'saut O'pitlgÿu,
Sfttipvct, P (odbç9 KoXçtpov, 'î.âXÿ.siiv, i’àç, A’^pjpç, Ass^tfs»
ACHILLES,
iz, V JL ii v iv XJ
Euphorbe le sils de cEanthw
Le naura de pres à l’efyaule :
Euphorbe qut ses coegaux
A tirer le dard9 à la course»
Et bien manier *vn cheual
Surmontoit. Ce sut luy Patrocle^
ghti tout le premier tassena.,
ALais il ne te porta par terre,
Car les ames des trejsajsez, ne mentent iamais aupres du sang quon ieur ejjanâ deâans desfojfs pour en
goufter. II fait icy allusion àcc qui estescriten ronziesmede rOdyssée,où Vlyiïesestàtdescen-
du aux Enfers pour se conseiller à ramede Tyresias, apres îuy auoir immolé quelques vidi-
mes, &: d’icellcsespandu le sangdansvnefossedont il se tcnoit pres sespée au poing, pour
empescherlesautresamesde senapprocherjTyreheapresen auoir taste luy ditï
A’M’ /3oô^u, dmyî di cpuàytvov o%ù
Ai/eyc(çç oÇict 7noo 9 %aj St vy/MpTia èhm»
Mais essoigne-tqy de la sijfe^
€t ofie ceglaiue trenchant,
Afin que de ce fang ie bome^
Et te die la njerité.
Et Plutarque en la vie d'Homere: à? Jè ydbtxsdia, èloXrç viç vëjcv/aç rn #Mo,iLnaisenPGdysrée
en toute ceste descente aux Enfers, que veut-il demonstrer autre chosc linon que les amcs de-
mcurent apreslamort, &:qu ,apresauoirbcudusang ellesparlcnt? Car il sçauoit bicnque le
sang est la pasture &: le nourrissement de l’esprit, & quc Fesprit est lc vehiculc de l’ame.
Les nj 'illes curieusesde s'bonorerde lamemoire d’Homcre, Jè L*approprioient à l'enuy les vnsdes autres.
Aulugelle liurè troifîesme, chap. n. Jpuantaupays d‘Homere, ily a dtuerses opinions la dejfus, les
vns le faisans ejire Colopbonienses autres Smyrnéen; ilyen a qui le dijènt ejlre ctEgypte, les autres d'A-
tbenes ; Arisiote de l’isle d’Ios. M. Farro aupremier des Images, a apposé cet Epigramme : Sept viUes de-
battem entre elles de la naijsance d'Homere : Smyrne, Rbodes, Colophon, Salamine, los, Argos,d? Athenes,
TxTrsaL 7wX<{ç cbrgjttyucn p'saut O'pitlgÿu,
Sfttipvct, P (odbç9 KoXçtpov, 'î.âXÿ.siiv, i’àç, A’^pjpç, Ass^tfs»
ACHILLES,