On a ainsi une équation en S.
La nature des racines de cette dernière (qui est d'un
degré inférieur à celui de l'équation en x ) fait connaître
la position des points limites au-dessus ou dessous de
l'axe des abscisses. On en déduit le nombre des intersec-
tions effectives de la courbe avec cet axe, soit le nombre
des racines réelles de l'équation proposée.
La nature des racines de cette dernière (qui est d'un
degré inférieur à celui de l'équation en x ) fait connaître
la position des points limites au-dessus ou dessous de
l'axe des abscisses. On en déduit le nombre des intersec-
tions effectives de la courbe avec cet axe, soit le nombre
des racines réelles de l'équation proposée.