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point rencontré l'étoile comme symbole du nombre 5 ; on
est maintenant certain que dans le tableau général des
signes déterminatifs généraux les plus usités dans l'écriture
hiéroglyphique, les cinq rayons, disposés de la manière que
je viens d'indiquer signifient étoile, constellation, dieu,
comme aussi le nombre 5(1).
Que ces cinq rayons effectivement soient les rayoîis ordi-
nairement vus dans les étoiles de l'Egypte, c'est impossible
de le déterminer d'une manière positive, pour les raisons
que tout-à l'heure je vais signaler.
Le rayonnement des étoiles est un phénomène qui a dû
être observé partout et dans toutes les latitudes, mais avec
plus d'attention dans les régions où le ciel est très-pur et
tout-à-fait transparent.
Ce rayonnement, la longueur et le nombre de ces queues
ou rayons divergents qui ont symbolisé les astres, ne seraient
rien autre, d'après Hassenfratz, que les caustiques du
cristallin formés par les rayons réfractés.
« L'image d'une étoile perçue à l'oeil nu, est agrandie
« par ces rayons parasites ; elle occupe sur la rétine une place
« plus grande que le simple point où sa lumière devrait se
« concentrer ; et l'impression nerveuse en est affaiblie.
« Un amas d'étoilestrès serrées,clans lequelles étoiles com-
« posantes sont individuellement au-dessous de la septième
(1) Peut-être que cette répétition constante de la figure en 5 rayons
donnée aux étoiles, était-elle en rapport de l'année divisée en 12 mois
de 30 jours suivis des complémentaires 5 jours célestes ou jours e'pa-
gomênes1? Ces jours épagomènes étaient indiqués par un groupe dans
lequel entrent les idées ciel et soleil et les nombres de 1 à 5 exprimés
par autant de chiffres déterminés, donnant le quantième de chacun de
ces jours. Le rapport abstrait de ces 5 jours au ciel, aurait pu contri-
buer à la notation graphique des 5 rayons dans l'étoile-
point rencontré l'étoile comme symbole du nombre 5 ; on
est maintenant certain que dans le tableau général des
signes déterminatifs généraux les plus usités dans l'écriture
hiéroglyphique, les cinq rayons, disposés de la manière que
je viens d'indiquer signifient étoile, constellation, dieu,
comme aussi le nombre 5(1).
Que ces cinq rayons effectivement soient les rayoîis ordi-
nairement vus dans les étoiles de l'Egypte, c'est impossible
de le déterminer d'une manière positive, pour les raisons
que tout-à l'heure je vais signaler.
Le rayonnement des étoiles est un phénomène qui a dû
être observé partout et dans toutes les latitudes, mais avec
plus d'attention dans les régions où le ciel est très-pur et
tout-à-fait transparent.
Ce rayonnement, la longueur et le nombre de ces queues
ou rayons divergents qui ont symbolisé les astres, ne seraient
rien autre, d'après Hassenfratz, que les caustiques du
cristallin formés par les rayons réfractés.
« L'image d'une étoile perçue à l'oeil nu, est agrandie
« par ces rayons parasites ; elle occupe sur la rétine une place
« plus grande que le simple point où sa lumière devrait se
« concentrer ; et l'impression nerveuse en est affaiblie.
« Un amas d'étoilestrès serrées,clans lequelles étoiles com-
« posantes sont individuellement au-dessous de la septième
(1) Peut-être que cette répétition constante de la figure en 5 rayons
donnée aux étoiles, était-elle en rapport de l'année divisée en 12 mois
de 30 jours suivis des complémentaires 5 jours célestes ou jours e'pa-
gomênes1? Ces jours épagomènes étaient indiqués par un groupe dans
lequel entrent les idées ciel et soleil et les nombres de 1 à 5 exprimés
par autant de chiffres déterminés, donnant le quantième de chacun de
ces jours. Le rapport abstrait de ces 5 jours au ciel, aurait pu contri-
buer à la notation graphique des 5 rayons dans l'étoile-