— 163 —
ELOGE FUNEBRE
de
MARIETTE PACHA
par M. Ismaïl Bey.
(Séance du il Février 1881.)
Messieurs et Chers Confrères,
J'aurais voulu éviter de vous rappeler le souvenir
de notre perte commune. Nous en avons tous senti la
grandeur, et le souvenir en est profondément gravé
dans nos cœurs qui en porteront encore longtemps la
trace. Je viens seulement, Messieurs, remplir mon
devoird'Egyptren, et au nom de tous mes compatriotes
rendre un dernier hommage à l'homme éminent que
l'Egypte, la France et le monde savant viennent de
perdre. Pardonnez-moi, Messieurs, si je me permets
de faire cette distinction de nationalité au milieu d'une
réunion savante. Je n'oublie pas que les hommes
ELOGE FUNEBRE
de
MARIETTE PACHA
par M. Ismaïl Bey.
(Séance du il Février 1881.)
Messieurs et Chers Confrères,
J'aurais voulu éviter de vous rappeler le souvenir
de notre perte commune. Nous en avons tous senti la
grandeur, et le souvenir en est profondément gravé
dans nos cœurs qui en porteront encore longtemps la
trace. Je viens seulement, Messieurs, remplir mon
devoird'Egyptren, et au nom de tous mes compatriotes
rendre un dernier hommage à l'homme éminent que
l'Egypte, la France et le monde savant viennent de
perdre. Pardonnez-moi, Messieurs, si je me permets
de faire cette distinction de nationalité au milieu d'une
réunion savante. Je n'oublie pas que les hommes