ACROPOLE DE LINDOS: 57
274
273
57 A
ΓΟΛΥΚΛΗ^ΠΟΛΥΚΡΑΤΕ ΥΣΖΙΑΡΑΤΕ ΥΧΑΞ ΑΡΟΛΛΛ ΝΙΓ YOlïII
57 c
A
a vers [Πολυκλης Π]ολυκρατεος ιαρατευσας Διι Πολιει
3ΐ3
b Λίνδος ° Κερκαφου
τον ο Δια
Β
Πολυκλης Πολυκρατεος ιαρατευσας Αθαναιαι Λινδιαι
C
Πολυκλης Πολυκρατευς ιαρατευσας Αττολλωνι ΓίυΟιωι
suprême des Grecs, même avant l’époque où Athana
a dû partager officiellement son ancien sanctuaire avec
son père, vlp., introd. p. 102 sq.; cf. Lindos I p. 22.
b. Pour Lindos, héros eponymos de la ville de
Lindos, vie. 274 et 477. Cf. Chron. ED. I B 2, p.358 sq.
433 (ci-dessus, n°2 B 2, p. 161).
B. Lr. VI 8, encastrée dans un mur. H 0.584,
L 1.342, épaisseur totale 1.122. Le dessous est travaillé
à joint, de même les deux faces qui se touchaient et
la face latérale droite du bloc antérieur avec la partie
contiguë du bloc postérieur (largeur de cette partie,
0.10 env.); d’ailleurs, les faces visibles de la base sont
finement aplanies. Dans le dessous, quatre trous de
goujon analogues à ceux de la base A. A la face
supérieure, trace du pied gauche d’une statue colossale
d’Athana, et plusieurs creux plus petits, pour la dis-
position desquels nous renvoyons au croquis (p. 272).
A en juger par là, la statue de la déesse posait sur la
jambe gauche (longueur de la trace du pied 0.37), tandis
que la jambe droite, avancée et un peu fléchie, ne tou-
chait que légèrement le sol et que de sa main droite la
déesse s’appuyait sur sa lance, dont l’extrémité entrait
dans un petit trou rond; le bouclier posait probablement
à terre, du côté gauche de la déesse. HL 0.014-0.017.
Pour Πολυκλής Πολυκράτεος, vie. 56. — Pour
’Αθαναίαι Λινδίαι, vie. 117.
C. Tr. VI 10, encastrée dans un mur. H 0.58,
L 1.208, épaisseur totale 1.084. Le travail de la base
est moins soigné que celui des deux autres. Les deux
faces qui se touchaient et les deux faces latérales sont
préparées à joint; la face supérieure et le devant sont
bien aplanis, le dessous et le revers plus sommairement
traités. Le dessous fut en partie remanié à une époque
postérieure. A la face supérieure, traces d’une statue
(d’Apollon), qui a été moins grande que les deux autres,
et dont les deux pieds touchaient le sol dans toute leur
longueur (env. 0.27). Gravure moins fine et, apparem-
ment, plus récente que dans A et B. HL 0.016-0.019.
Pour Πολυκλής Πολνκράτευζ, vie. 56. Le génitif en
-ενς et diverses particularités du travail font penser
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ΓΟΛΥΚΛΗ^ΠΟΛΥΚΡΑΤΕ ΥΣΖΙΑΡΑΤΕ ΥΧΑΞ ΑΡΟΛΛΛ ΝΙΓ YOlïII
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3ΐ3
b Λίνδος ° Κερκαφου
τον ο Δια
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Πολυκλης Πολυκρατεος ιαρατευσας Αθαναιαι Λινδιαι
C
Πολυκλης Πολυκρατευς ιαρατευσας Αττολλωνι ΓίυΟιωι
suprême des Grecs, même avant l’époque où Athana
a dû partager officiellement son ancien sanctuaire avec
son père, vlp., introd. p. 102 sq.; cf. Lindos I p. 22.
b. Pour Lindos, héros eponymos de la ville de
Lindos, vie. 274 et 477. Cf. Chron. ED. I B 2, p.358 sq.
433 (ci-dessus, n°2 B 2, p. 161).
B. Lr. VI 8, encastrée dans un mur. H 0.584,
L 1.342, épaisseur totale 1.122. Le dessous est travaillé
à joint, de même les deux faces qui se touchaient et
la face latérale droite du bloc antérieur avec la partie
contiguë du bloc postérieur (largeur de cette partie,
0.10 env.); d’ailleurs, les faces visibles de la base sont
finement aplanies. Dans le dessous, quatre trous de
goujon analogues à ceux de la base A. A la face
supérieure, trace du pied gauche d’une statue colossale
d’Athana, et plusieurs creux plus petits, pour la dis-
position desquels nous renvoyons au croquis (p. 272).
A en juger par là, la statue de la déesse posait sur la
jambe gauche (longueur de la trace du pied 0.37), tandis
que la jambe droite, avancée et un peu fléchie, ne tou-
chait que légèrement le sol et que de sa main droite la
déesse s’appuyait sur sa lance, dont l’extrémité entrait
dans un petit trou rond; le bouclier posait probablement
à terre, du côté gauche de la déesse. HL 0.014-0.017.
Pour Πολυκλής Πολυκράτεος, vie. 56. — Pour
’Αθαναίαι Λινδίαι, vie. 117.
C. Tr. VI 10, encastrée dans un mur. H 0.58,
L 1.208, épaisseur totale 1.084. Le travail de la base
est moins soigné que celui des deux autres. Les deux
faces qui se touchaient et les deux faces latérales sont
préparées à joint; la face supérieure et le devant sont
bien aplanis, le dessous et le revers plus sommairement
traités. Le dessous fut en partie remanié à une époque
postérieure. A la face supérieure, traces d’une statue
(d’Apollon), qui a été moins grande que les deux autres,
et dont les deux pieds touchaient le sol dans toute leur
longueur (env. 0.27). Gravure moins fine et, apparem-
ment, plus récente que dans A et B. HL 0.016-0.019.
Pour Πολυκλής Πολνκράτευζ, vie. 56. Le génitif en
-ενς et diverses particularités du travail font penser