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33i

ACROPOLE DE LINDOS: 102-103

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28. Κλεανδρίδας Άλεξιμάχου, hié-
rothyte, n’est pas connu par ailleurs.
L’homonyme, dont le nom est ins-
crit, avec celui de son frère (Τιμόθεος),
sur le linteau de la porte entre le
pronaos et la cella du temple d’Athana
(n°7i) était certainement son grand-
père et fils de Άλεξίμαχος Κλεανδρίδα
Λαδάρμιος, nommé dans une ins-
cription datant d’env. 325 (IG XII 1 :
761,20).
30. Διονυσόδωρος Αθηναίος a
signé aussi n°i30 (d’env. 220), mais
paraît d’ailleurs inconnu.
103. Bloc rectangulaire, qui a
fait partie d’une haute base (sorte
de pilier), dont l’entablement et le
socle font défaut. Marbre de Lartos.
Tr. VIII 9. H. 0.974, L 0.55-0.57,
É 0.389. Le devant et les deux
faces latérales sont bien aplanis; le
revers est un peu rugueux, avec
d’étroits bords unis. En haut, ana-
thyrose, avec deux trous de goujon,
contenant des restes de fer et de
plomb ; le dessous est également
préparé à joint et muni de deux
trous pareils. Plus tard la pierre a
été employée comme seuil de la

comme ναυτταγός dans une inscription du début du
2e s., v. Maiuri (1925) n°5 1.16 (=SGDI 4335).
22. L’examen tant de l’original que de l’estampage
a donné pour le commencement de la ligne la lecture
indiquée ci-dessus. Il est vrai que l’E n’est pas placé
précisément au-dessous des lettres qui commencent les
lignes précédentes; mais il ne faut probablement y
voir qu’un manque d’exactitude, et il n’y a pas de
traces d’une autre lettre devant ΓΕ. Il est donc peu
probable qu’il faille supposer la disparition d’un Θ,
qui donnerait le nom mal documenté de Θεύλιστος,
v. Bechtel, HP p. 286. Εύλιστος ne semble pas connu
par ailleurs, mais ne serait guère moins explicable que
Θεύλιστος. Les autres possibilités auxquelles on pour-
rait penser (p. e. Εύδίαιτος) ne concordent pas avec
les traces conservées.
24. Νικαχόρας Παμφιλίδα δ Νικαγόρα, hiérothyte,
était évidemment encore tout jeune. Il se distingua
beaucoup plus tard (200-197) dans la 2e guerre macé-
donienne, vie. 151.
27. Φιλίσκος Άρχογένενς, hiérothyte: peut-être
apparenté à Άρχογένης Ελλανίκου, mentionné dans
l’inscription suivante (n° 103,12).

porte d’une maison. Belle gravure du 3e s. HL, 1. 1:
jusqu’à 0.023, 1-2-5: 0.017-0.018, 1. 6 sq. 0.014, dans
la signature 0.011.
Le devant de l’entablement perdu a dû porter le
début de l’inscription, contenant probablement le nom
du pr. d’A.; il est tentant de supposer qu’il ait été
conçu ainsi: Ιερή Άθάνας Λινδίας | Καλλικλή Τείσωνος
(pr. d’A. vers 240 et membre d’une famille bien connue,
vlp.). Pour des raisons diverses, les noms des prêtres
qui ont été en fonction un peu avant et un peu après
Kallikles paraissent moins acceptables.
Ξενάρετος Δεινία (1.2), pr. d’Apollon Pythaeus:
pour sa famille, vin. 85 (d’env. 270).
Αυσίστρατος Θαρσιττόνου (1.4), archiérothyte, était
probablement identique au père adoptif de Άρχο-
κράτης Άρχιττόλιος (vie. 118) et sans doute arrière-
petit-fils de Θαρσίπονος Λυσιστράτου, qui est nommé
n°5ia I 44. Pour ses ancêtres, vlp. 374 et 338.
Les quinze hiérothytes, parmi lesquels se trouvent
trois couples de frères (Αισχύλος et Άντικράτης
‘Αχήμονος, 1.6 et 17; Ίερόμβροτος et Σωκλής Σω-
σιστράτου, 1.8 et 20; Άχέμαχος et Ξενοφών Γόρχω-
 
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