( 5. )
gulier Eurybate d'Argos, qui avait été vainqueur au pentathle, et le qu'au temps où l'amphictyonie de Calaurie fut fondée, l'élément
tuea. Puis, quand vient la bataille de Platée, Sophanès attache à la dorien y prédominait, et que même à l'époque où Athènes dut y
ceinture de sa cuirasse une chaîne de cuivre à l'extrémité de laquelle jouir de la préséance, ce dialecte resta la langue officielle de la con-
est une ancre de fer. Toutes les fois qu'il s'approche des ennemis, il en- fédération.
fonce son ancre en terre, afin qu'ils ne puissent pas l'ébranler en fon- La restauration de la première partie de la ligne 4 peut se jus-
dant sur lui; dès qu'ils s'enfuient, il la détache pour les poursuivre3. i'^er Par ce passage de l'inscription 2869 du Corpus : àveveûsaTo
Sa mort ne fut pas moins célèbre. Quelque temps après la bataille ™ m&»à É'8/1. Quant à celle de la seconde, elle m'a été suggérée par
de Platée, chargé avec Léagrus, fils de Glaucon, du commandement quelques lettres, par la ligne 5 et par l'usage qu'avaient certaines
de l'année athénien ne envoyée en Thrace, il fut tué à Datos par les
Edoniens en combattant pour les mines d'or4, el son nom occupait le
second rang dans l'inscription dont on avait décoré le tombeau élevé
à son armée sur le chemin qui conduisait d'Athènes à l'Académie5.
Comment se fait-il que Sophanès, bien digne saus doute d'être
contrées d'immoler des chevaux à Neptune13. Pourquoi le cheval
immolé par les Calauréates est-il un cheval de Lydie? C'est ce qu'on
ne saurait guère expliquer, surtout dans l'incertitude où l'on peut
rester sur la restitution Xuo\axo'v. Tout ce qu'on peut dire à cet égard,
c'est que les sacrifices de chevaux sont en Asie d'une haute antiquité14,
classé parmi les héros athéniens, soit devenu en quelque sorte un que la Lydie produisait des chevaux en abondance'5, et que ces
objet de culte dans l'île de Calaurie? A cette question on peut ré-
pondre que, si la restitution des lignes 3 et 4 n'est pas démentie par
une copie plus exacte du monument, Sophanès avait rendu d'impor-
tants services au temple de Neptune, en lui faisant restituer des fonds
dont on l'avait probablement dépouillé; mais cette réponse ne s'ap-
puie que sur une restitution contestable, et ne peut, par conséquent,
suffire à résoudre la difficulté. Essayons d'en trouver un autre.
chevaux devaient avoir une réputation méritée, puisque Crésus,
dans la bataille qu'il livra à Cyrus, fondait sur sa cavalerie l'espé-
rance d'une victoire éclatantel6.
Le même doute s'étendra, jusqu'à des découvertes ultérieures, sur
l'impôt désigné par le mot [/.scoyeiov et sur la fête de la dot, xàv tpepvav.
Cette dernière restitution doit ne pas choquer si l'on se rappelle que
Diane étaitj dans les temps les plus anciens, adorée en Arcadie sous
Calaurie, comme nous l'apprend Strabon6, était le centre d'une le nom d'i^vt'a1?, épitbète que M. K. O. Muller "8, quoi qu'en dise
amphiclyonie de sept villes maritimes : Hermione, Épidaure, Égine Siebelis '9, a eu raison de prendre dans le sens de nuptiale.
Athènes, Prasies, Nauplie et Orchomène des Minyens'. Cette confédé- On peut d'ailleurs comparer ce décret avec le petit nombre d'ins-
ration, suivant l'opinion de M. K. O. Muller8, adoptée par M. Boeckh », criptions relatives aux mesures prescrites pour certaines fêtes, cer-
et contredite par M. K. Fr. Hermann10, avait eu dans l'origine un tains sacrifices. Ainsi, au n° a'36o du Corpus, lignes 4 et 5, il est
but politique, celui de résister aux attaques des Achéeus et plus tard prescrit de donner au trésorier d'Iulis, dans l'île de Céos, i5o
s'était bornée à des rapports religieux. drachmes pour l'achat des victimes : jucl i-KotSiUôtoa tw ifyotri ";
Après les guerres médiques, où tant de gloire s'était rattaché 'EP«a H l~l Spcc^sao, d'immoler un bœuf ayant ses dents : 6ûav
au nom d'Athènes, et après la soumission d'Égine, qui lui assura àè w» pp. |3tiùv psgXwo'ra toùç oîo'vra;, etc. 21. En outre, des magis-
pour longtemps l'empire de la mer, la ville de Minerve dut bientôt t['als appelés xpôëouXo'., et dont les fonctions, dans cette circonstance,
obtenir la prépondérance dans l'amphictyonie maritime de Calaurie, offrent de l'analogie avec les inifuXfmX de Calaurie, doivent s'as-
et l'on ne saurait s'étonner que ses grands hommes y soient devenus surcr si les victimes sont en bon état, JoxijiotÇeiv Si zx Upeïsc roù;
l'objet d'une vénération spéciale. Les exploits héroïques de Sophanès, xpoëoûXou; un tôv rau-iav xai Tôy im'puxa '*.
sou noble dévouement dans la lutte de la Grèce contre l'invasion Le sens que je donne au verbe xxTavpTiWSki, in altos usus con-
des Perses, sa mort tragique chez un peuple barbare, tout dut appeler vertere, est justifié par ce passage du n° 1840, 126 : Ei Se ti; twv
sur lui l'intérêt; et si à sa brillante renommée se joignirent encore imiâ^-w tOv ÀpiGTopivEoç "n WM.cn; wpouTXTvîccti si; à'XXo ti ■m-t>:/or,-
des services rendus au sanctuaire de Neptune, on conçoit que la (iîijiêv vi xaTaY_p7]WiTo âXka. 7tâ. x. t. X. La même inscription , ligne 24,
reconnaissance soit devenue facile et que ce vaillant guerrier ait eu nous offre un exemple de la locution toùç aipeôs'vTaç, qui d'ailleurs
sa statue et son culte dans le temple où se réunissait l'amphictyonie prouve que la magistrature des èiwpXviTaî n'était pas permanente,
dont sa patrie dut rester assez longtemps l'arbitre. mais temporaire et bornée à une mission spéciale a3, bien que dans
C'était, on n'en saurait douter d'après le mot âTct«;[iv] et d'après d'autres localités, à Délos par exemple, du temps de la domination
tout l'ensemble du monument, c'était au nom de l'amphictyonie de athénienne, "iici|«XiiT$ç rli vvfmu a<f paraisse avoir été un magistrat
Calaurie qu'avait été rendu le décret dont la copie de M. Virlet nous annuel, imposé par Athènes, de même que dans Xénophon a5 Der-
offre le dispositif. Persuadé que les délibérations des différentes am- cyllidas impose Dracon de Pellène comme Èitiu.EXï)Trj; à la ville
phictyonies devaient offrir quelque analogie entre elles, j'ai cru pou- d'Atarnée qu'il a prise d'assaut. Pollux26 range l'èmpXsut parmi les
voir introduire aux lignes 1 et 2 la formule [<j/]tt[<pois raîç] è[vvo']u.otç magistratures dont il donne l'énumération dans son chapitrerapiàppiç.
que M. Raoul Rochette " a le premier rétablie dans une inscription La formule ù; 6'ti ^«piÉsTaxa que notre inscription offre en deux
de Delphes", et dont je retrouvais d'ailleurs quelques éléments, endroits2' se présente, je crois, pour la première fois dans la
Les formes doriques, qu'offre partout cette inscription, prouvent langue épigraphique.
* VI, 92. Pausan. I, 29.
3 «Telle est, ajoute Hérodote {IX, ';3), la première manière de raconter
cette histoire, qui est contredite par la seconde; car on dit aussi qu'il portait
non une ancre réelle de fer à la ceinture de sa cuirasse, mais la figure d'une
ancre à son bouclier, qu'il tournait continuellement et sans jamais se leposer. »
* Her.IX, 74-
5 Pausan., loc. cit.
6 VIII, 373. Cf. K. O. Muller, Mginet,, p. 32 et sq.
? Plus tard, Nauplie fut remplacée par Argos, et Prasies par Lacédémone.
Strab. Ibid.
8 Op. cit. p. 36 et Orchomène, p. 80 et a38.
9 OEcon. polit, des Alhcn., t. II, p. 368.
10 Lehrbuch dergr. Staatsalterth., § II, 7-
w Antiquités du Bosph., p. 167.
11 Corpus Inscr. gr., 1693.
13 Voyez Larcher sur Hérod. I, 216, t. I, p. 539.
"< Her. VII, g3. Strab."XV, io65 B. Cf. Tacite, Ann. VII, 37. On retrouve le
sacrifice du cheval jusque dans l'Inde, où il remonte aux temps les plus reculés.
Il était aussi connu des Scythes. Voyez Hérodote, IV, 62 et 72.
" Her. I, 88.
16 Ibid. 90.
■», Pausan., VIII, 5,8; et i3, 1.
'• Die Dorier, t. I, p. 372.
19 Ad Paus.jVIII, 5, 8, t. III, p. 219. —Dans la charmante histoire racontée
lettre 10 du livre I d'Aristénète, c'est par Diane que Cydippe jure d'épouser le
jeune Aronce.
10 Au n° 3069, 25, c'est au moyen des intérêts d'un fonds de i5o drachmes
que doivent avoir lieu les sacrifices des Attalistes.
11 Ligne 7. Voyez une semblable disposition, n° 2656, ligne i5.
" Ligne 14.
13 Voyez Corp. Inscr. gr., 2789; 2981; 3o65, 34; 3067, 26.
3i Corp. Inscr.gr., 2286, 2287, 2288, 2293; 2298, 23o6.
a5 Hcllen. III, 2, n. — Voyez encore l'inscription inédite publiée par Cou-
sinéry dans son Voyage en Macédoine, t. I, p. 225.
16 VIII Segm. 8/,.
17 Lignes 11 et 14.
Inscrijitio
gulier Eurybate d'Argos, qui avait été vainqueur au pentathle, et le qu'au temps où l'amphictyonie de Calaurie fut fondée, l'élément
tuea. Puis, quand vient la bataille de Platée, Sophanès attache à la dorien y prédominait, et que même à l'époque où Athènes dut y
ceinture de sa cuirasse une chaîne de cuivre à l'extrémité de laquelle jouir de la préséance, ce dialecte resta la langue officielle de la con-
est une ancre de fer. Toutes les fois qu'il s'approche des ennemis, il en- fédération.
fonce son ancre en terre, afin qu'ils ne puissent pas l'ébranler en fon- La restauration de la première partie de la ligne 4 peut se jus-
dant sur lui; dès qu'ils s'enfuient, il la détache pour les poursuivre3. i'^er Par ce passage de l'inscription 2869 du Corpus : àveveûsaTo
Sa mort ne fut pas moins célèbre. Quelque temps après la bataille ™ m&»à É'8/1. Quant à celle de la seconde, elle m'a été suggérée par
de Platée, chargé avec Léagrus, fils de Glaucon, du commandement quelques lettres, par la ligne 5 et par l'usage qu'avaient certaines
de l'année athénien ne envoyée en Thrace, il fut tué à Datos par les
Edoniens en combattant pour les mines d'or4, el son nom occupait le
second rang dans l'inscription dont on avait décoré le tombeau élevé
à son armée sur le chemin qui conduisait d'Athènes à l'Académie5.
Comment se fait-il que Sophanès, bien digne saus doute d'être
contrées d'immoler des chevaux à Neptune13. Pourquoi le cheval
immolé par les Calauréates est-il un cheval de Lydie? C'est ce qu'on
ne saurait guère expliquer, surtout dans l'incertitude où l'on peut
rester sur la restitution Xuo\axo'v. Tout ce qu'on peut dire à cet égard,
c'est que les sacrifices de chevaux sont en Asie d'une haute antiquité14,
classé parmi les héros athéniens, soit devenu en quelque sorte un que la Lydie produisait des chevaux en abondance'5, et que ces
objet de culte dans l'île de Calaurie? A cette question on peut ré-
pondre que, si la restitution des lignes 3 et 4 n'est pas démentie par
une copie plus exacte du monument, Sophanès avait rendu d'impor-
tants services au temple de Neptune, en lui faisant restituer des fonds
dont on l'avait probablement dépouillé; mais cette réponse ne s'ap-
puie que sur une restitution contestable, et ne peut, par conséquent,
suffire à résoudre la difficulté. Essayons d'en trouver un autre.
chevaux devaient avoir une réputation méritée, puisque Crésus,
dans la bataille qu'il livra à Cyrus, fondait sur sa cavalerie l'espé-
rance d'une victoire éclatantel6.
Le même doute s'étendra, jusqu'à des découvertes ultérieures, sur
l'impôt désigné par le mot [/.scoyeiov et sur la fête de la dot, xàv tpepvav.
Cette dernière restitution doit ne pas choquer si l'on se rappelle que
Diane étaitj dans les temps les plus anciens, adorée en Arcadie sous
Calaurie, comme nous l'apprend Strabon6, était le centre d'une le nom d'i^vt'a1?, épitbète que M. K. O. Muller "8, quoi qu'en dise
amphiclyonie de sept villes maritimes : Hermione, Épidaure, Égine Siebelis '9, a eu raison de prendre dans le sens de nuptiale.
Athènes, Prasies, Nauplie et Orchomène des Minyens'. Cette confédé- On peut d'ailleurs comparer ce décret avec le petit nombre d'ins-
ration, suivant l'opinion de M. K. O. Muller8, adoptée par M. Boeckh », criptions relatives aux mesures prescrites pour certaines fêtes, cer-
et contredite par M. K. Fr. Hermann10, avait eu dans l'origine un tains sacrifices. Ainsi, au n° a'36o du Corpus, lignes 4 et 5, il est
but politique, celui de résister aux attaques des Achéeus et plus tard prescrit de donner au trésorier d'Iulis, dans l'île de Céos, i5o
s'était bornée à des rapports religieux. drachmes pour l'achat des victimes : jucl i-KotSiUôtoa tw ifyotri ";
Après les guerres médiques, où tant de gloire s'était rattaché 'EP«a H l~l Spcc^sao, d'immoler un bœuf ayant ses dents : 6ûav
au nom d'Athènes, et après la soumission d'Égine, qui lui assura àè w» pp. |3tiùv psgXwo'ra toùç oîo'vra;, etc. 21. En outre, des magis-
pour longtemps l'empire de la mer, la ville de Minerve dut bientôt t['als appelés xpôëouXo'., et dont les fonctions, dans cette circonstance,
obtenir la prépondérance dans l'amphictyonie maritime de Calaurie, offrent de l'analogie avec les inifuXfmX de Calaurie, doivent s'as-
et l'on ne saurait s'étonner que ses grands hommes y soient devenus surcr si les victimes sont en bon état, JoxijiotÇeiv Si zx Upeïsc roù;
l'objet d'une vénération spéciale. Les exploits héroïques de Sophanès, xpoëoûXou; un tôv rau-iav xai Tôy im'puxa '*.
sou noble dévouement dans la lutte de la Grèce contre l'invasion Le sens que je donne au verbe xxTavpTiWSki, in altos usus con-
des Perses, sa mort tragique chez un peuple barbare, tout dut appeler vertere, est justifié par ce passage du n° 1840, 126 : Ei Se ti; twv
sur lui l'intérêt; et si à sa brillante renommée se joignirent encore imiâ^-w tOv ÀpiGTopivEoç "n WM.cn; wpouTXTvîccti si; à'XXo ti ■m-t>:/or,-
des services rendus au sanctuaire de Neptune, on conçoit que la (iîijiêv vi xaTaY_p7]WiTo âXka. 7tâ. x. t. X. La même inscription , ligne 24,
reconnaissance soit devenue facile et que ce vaillant guerrier ait eu nous offre un exemple de la locution toùç aipeôs'vTaç, qui d'ailleurs
sa statue et son culte dans le temple où se réunissait l'amphictyonie prouve que la magistrature des èiwpXviTaî n'était pas permanente,
dont sa patrie dut rester assez longtemps l'arbitre. mais temporaire et bornée à une mission spéciale a3, bien que dans
C'était, on n'en saurait douter d'après le mot âTct«;[iv] et d'après d'autres localités, à Délos par exemple, du temps de la domination
tout l'ensemble du monument, c'était au nom de l'amphictyonie de athénienne, "iici|«XiiT$ç rli vvfmu a<f paraisse avoir été un magistrat
Calaurie qu'avait été rendu le décret dont la copie de M. Virlet nous annuel, imposé par Athènes, de même que dans Xénophon a5 Der-
offre le dispositif. Persuadé que les délibérations des différentes am- cyllidas impose Dracon de Pellène comme Èitiu.EXï)Trj; à la ville
phictyonies devaient offrir quelque analogie entre elles, j'ai cru pou- d'Atarnée qu'il a prise d'assaut. Pollux26 range l'èmpXsut parmi les
voir introduire aux lignes 1 et 2 la formule [<j/]tt[<pois raîç] è[vvo']u.otç magistratures dont il donne l'énumération dans son chapitrerapiàppiç.
que M. Raoul Rochette " a le premier rétablie dans une inscription La formule ù; 6'ti ^«piÉsTaxa que notre inscription offre en deux
de Delphes", et dont je retrouvais d'ailleurs quelques éléments, endroits2' se présente, je crois, pour la première fois dans la
Les formes doriques, qu'offre partout cette inscription, prouvent langue épigraphique.
* VI, 92. Pausan. I, 29.
3 «Telle est, ajoute Hérodote {IX, ';3), la première manière de raconter
cette histoire, qui est contredite par la seconde; car on dit aussi qu'il portait
non une ancre réelle de fer à la ceinture de sa cuirasse, mais la figure d'une
ancre à son bouclier, qu'il tournait continuellement et sans jamais se leposer. »
* Her.IX, 74-
5 Pausan., loc. cit.
6 VIII, 373. Cf. K. O. Muller, Mginet,, p. 32 et sq.
? Plus tard, Nauplie fut remplacée par Argos, et Prasies par Lacédémone.
Strab. Ibid.
8 Op. cit. p. 36 et Orchomène, p. 80 et a38.
9 OEcon. polit, des Alhcn., t. II, p. 368.
10 Lehrbuch dergr. Staatsalterth., § II, 7-
w Antiquités du Bosph., p. 167.
11 Corpus Inscr. gr., 1693.
13 Voyez Larcher sur Hérod. I, 216, t. I, p. 539.
"< Her. VII, g3. Strab."XV, io65 B. Cf. Tacite, Ann. VII, 37. On retrouve le
sacrifice du cheval jusque dans l'Inde, où il remonte aux temps les plus reculés.
Il était aussi connu des Scythes. Voyez Hérodote, IV, 62 et 72.
" Her. I, 88.
16 Ibid. 90.
■», Pausan., VIII, 5,8; et i3, 1.
'• Die Dorier, t. I, p. 372.
19 Ad Paus.jVIII, 5, 8, t. III, p. 219. —Dans la charmante histoire racontée
lettre 10 du livre I d'Aristénète, c'est par Diane que Cydippe jure d'épouser le
jeune Aronce.
10 Au n° 3069, 25, c'est au moyen des intérêts d'un fonds de i5o drachmes
que doivent avoir lieu les sacrifices des Attalistes.
11 Ligne 7. Voyez une semblable disposition, n° 2656, ligne i5.
" Ligne 14.
13 Voyez Corp. Inscr. gr., 2789; 2981; 3o65, 34; 3067, 26.
3i Corp. Inscr.gr., 2286, 2287, 2288, 2293; 2298, 23o6.
a5 Hcllen. III, 2, n. — Voyez encore l'inscription inédite publiée par Cou-
sinéry dans son Voyage en Macédoine, t. I, p. 225.
16 VIII Segm. 8/,.
17 Lignes 11 et 14.
Inscrijitio