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V. Jean-Adam Roder de Hohenrode et de Rodeck, 1432-1449.
Sa femme : Else, comtesse de Hohen-Embs.
Ses enfants : Didier (Dietrich), 1432-1460, qui eut une fille,
Else, mariée à Bourcart Hummel de Stauffen-
berg, et un fils, Egenolphe, qui épousa en 1463
une Neueneck et fut le premier possesseur du fief
de Diersburg (1448-1478).
Louis, dit de Renchen, auteur des Reeder actuels.
C’est par ce Louis que nous commençons, dans Y Alsace Noble, la filia-
tion de la famille et nous nous permettons d’y renvoyer pour la suite.
Nous devons seulement ajouter que, d’après des pièces mises sous nos
yeux par M. le colonel Félix de Rœder, la branche issue de Frédéric-
Adolphe de Rœder, et actuellement fixée en Hesse, n’a pas pu prouver,
ou du moins n’a pas prouvé dans le délai qui lui était assigné, sa parenté
légitime avec les Rœder badois et qu’en conséquence la Cour des fiefs de
Carlsruhe l’a déclarée inhabile à succéder aux fiefs de la famille situés dans
le grand-duché.
Ernest Leur.
P. S. Depuis la rédaction de celte note, M. le colonel de Rœder a publié
les résultats de ses investigations en un magnifique tableau généalogique
in-folio, imprimé à Carlsruhe sous le titre de Stammbaum derer von
Rœder, et qui se recommande de lui-même à l’attention des historio-
graphes et des érudits.
E. L.
V. Jean-Adam Roder de Hohenrode et de Rodeck, 1432-1449.
Sa femme : Else, comtesse de Hohen-Embs.
Ses enfants : Didier (Dietrich), 1432-1460, qui eut une fille,
Else, mariée à Bourcart Hummel de Stauffen-
berg, et un fils, Egenolphe, qui épousa en 1463
une Neueneck et fut le premier possesseur du fief
de Diersburg (1448-1478).
Louis, dit de Renchen, auteur des Reeder actuels.
C’est par ce Louis que nous commençons, dans Y Alsace Noble, la filia-
tion de la famille et nous nous permettons d’y renvoyer pour la suite.
Nous devons seulement ajouter que, d’après des pièces mises sous nos
yeux par M. le colonel Félix de Rœder, la branche issue de Frédéric-
Adolphe de Rœder, et actuellement fixée en Hesse, n’a pas pu prouver,
ou du moins n’a pas prouvé dans le délai qui lui était assigné, sa parenté
légitime avec les Rœder badois et qu’en conséquence la Cour des fiefs de
Carlsruhe l’a déclarée inhabile à succéder aux fiefs de la famille situés dans
le grand-duché.
Ernest Leur.
P. S. Depuis la rédaction de celte note, M. le colonel de Rœder a publié
les résultats de ses investigations en un magnifique tableau généalogique
in-folio, imprimé à Carlsruhe sous le titre de Stammbaum derer von
Rœder, et qui se recommande de lui-même à l’attention des historio-
graphes et des érudits.
E. L.