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Société de l'Histoire de l'Art Français [Hrsg.]
Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art Français — 4.1878

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Janvier
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Guiffrey, Jules Joseph: Bulletin officiel des beaux-arts
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Montaiglon, Anatole de: Épitaphe de Michel Bégon
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Montaiglon, Anatole de: François Lombard et C. Galgan: (1639 - 1429)
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https://doi.org/10.11588/diglit.26387#0008
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— 176 —

ratifs, un arrêté relatif au Conservatoire de musique, enfin la der-
nière partie du compte-rendu de la séance publique de l’Académie
des Beaux-Arts du 20 octobre 1877.

Le numéro de décembre vient de paraître. J. G.

V.

ÉPITAPHE DE MICHEL BÉGON.

La date de la mort de Michel Bégon, l’intendant de la Rochelle et
le savant amateur, est bien connue. Il n’en est pas moins curieux de
relever ici, pour la joindre à l’ancien article des Archives (2e série, II,
45-51) et au volume spécial publié, en 1874, chez Aubry, par notre
confrère M. Duplessis, l’inscription funéraire, gravée en lettres
d’or sur une plaque de marbre noir, qui est attachée au mur du bas-
côté de la nef dans l’église Saint-Laumer de Blois. J’ajoute seulement
la ponctuation :

Michaeli Begon, — Equiti, Régi à Consiliis — et secretis, viro
morum — comitate insigni, civi — optimo, frequenti et — benefico
pauperum, studiosorum — Mecœnati, charitate erga — conjugem et
liberos eximio, — Claudia Viart, conjux, et liberi mœrentes PP
(posuerunt) — Vixit annos lxxxviii, — Obiit xvn Augusti — anno
d. m d cc Lxxxm. — Missam solemnem precesque — in perpetuum
fundavit — diebus ia Novemb. xvn. Augusti — et die obitus uxoris. »

FRANÇOIS LOMBARD ET C. GALGAN.

(1639-1429.)

Dans l’analyse donnée par le Bulletin monumental tome XLIII,
5e série, V, Tours, 1877, p. 591-4, d’un travail de M. J.-B. Delord
(Saint-Flour, 1876) sur l’église de Saint-Gai près de Muret, nous trou-
vons deux signatures de peintres, bonnes à relever ici :

« Quant aux objets d’art, ils ont été dispersés de tous côtés. A peine
peut-on en suivre les traces, et véritablement il a fallu toutes les
recherches de M. Delort pour apprendre que le tableau de Lombard,
par exemple, signé Francisais Lombardus faciebat i63g, et connu
sous le nom de Y ex-voto d’Auteroches, après avoir passé par les mains
d’un brocanteur de Clermont-Ferrand, était devenu la propriété de
l’église Saint-Bonaventure, à Lyon. Une autre toile, signée C. Gal-
gan et non Halgan, comme on l’avait cru jusqu’ici, et représentant
 
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