DOI Heft:
No 2 (Février 1912)
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.24677#0024
14
BULLETIN DES MUSEES ROYAUX
Finalement, comme distinction des peignes
frisons, il convient d’observer que ceux-ci ont
tous des chevilles en fer, tandis que le peigne
d’Oesselghem a des chevilles en bronze (i) et
qu’ainsi il apparaît que ce peigne est de l’époque
franque. »
*
* *
Nous adressons à MM. Floris, Warocqué,
Marot et Vierendeel nos plus vifs remerciements.
A. L.
de l’infanterie des villes et communes n° i :
1848).
4. Un ceinturon en maroquin rouge et galon
d’argent.
5. LTn ceinturon en cuir noirci.
6. Des galons de shako d’officier d’infanterie
de la garde-civique.
7. Deux pattes d’épaulières d’ofhcier d’infan-
terie de la garde-civique.
8. Un col noir d’ofhcier d’infanterie de la
garde-civique.
g. Un sabre avec fourreau en fer d’ofhcier
FIG. 2. - PEIGNE DES « TERPEN » FRISONS D APRES UN CROQUIS DE M. P. C. J. A. BOELES,
CONSERVATEUR DU MUSÉE W. FRISON A LEEUWARDEN.
Musée de la Porte de Hal :
M. Flenri Hymans, Conservateur en chef hono-
raire de la Bibliothèque Royale et membre de
l’Académie, dont le récent décès laisse dans le
monde des Arts et des Lettres d'unanimes regrets,
nous avait fait don, à la hn de décembre dernier,
des objets suivants :
1. Un shako de grande tenue d’ofhcier d’in-
fanterie de la garde-civique — 1867 (ancien
modèle de l'infanterie des villes et communes
n° 1 : 1848).
2. Un képi de - capitaine d’infanterie de la
garde-civique — 1867 (ancien modèle de l’infan-
terie des villes et communes n° 1 : 1848).
3. Une paire d’épaulettes d’ofhcier d’infante-
rie de la garde-civique — 1867 (ancien modèle
d’infanterie de la garde-civique (modèle de
l’armée).
*
* *
Madame Cheval, château de Mont-Saint-Jean,
près Waterloo, nous a fait don de deux boutons
d’uniforme du Premier Empire, trouvés dans
sa propriété.
Nous lui présentons nos bien vifs remer-
ciements.
PLAT EN LAITON DU XVIIe SIÈCLE.
La scène, qui fait le principal ornement de ce
plat nous montre Adam et Eve dans le para-
dis terrestre auprès de l’arbre de la science du
bien et du mal. Ce sujet, qui est l’un des plus
(1). S’entend, en cuivre rouge malléable.
BULLETIN DES MUSEES ROYAUX
Finalement, comme distinction des peignes
frisons, il convient d’observer que ceux-ci ont
tous des chevilles en fer, tandis que le peigne
d’Oesselghem a des chevilles en bronze (i) et
qu’ainsi il apparaît que ce peigne est de l’époque
franque. »
*
* *
Nous adressons à MM. Floris, Warocqué,
Marot et Vierendeel nos plus vifs remerciements.
A. L.
de l’infanterie des villes et communes n° i :
1848).
4. Un ceinturon en maroquin rouge et galon
d’argent.
5. LTn ceinturon en cuir noirci.
6. Des galons de shako d’officier d’infanterie
de la garde-civique.
7. Deux pattes d’épaulières d’ofhcier d’infan-
terie de la garde-civique.
8. Un col noir d’ofhcier d’infanterie de la
garde-civique.
g. Un sabre avec fourreau en fer d’ofhcier
FIG. 2. - PEIGNE DES « TERPEN » FRISONS D APRES UN CROQUIS DE M. P. C. J. A. BOELES,
CONSERVATEUR DU MUSÉE W. FRISON A LEEUWARDEN.
Musée de la Porte de Hal :
M. Flenri Hymans, Conservateur en chef hono-
raire de la Bibliothèque Royale et membre de
l’Académie, dont le récent décès laisse dans le
monde des Arts et des Lettres d'unanimes regrets,
nous avait fait don, à la hn de décembre dernier,
des objets suivants :
1. Un shako de grande tenue d’ofhcier d’in-
fanterie de la garde-civique — 1867 (ancien
modèle de l'infanterie des villes et communes
n° 1 : 1848).
2. Un képi de - capitaine d’infanterie de la
garde-civique — 1867 (ancien modèle de l’infan-
terie des villes et communes n° 1 : 1848).
3. Une paire d’épaulettes d’ofhcier d’infante-
rie de la garde-civique — 1867 (ancien modèle
d’infanterie de la garde-civique (modèle de
l’armée).
*
* *
Madame Cheval, château de Mont-Saint-Jean,
près Waterloo, nous a fait don de deux boutons
d’uniforme du Premier Empire, trouvés dans
sa propriété.
Nous lui présentons nos bien vifs remer-
ciements.
PLAT EN LAITON DU XVIIe SIÈCLE.
La scène, qui fait le principal ornement de ce
plat nous montre Adam et Eve dans le para-
dis terrestre auprès de l’arbre de la science du
bien et du mal. Ce sujet, qui est l’un des plus
(1). S’entend, en cuivre rouge malléable.