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Cahier, Charles; Martin, Arthur
Mélanges d'archéologie, d'histoire et de littérature (Band 1,2): Collection de mémoires sur l'orfévrerie ...: 2 — Paris, 1851

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https://doi.org/10.11588/diglit.33561#0110
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MÉLANGES D'ARCHÉOLOGtE.

raient pas à dédaigner si on les traitait à fond avec une connaissance un peu large des sciences
naturelles et de la philologie. Ceci ne veut point dire que j'ignore ou que je méconnaisse
les travaux de M. Berger de Xivrey sur les mais le sujet qu'il s'était
proposé n'est qu'une partie de ce que je voudrais voir fait en entier.
Janvier 18A6.
CHARLES CAHIER.
P. 5*. (Août 1850.) Tandis que ces recherches attendaient paisiblement l'instant de voir le
jour dans lesM^^M dont les matériaux se rassem-
blaientavec une lenteur inévitable, Madame Félicie d'Ayzac publia sur les 7?^yfÛM'y<?.y dans la
^ (t. vu, p. 66-79, 97-107, etc.), un travail où je puis bien dire que l'on re-
connaît des études plus sérieuses que le symbolisme de l'art chrétien n'a coutume d'en obtenir
aujourd'hui. Mais, comme on ne s'y propose ni absolument le même but que nous ni surtout
la même marche, la première venue de ces publications ne ferme point la route à l'autre. C'est
principalement dans une autre partie, jusqu'à présent ajournée, que nous aurons occasion de
faire voir en quoi ces deux ouvrages diffèrent essentiellement. Dès à présent leur diversité se
fera suffisamment sentir, car nous n'avons point prétendu rédiger un Bestiaire, mais chercher
celui de l'antiquité chrétienne.
Le complément de l'opuscule que nous livrons aujourd'hui à l'impression eût exigé des
voyages que les malheurs de l'Italie m'ont fait ajourner. Les Bibliothèques de cette contrée
renferment, si je ne m'abuse, le texte grec que je pourchassais à travers les premières recher-
ches que voici. Ce que j'ai pu trouver en ce genre dans nos collections de Paris, depuis la fin
de cette première partie, où je m'étais renfermé à dessein dans les traductions latines et fran-
çaises, manque d'un certain caractère d'antiquité et de probité, pour ainsi dire '. Quant à la
publication faite au seizième siècle par G. Ponce de Léon, sous le nom de 8. Épiphane, il n'é-
tait pas possible de la prendre au sérieux. Je n'ai pas cru devoir en faire autre chose que la
parcourir, jusqu'à l'établissement définitif du texte que je poursuis.
* Sept mss. grecs que j'ai pu transcrire depuis ia rédac- porterait ie pius est à peu près ccile que je réussis ie moins
tion de ce premier travait jusqu'à présent se partagent sensi- à compiéter. J'ai déjà iieu de croire que je serais ptus heu-
biement en deux famiites bien distinctes; mais ceiic qui m'im- reux hors de France.
 
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