Le charivari (14.1845)

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d °n pense qu'nn

^ fait mal. Encore ^ I
«yeUm pour graînfl %s
e 11 décore, en L ° ^

asse- . LES BEAUX JOURS DE LA VIE.

ilest souvent moillS(]a I
trecentafaillid011IlerSH

-légion, fournisseurde.
île le pied. SontJ 1

^•^onCt:;

Jdraa jambe sera ^

1 ane transvase textuel^,
™, jeune tralneur deSa
gmenfaUpartàM.]^
•se a M. Montalivet. C'est
tde l'anarchie, ilfautfj.

1 son comPte au fourni^
ressèment insolite;^
s un mot. Heureusement'n
pour rien ; notre homm!tl
on s'explique sans se corn,
ès bien des pourparlers,),
ne. Le grenadier-fournissciif,
audacieusement tourné en*
tout ce qui s'ensuit, n'élaii
action aux règles de la langue
jcadille qu'on pardonne faci-
ir cause.

! CHOREGRAPHE làll,

fous avons chanté la joie,
is faut chanter la tristesse,
JHë est venue, elle s'est ma-
i, elle est partie.
-Qui?

-Eh! parbleu! MllsCei
là soixante et douzeheuresf
Guillaume est évanoui etw
e saviez pas !
le départ a jeté la conste»
i dans le cœur de toutes k
elles monocles pleurent»
gnettes parlent de se suit*
: tes coups !

■atifs avaient été faits f
ina ; M. de Rambuteaueii
Guillaume tout confî dans-1
e jabot de M. de Saint-Geo'?
comète. Chaque jour w ■
e Notre-Dame et regardait-
lais. On moissonnait W
.b;lesavant-scenesde)UF

- VA

>Uvelleserépand.J
redire, queM"-CejJ*
pant toutes les s
qu'elle s'est mariée et

ît qui
tt'a pas attendu.

. s la ¥ W

(Lasuite a la* '

)péra tout entier a Mé4
ïombre de Yestris s'est q
i fantôme de Camargo, ft|
Guillaume, échevelé, M
enri IV : «Elle s'est mari»'

je hl % * M & Z l7ii Î0J N|# en
l ■■■■■aie est Mk de moi!.

N'.1 r;i

onne en ce moment.... eh bien, mon cher!