DOI issue:
Nr. 6
DOI article:Cochin, Henry: Quelques réflexions sur les Salons, [1]
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.24811#0505
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GAZETTE DES BEAUX-ARTS
pensées, en sorte que celles qui n’ont rien de mystérieux ne tons
pas délicates proprement... D’où l’on peut conclure que Indélicatesse
ajoute je ne sais quoi au sublime et à l'agréable, et que les pensées
■qui ne sont que nobles ou jolies ressemblent en quelque façon à
-ces héroïnes ou à ces bergères de roman qui n’ont sur le visage ni
masque ni crêpe. »
Boubours s’arrête là et ajoute : « Je ne sais si vous m’entendez;
je ne m’entends presque pas moi-même, et je crains à tout moment
•de me perdre dans mes réflexions ! »
Et moi donc! Je le crains si fort que je remets prudemment à un
mois la suite de ce raisonnement.
(La suite prochainement.)
H E .N R Y C O C II T N
GAZETTE DES BEAUX-ARTS
pensées, en sorte que celles qui n’ont rien de mystérieux ne tons
pas délicates proprement... D’où l’on peut conclure que Indélicatesse
ajoute je ne sais quoi au sublime et à l'agréable, et que les pensées
■qui ne sont que nobles ou jolies ressemblent en quelque façon à
-ces héroïnes ou à ces bergères de roman qui n’ont sur le visage ni
masque ni crêpe. »
Boubours s’arrête là et ajoute : « Je ne sais si vous m’entendez;
je ne m’entends presque pas moi-même, et je crains à tout moment
•de me perdre dans mes réflexions ! »
Et moi donc! Je le crains si fort que je remets prudemment à un
mois la suite de ce raisonnement.
(La suite prochainement.)
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