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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 12.1882

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https://doi.org/10.11588/diglit.6801#0031
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ISjCENTIMES

LE GRELOT

il. (iREVt

Qui vous parle de Gambetta... Je disais que
Yignaiïx a compromis l'honneur de la France.
C'est bien autrement inquiétant que l'affaire
du changement de cabinet... Mais je convo-
querai le corps diplomatique pour lui expli-
quer que si Yignaux eût suivi mes conseils.

m. wiison

11 n'eut pas été mis en minorité par 50 voix.

m. grkvy

Oh! mon pauvre Duhamel, quelle humi-
liation, jamais je ne m'en consolerai... 11 a fait
fausse queue !

AI. duuamkl,

Ca peut arriver à tout le monde. Il n'y a que
chez moi que l'on ne fasse jamais fausse
queue.

m. w1lson

Mauvais plaisant !

il. duhamel

Je vous jure que je ne l'ai pas fait exprès.

UN huiss1eb

L'amiral Jauréguiberry.

M. ORÉVY

Allons bon ! quelle scie. 0 le fardeau des
affaires 1 ^as un seul instant de repos 1
Jauréguiberry.
Tu aura* Guiberry,
Il aura Guiberry,
Nous aurons Guiberry,
Vous aurez Guiberry,
Ils auront Guiberry.

M. duhamel

Très drôle 1 Je le replacerai.

un HUlSSIEjK

M. de Freycinet.

m. GRÉVY

Encore un qui se conjugue au futur :
Je Freycinet,
Tu feras cinel,
Il fera cinet...

m. -wilson

Nous ferons cinet.

m. duhamel

Vous ferez cinet.

M. grevy

Ils ou elles feront cinet.

un huissier

M.-Jules Ferry.

M. URKVY

Je Ferry,
Tu fais ry,
11 fait ry...

M. DUHAMEL

Nous faisons ry.

M. W1LSON

Vous faites ry.

m. grévy

Ils font ry.

m. wilson

C'est très drôle. Il faudra conjuguer tout le
le ministère :

Je F«i botte,
Tu ribottes,
Il ribulte.

m. ar.ÉvY

Assez, mon gendre, n'oublions pas que nous
sons ârcheval... sur les principes et que le
verbe s'est fait cher 1

M. Goblet.

UN HUISSIER

M. GREVY

m. duhamel

Un prestidigitateur qui nous montrera plus
d'un tour de Goblet.

Oh ! patron, reprenez votre centre de gra-
vité. Le conseil des minisires va commencer.

M. GRÉVY

Hélas ! je n'y entendrai pas parler de Vi-
gnaux et de Slosson.

m. wii.son

Mais si, puisque vos ministres sont tous des

bas billards.

m. GRÉVY

Tout est rompu, mon gendre !

MONTRETOUT.

COUPS DE BEC

Puisque tout le inonde parle de l'Union gé-
nérale, je ne vois pas pourquoi je n'en parle-
rais pas comme mes concitoyens. Seulement
je ne serai peut-être pas aussi lugubre que la
plupart d'entre eux, parce que chacun a sa
manière de voir.

Or ma manière à moi ne me conseille pas
de me jeter la tète le long des murs de mon
magnifique salon jus de pruneau et or, d'a-
bord pour éviter de me faire des bosses, en-
suite, parce que les dites bosses me gêneraient
pour mettre mon chapeau.

Je constate d'abord, comme j'y suis obligé
du reste, que le pape avait béni la. boutique.

La bénédiction n'a pas servi à la prospérité
indéfinie de la machine, c'est certain, mais
commode paj/e a béni des taa d'affaires, si j'é-

tais à sa place, pour ne pas jeter un froid chez
les autres bénis, je ferais annoncer que je re-
prends les bénédictions qui ont cessé de
plaire.

Au moins, comme ça, les gens superstitieux
seraient rassurés.

Maintenant on verse des océans de larmes
sur les pauvres gens qui sont dans la mélasse,
pour un peu, on ouvrirait une souscription en
leur faveur.

Elle est bien bonne la farce, par exemple!

Comment des gens ont acheté des morceaux
de papier IgS fr. ils les revendent 3,o00, et les
acheteurs perdant le lendemain leurs :!,u()U fr,
vous dites que c'est 3,800 fr. de perdus 1

Ca ne fait bel et bien que 125 fr.

Les 3,500 fr. de Monsieur chose sont passés
dans la poche de Monsieur machin, moins
136 fr. et voilà tout.

Il ne faut pas se réjouir de cette déconfiture,
non, mais il ne faut pas larmoyer non plus
que tout le monde est ruiné du coup.

S'il y a des gens qui ont pérdu leur fortune,
d'autres y ont fait la leur.

Seulement demandez àX... pourquoi il a
voiture aujourd'hui, quand hier il était rela-
tivement sans le sou; il ne vous confessera
pas que c'est parce qu'il a vendu à temp*,
personne ne convient avoir gagné de l'argent
clans une affaire canaille, mais d',un autre
côté trouvez un bonhomme qui a tout perdu
dans une nuit au cercle, il vous dira effronté-
ment que c'est l'Union générale qui l'a ruiné,
et s'il se brûle la cervelle on mettra le suicide
sur le compte de cette malheureuse Union qui
n'en peut mais.

Dans cetie affaire, d'honnêtes naïfs ont
acheié et d'autres non moins naïfs honnêtes
ont vendu, c'est heureux pour les uns, mal-
hrureux pour les autres, c'est le baccarat de
la Bourse ; mais il y a eu aussi les malins, les
tripoteurs, les aigrefins qui y ont fait leurs
affaires, les uns bonnes, je le regrette, les au
très mauvaises, je ne les plains pas.

Rien ne motivait une hausse aussi considé-
rable, aussi insen-ée; ce n'était qu'une affaire
de jeu, de jeu purement et simplement. Ilso il
voulu décupler leur capital, ils ont tout perdu,
je m'en mo pie.

Dans les affaires de tripotages les plusruȎs
gagnent, c'est déjà malheureux, mais pour
ceux qui sombrent, je trouve que c'est bien
fait.

On ne rêve plus que fortune rapide aujour-
d'hui, personne ne veut plus rien faire, eh!
bien allez-y.

Ces leçons là sont dures, c'est possible, mais
si cette dernière pouvait profiler au moins,
comme elle aurait rendu service!

Plus moyen de vivre honnêtement main-
tenant, si on n'est pas Clou, disait un farceur,
et il avait presque raison.

-Tout le monde spéculait ou voulait spécu-
ler.

On aurait monté une Société pour transfor-
mer les queues d'asperges eu chapeaux de
feutre qu'on aurait pr s des actions.

C'est une énorme filouterie, se seraient dit
certains souscripteurs,mais la Société va faire
monter ses actions pour faire un coup, c'est
sûr; dès qu'il y aura.25 fr. de hausse je ven-
drai.

Aussi,jem'apiloie maigrement suiie compte
dos ruinés de Vl'nion générale, et le sort des
pauvres princes qui v*ndent leur hôtel pour
chercher des places de garçons de cai'é ne me
touche pas du tout.

Quant aux suicides de tous les jours, ne
soyons pas gobeurs au point de croire quec'est
toujours VUnion générale qui doit les endosser.

C'est une rage pour le moment. Si un notaire
est écrasé par un omnibus, si un Danuuierboit
du laudanum par erreur, croyant que c'est du
curaçao, un soir qu'il est pochard, v'ian le len-
demain on lit le fait, suivi de ces mots :

On pense être en FaCf d'un suicide causé par
la faillite de VUnion générale.

De la à trouver que c'est charmant, il y a
tout un monde; qu'on poursuivelescoupables,
qu'on use envers eux de la plus cruelle ri-
gueur, je trouverai toujours qu'on est trop
doux ; mais pour ceux qui, dans ce tripotage
insensé, ont perdu ou gagné, tant mieux pour
les uns, je ne les en flatte pas; mais tant pis
pour les autres, je ne les plains pas; ces der-
niers cherchaient à empocher l'argent des pre-
miers, l'affaire s'est retournée à l'envers, ça
m'est bien égal !

Mais, de tout ceci, il ressort qu'on se demande
vraiment pourquoi le gouvernement empêche
des gens de jouer dix sous aux dominos dans
un café, quand il laisse si facilement les gens
se ruiner, en jouant leur fortune contre des
morceaux de papier qui ne valent pas un
rouge liard.

René Lebrun.

Bien que ce soit une fonction plus absor-
bante que les profanes ne pensent, je ne me
borne pas, sur terre, à écriie chaque semaine
au Grelot.

Entre autres choses, il m'est arrivé, il y a
deux mois ou quelque peu davantage, de lire
un prospectus de Vl'nion Générale. Les lignes
suivantes me frappèrent d'une façon toute
particulière :

Les fondateurs de la Société de l'UNION
GÉNÉRALE ont obtenu la laveur d'une béné-
diction spéciale et Autographe de Notre Vé-
néré Saint-Père.

But de la Société de l'Union Générale

Grouper et transformer en un levier puissant

les capitaux des catholiques.

Créer un ié>ervoir central de ces capitaux
et-, par suite, une force d'action.

^Centraliser les affaires financières des Evê-
chés, des Communautés, du Clergé, des Mis-
sions et des particuliers.

Etre un intermédiaire utile et dévoué qui
procurerait aux prêteurs des placements réu-
nissant la sécurité et un revenu équitable
et aux emprunteurs toutes les facilités
compaiibles avec la prudence et la ponctua-
lité.

Ouvrir aux Evêchés, Corporations, Com-
munautés et aux (Euvres catholiques l'ac-
cès d'un crédit sagement étudié, et leur pro-
curer l'appui financier qui leur manque si
souvent.

Donner l'influence de son intervention, de
ses relations et des connaissances spéciales à
la création et au développement des (Euvres
reconnues utiles et saines.

— Tiens, tiens, me dis-je aussitôt, voilà une
affaire qui vaut la peine d'être étudiée.

Cette banque enfrocardée ne me dit rien qui
vaille. Je lui pourrais peut-être être très désa-
gréable. Qui sait même ! Il n'y aurait rien
d'impossible à ce que je sois capable de porter
à sa prospérité un coup sensible. Cela ne me
rapporterait rien. Mais quelle joie intime 1
Quelle satisfaction dans mon for intérieur
d'avoir pu enfin exécuter seul ce que je ré-
clame depuis si longtemps du gouvernement :
frapper les cléricaux à la poche.

Le résultat de mes réflexions et de mes in-
vestigations fut la perpétration et la publica-
tion d'une brochure que j'éditai à mes frais,
— lesquels furent d'ailleurs couverts par la
vente. Il me resta même quelque bénéfice.

Un journal spécialement financier, VEclat
de Rire, a daigné apprécier dernièrement cet
opuscule d'une façon trop flatteuse pour que
je puisse en faire l'analyse. J'en suis réduit à
citer textuellement mon confrère :

Il faut avouer que les spéculateurs « em-
ballés » sur l'Union Générale, qui se plaignent
aujourd'hui de n'avoir rencontré personne
pour leur crier casse-cou, sont absolument
dans leur tort.

Les 16 petites pages de la brochure ci-dessus
mentionnée contenaient,en effet, plus de pré-
dictions, clairement formulées, que Donato
lui-même, cet illustre endormeur, ne pourrait
en tirer de ses plus étonnants sujets, — y
compris Mlle Lucde, — en un trimestre en-
tier.

X %

Suivaient des citations que l'étroilesse du
cadre dont je dispose ici m'empêche de repro-
duire intégralement. Au reste, deux suffi-
ront :

« Que le scandale auquel la Bourse nous
fait assister depuis quelques mois soit pour
l'amusement des badauds, ou qu'on y voie
pour l'opinion publique une diversion à des
soucis plus graves, il est temps que toutes ces
folies cessent. »

« Il y va vraiment de la fortune publique.
Notro marché financier, qui était le premier
du monde par sa solidité et ses habitudes de
sagesse, menace de s'effondrer. Les extrava-
gances commises au nom du crédit tuent le
crédit lui-même. »

Si les cuoses devaient continuer ainsi, la
ruine serait iuévitable. Elle atteindrait notre
place jusqu'au fond, et nous mettrions, comme
on le fait à Vienne depuis le Krach de 1873,
plus de dix ans à nous relever d'un tel désas-
tre, o

Quoiqu'il en soit, ces persévérances obsti-
nées n'ont qu'une durée restreinte. Ces ventes
du comptant, qui n'ont pas eu lieu à 2,300 ou
2,1100, se produiront un jour ou l'autre à 2,800
peut-être, à 3,000 si vous le voulez. Ce jour-là
l'écrasement sera inévitable, car ces vendeurs
ne trouveront devant eux que la Société elle-
même pour racheter des titres poussés à des
cours insensés. Si donc nous voulons faire,
dans le milliard que nous cherchons à recons-
tituer, la part de cet élément moral et per^on-
jiel, nous dirons qu'il est tout aujourd'hui,
mais qu'un jour ou l'autre, prochainement,
sans aucun doute, il ne kei'késentera plus
rien. »

X

h'Eclat de Rire concluait ainsi (29 janvier
1881).

On sait ce que vaut l'Cnion Générale aujour-
d'hui. Il faudrait être étrangement hardi pour
avancer que le néfaste pronostic porté par le
brochurier- ne se réalisera pas jusqu'au bout !

En somme, M. H. Vaudémont a donné, aux
capitalistes, spéculant peu ou prou, des con-
seils qui, s'il avaient été suivis, auraient évité
à la France une débâcle, équivalant presque à
un désastre.

M. Paton a été décoré pour moins que
cela.

Si mon confrère a écrit, — comme je le sup-
pose, — ces deux dernières lignes dans le but
de m'ètre agréable, il s'est lourdement trompé,

Je ne tiens pas le moins du monde à êtrè
décoré. Je ne connais pas le M. Paton, auquel
il fait allusion. Mais je connais Albert Mil-
laud, Schnerb, Blavet, Gille et plusieurs
autres, décorés pour les hauts faits do leurs
plumes et je serais 'rès-vexé d'être deu& fois
le confrère de ces Messieurs. Je suis dé|a assez
I ennuyé de me trouver forcé de l'èire une.

X

Un journal royaliste, indigné de la vente
prochaine des précieux cailloux de la cou-
ronne, s'écrie d'un ton dithyrambique :

Qui osera acheter ces reliques éblouissantes,
et tant de fois foudroyées que, si la gloire y a
laissé ses rayons, le malheur semble y avoir
cristallisé des larmes et enchâssé des gouttes
de sang?

Qui ! i<Ai ! moi, parbleu ! Prêtez-moi seule-
ment l'argent nécessaire, bon royaliste, et
tenez le pari. Je vous jure que vous perdrez !

X

Jean de Nivelle approuve fort la grotesque
pétition des marchands de vins réclamant
presque l'inscription dans la constitution du
droit pour eux de mouiller leur vin.

— « Plus on mouillera, dit le spirituel
chroniqueur du Solail, moins on se grisera. >

Ah ça 1 cet orléaniste récalcitrant voudrait-
il conserver la soulographie comme dernier
privilège exclusif aux bourgeois ayant le
moyen d'avoir du vin en cave et aux invités
des princes marchands de Zucco ?

Henri Vaudémont

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