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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 12.1882

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15 CENTIMES

LE GRELOT

15 CENTIMES

des plus grandes familles de Russie, était chez
Augustine Brohan.
Il y avait soirée.

Tout à coup, une invitée s'aperçoit que le
prince qui comptait alors quatre-vingts ans, a
oublié certain détail de toilette que je laisse à
deviner.

Gomment le prévenir ?

L'invitée était au comble de l'embarras : ce-
pendant, pour sauver le prince d'un ridicule
certain, elle brûle ses vaisseaux.

— Prince, lui dit-elle, votre pantalon...
Et le prince souriant :

— Dans notre religion, madame, on laisse les
fenêtres ouvertes quand il y a un mort.

—o—

Pour finir, quelques mots de la fin.
De Zadig:
Au vernissage.

M. X... avait donné rendez-vous à la blonde
salle n° 83, à trois heures précises.

La dame arrive exactement, les deux amou-
reux prennent place sur un des sophas de la
salle et se mettent à causer avec volubilité,
tout en ayant l'air d|ôtre absorbés dans la
contemplation d'un paysage vert épinards ac-
croché juste en face d'eux.

Le peintre, auteur du tableau verdâtre de-
vant lequel personne ne s'était encore arrêté,
est enchanté de voir son œuvre attirer l'atten •
tion.

— Fais-moi donc l'amitié, dit-il à un de ses
amis, de t'approcher de ces deux personnes et
de chercher à entendre ce qu'elles disent de
mon tableau.

L'ami revient au bout d'une minute.

— Le monsieur disait à la dame : <n De
grâce, accordez-moi un rendez-vous ce soir 1 »

—o—

Du Masque de 1er :
Chez un médecin.

Le malade imaginaire. — Cher docteur, mon
nervosisme tourne, je le crains, au gâtisme.
J'ai des distractions très inquiétantes.

Le médecin. —Parexemple 1 cher monsieur.

Le malade imaginaire. — L'autre jour, il
pleuvait ; je vais chez mon dentiste, et, en
sortant, dans l'escalier, j'ouvre mon parapluie!

Le médecin. — Très grave, mais vous en
guérirez.

—o—

Une assez jolie coquille dans un feuilleton
émouvant.

L'auteur termine par ce cliché à sensation :
« Il avait déjà un pied dans le crime. »
Le prote avec conviction :
« Il avait déjà un pied dans la crème. »

Tout lïï Monde.

COUPS DE BEC

Si cela continue, nous allons en être ré-
duits à ce comble ridicule de la précaution :
Nous laisser mourir de faim, dans la crainte
d\Hre empoisonnés.

En effet, car c'est navrant de lire les résul-
tats des analyses officielles des denrées qu'on
fait avaler

Sans parler de lait mauvais, du lait pas bon,
du vin encore pas fameux, je vojrais ces mots
rassurants sur le miel et sur les confitures :
sur 4 échantillons soumis à l'analyse, '2 mau-
vais, 2 nuisibles.

Or comme deux et deux ça fait bien quatre, il
s'en suit que sur quatre expériences il y a eu
quatre résultats désastreux.

C'est encore bien beau qu'il n'y en ait pas
eu cinq 1 Diront les gens qui s'accomodent de
tout, mais pour ceux qui n'ont pas le carac-
tère aussi bien fait, il y a vraiment lieu de ne
pas être joliment satisfait.

Les gens de province nous blaguent, nous
autres malheureux parisiens au teint pâle, ils
nous traitent de maigriots, de poules mouil-
lées, parce que nous n'avons pas les joues li-
las, et parce que la graisse ne nous gène pas
toujours pour courir.

Nous ne sommes pas aussi robustes, aussi
solides que les gens des champs ; et, parbleu!
ce n'est pas une nouvelle, mais cependant
dansie nombre il y a encoredes gars solides.

Eh 1 bien sachez-le, braves gens, il faut que
nous ayons un rude tempérament, pour résis-
ter à l'action combinée des empoisonneurs
qui nous travaillent depuis notre naissance
jusqu'à l'époque de notre mort qui ne devance
pas la vôtre de beaucoup.

Pensez-donc que nous n'avons ni lait, ni vin,
ni beurre, même pas de confitures II...

On nous maçonne l'estomac de n'importe
quelle saleté pourvu quelle ne revienne pas
cher, et nous vivons tout de même I

DaDS votre honnête naïveté, vous demandez
pourquoi nous nous laissons faire, et vous avez
raison.

Mais comment voulez-vous que nous fas-
sions? nos lois nous autorisent à nous plain-
dre, etquand après bien de démarches nous ar-
rivons à faire pincer un de ces affreux assas-
sins, on lui flanque tout d'un coup 200 francs
d'amende.

L'amende payée, croyez-vous que le marchand
est embarrassé? Pas du tout, il recommence
avec une autre denrée à nous empoisonner
comme précédemment, car il aime bien mieux
risquer de payer 200 fr. et en gagner sûrement
10,000.

Pour lui c'est tout profit. Après deux ou
trois condamnations, il change de quartier et
au bout de 10 ans, il se retire pour vivre hon-
nêtement de l'argent qu'il nous a loyalement
volé en nous assassinant en détail.

Assassins ces misérables, mais plus lâches
que le coquin qui nous attaque franchemeni,
ils nous ruinent la santé en véritablesjésuites,
nous souriant, nous offrant même parfois des
étrennesqu'ilsosent accompagner d'un souhait
de bonne santé.

Les expériences désastreuses de chaque jour

prouvent une chose, c'est que les lois de
répression contre ces coquins sont d'une ba-
nalité ridicule.

Les falsifications reconnues nuisibles de-
vraient être assimilées à l'empoisonnement
pur et simple, avec préméditation, ce serait
tout simplement justice, et tous les honnêtes
gens, à quelque parti qu'ils appartiennent de-
vraient demander une réforme de nos lois en
ce sens.

En attendant, puisqu'on acquitte tant de
mères qui tuent leurs enfants, je serais au
moins ravi, histoire de prendre patience, de
voir acquitter des mères tuant le laitier dont
le mauvais lait aurait causé la mort de leurs
petits.

. En pareille circonstance, je voudrais bien
savoir quels sont les jurés qui la reconnaî-
traient coupable.

René Lebrun.

Décidément les gens du monde chic seraient
désolés de manquer l'occasion de faire une
sottise. Aussi n'en laissent-ils échapper
aucune.

C'est pourquoi, sans doute, ils se laissent
entraîner à d'interminables dissertations sur
l'affaire de Chaulnes-Chevreuse alors que le
plus vulgaire bon sens leur commanderait
d'observer à ce sujet un silence auprès duquel
celui, si fameux, de Conrard, ne serait que de
la simple et vulgaire roupie de sansonnet.

Que deviennent en effet, dans tout cela, les
inimitables vertus privées de la femme du
monde, vertu tant vantées par les philosophes
à la Dumas fils, en opposition des femelles des
pétroleurs.

Et que deviennent surtout les fameux droits
du père et de la mire de famille, dont les bon-
dieusards nous rabattent tant les oreilles
depuis le vote de la loi sur l'instruction laïque ?

C'est chose merveilleuse, en vérité, que la
sottise immense avec laquelle toutes ces arai-
gnées de sacristie se prennent elles-mêmes
dans les trames qu'elles ont ourdies avec une
duplicité si effrontée!

x

Comment se dénouera l'incident Freppel ?
Voilà ce que nous ne savons pas.

Que ce brave homme, qui fait métier de
mépriser les jouissances profanes, tienne à
garder les 18 ou 16.000 francs qu'il a touchés
indûment, nous le comprenons parfaitement.

Le palais épiscopal d'Angers est presque au
coindu quai. Cette proximité suffit pour qu'on
n'y rende pas l'argent des traitements n'ayant
point cessé de plaire. D'autant plus que ce
saint homme doit s'être empressé d'employer
ces fonds en saintes œuvres. Evidemment, à
force défaire des versements pour Notre-Dame
de la Galette, le denier de Saint-Pierre et
l'œuvre des petits Chinois rachetés de la dent
cruelle des cochons violets, il ne reste plus,
sur cette somme, à l'émule de Dupanloup, de
quoi s'acheter une malheureuse botte de
radis.

Par exemple, sij'étais le gouvernement je
sais bien ce que je m'empresserais de faire :
j'enverrais dare-dare l'huissier à l'ensoutanê
de violet, je mettrais arrêt sur ses appointe-
monts et vendrais au besoin tout son Saint-
Frusquin pour rentrer dans mon argent.

Les bigotes gémiraient et les cagots hurle-
raient. Mais, comme disait feu le père Duchênc:
les bons bougres de libres-penseurs s'en col-
leraient une jolie bosse. Et c'est là, à mon
estime, du moins, ce qui importe avant tout !

On lit dans VIntransigeant du 3 mai :

« Le président de la Chambre n'a pas encore
reçu les démissions de MM. Savary et Leconte
(dé l'Indre).

M. Leconte est ce député dont nous avons
parlé, qui s'est permis de falsifier son permis
de circulation, afin de faire profiter sa femme
de la gratuité du parcours sur les chemins de
fer ».

Pendant qu'il y était, M. Leconte n'aurait
pas dû s'arrêter en chemin et étendre la gra-
tuité de son parcours non-seulement à sa
femme, ses enfants, leur nourrice, la bonne,
mais encore à ses parents et amis, voire même
à ses électeurs l

X

Connaisssez-vous le Franco-Slave 1 Non»
bans doute. C'est un petit canard politico-
financier hebdomadaire qui s'est imposé la
lourde tâche de réaliser l'alliance si souvent
rêvée entre la Russie et la France.

Le rédacteur en chef, M. Henri Moonus, est,,
comme Joseph Reinach, dont il doit avoir
l'âge, un fougueux adulateur deGambetta. En
même temps que le tribun jadis populaire,
Henri Moonus admire fort le czar et tape à
tour de bras sur le dos des nihilistes. Il raconte

ainsi le meurtre d'un policier russe par
ceux-ci :

A peine arrivé, pendant qu'il se repose sur
un banc de la promenade, il est lâchement
assassiné, les brigands l'attaquent par der-
rière, car le meurtrier est généralement peu
courageux.

Je sais des gens invariablement plus lâches
que les révolutionnaires, ce sont les conserva-
teurs. Ce n'est pas ceux-ci qui attaqueraient
un Raoul Rigault, même par derrière. Ah
bien ouiche! ils ne savent que crier comme
des anguilles qu'on écorche et courir se met-
tre à l'abri sous la. protection des gendarmes.

X

Continuons à dépouiller cette belle prose
opportuniste :

Les chefs et les instigateurs ne tiennent
point à s'exposer et c'est généralement un
jeune homme sans expérience qu'ils entraî-
nent vers le crime, eux sont aussi coupables
et leur punition devrait être au moins égale à
celle de leur instrument aveugle.

« Instrument aveugle -> n'est pas neuf mais
cette expression ne m'en plaît pas moins infi-
niment. Elle a cet avantage d'expliquer d'une
façon très satisfaisante comment et pourquoi
les nihilistes qui se servent du revolver man-
quent presque toujours leur coup. Mais quelle
singulière idée a le comité exécutif d'armer
ainsi des gens, bons tout au plus à se faiie
remorquer par des caniches.

N'a-t-il donc pas à sa disposition quelques
borgnes?

X

La conclusion vaut aussi la peine d'être ci-
tée :

Nous ne sommes nullement partisan de la
peine de mort, ni du principe œil pour œil,
dent pour dent, mais il y a des exceptions.
L'assassinat préparé froidement, soit dans les
cas ordinaires, soit dans les cas politiques, est
une de ces exceptions, car nous ne pouvons
pas admettre cette différence subtile.

Ainsi Henri Moomus blâme qu'on pende ou
qu'on décapite les gens sans raison sérieuse,
parce qu'ils ont un grand nez ou qu'une ûa-
tuosité leur est échappée en présence d'une
autorité, comme cela se passe en Birmanie.
Et ce charmant défenseur du czar se juge, de
très bonne foi, un fougueux abolitionniste.
Qu'il persévère dans ces idées et il arrivera
sous peu à doubler Saint-Genest, chose qui,
certes, n'est pas donnée à tout le monde —
heureusement.

X

Albert Delpit a eu — la seule fois de sa vie
peut-être — une bonne inspiration en repro-
duisant, dans le Faris, une chanson popu-
laire allemande qui obtient actuellement un
grand succès outre-Rhin :

ADIEU

Voilà trois ans écoulés depuis que je suis
entré dans ce pays, le fusil sur l'épaule; au-
jourd'hui il est temps que je m'en retourne
chez moi ; le tambour bat et nous rappelle.
Adieu 1

J'ai eu des moments d'inquiétude, car je
craignais un peu que les Français ne payas-
sent pas comptant 1 Vaine terreur, Dieu merci,
mon cœur est plein d'une béatitude : l'argent
est là, payé, en bonnes espèces sonnantes.
Adieu 1

Hurrah ! Cinq milliards ds francs] Ils sont
payés, et alignés là devant nous, offerts au bon
empire allemand. — C'est égal, si seulement
il en passait un peu dans ma poche 1 Adieu 1

Adieu, ma France:; oublie, ma chère, ce que
tu ne peux pas changer ! — C'est le plus sage.
— Tu sais, tiens-toi bien tranquille; nous en-
tendons garder Strasbourg et Metz 1 — C'est
clair; Comprenez-vomi Adieu 1

Et pendant ce temps-là, nous autres, nous
chantons 11 n'a pas d'parapluie, le Petit Bleu et
elC'est Mamzelle Qligw.ancourt\

Souvenons-nous, imas frères. Remémorons-
nous surtout qu'une ordonnance royale du 2
mars 1808 à dépouillé la maison de Hanovre
de ses biens et a attaché le produit de cette con-
fiscation à subventionner la presse gouverne-
mentale. C'est ce qu'on appelle le fonds des
reptiles.

N'est-ce pas qu'ils sont honnêtes, vertueux,
loyaux et indépendants, nos confrères, et que
nous pouvons faire grand fond sur les assu-
rances d'amitié qu'ils nous prodiguent en ce
moment sur l'ordre du machiavélique Bis-
mark !

On lit dans l'Europe :

Les bigots britanniques persécutent l'athé-
isme deM. Bradlàugh jusque dans ses enfants,
et font indirectement sommer le gouverne-
ment aux communes par sir 11. Tyler, d'avoir
à renvoyer les deux filles de M. Bradlàugh du
Hall of Science, où ces jeunes institutrices
donnent des cours de botanique et de chimie.

Commo c'est généreux 1

Allons décidément les hypocrites sont aussi
ifourbes, aussi lâches, aussi odieux sous quel-
que latitude qu'ils vivent.

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