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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 12.1882

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https://doi.org/10.11588/diglit.6801#0082
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i» CENTIMES

LE GRELOT

15 SENTIMES

sait guère où aller pour être tranquille; la
petite fête se remet de ville en ville et de jour
en jour, or, si lui n'est pas tranquille, com-
ment peut-il s'imaginer que les autres soient
à la noce?

Quand on vous invite à dîner en ville, c est
amusant, on y va, mais si l'amphytrion vous
disait :

« Venez donc, nous aurons des choses suc-
« culantes à dîner, seulement comme la mai-
c son n'est pas solide, il n'y aurait rien d'éton-
« nant à ce qu'au milieu de la fête le plafond
« tombe sur la table. » Il est probable qu'on
y regarderait à deux fois, avant d'aller chez
ces gens-là.

La famille royale de Danemark est tout bon-
nement dans le même cas, et je la comprends
moi, c'te famille là. Quant à l'empereur de
Russie qui grille de se faire couronner et qui
ne peut en venir à bout, dans la crainte perpé-
tuelle qu'il a de se flanquer les jambes en l'air,
il me semble qu'il lui serait cependant facile
d'en arriver à ses fins et de faire par là une
bonne farce aux nihilistes.

A sa place, je ferais assavoir a trétous que je
vais me faire couronner soit à N.-D. de Cazan,
soit à l'église Isaac, tel jour et à telle heure.

Au jour dit, pendant que les nihilistes rem-
pliraient la perspective Niewski depuis le quai
de la Newa jusqu'au pont de Police, ou de la
place Isaac jusqu'à Gottinidwor, je filerais
tranquillement incognito jusque chez un
épicier du vieux quartier de bois, et je me
ferais couronner dans l'arri ère-boutique par
un pope requis à cet effet, en présence de
l'épicier, de sa femme et de quelques amis....
enchaînés préalablement.

S'il sort delà, d'après toutce qu'on apprend,
le couronnement de l'empereur aura lieu
quand? on se le demande, et encore, s'il a
lieu, je suis sûr d'une chose, c'est que depuis
l'empereur lui-même jusqu'au dernier grena-
dier de service, tout le monde aura mal au
ventre de peur.

Qu'est-ce que vous pariez ?

René Lebrun.

jointe %* îfltaotiges

JeanGornélyaprissa bonne plume d'oie de
Tolède pour répondre par une colonne de
prose, insérée en tête du Clairon, au spirituel
discours prononcé à la Chambre par Clovis
Hugues. *

Voici la conclusion de ce remarquable mor-
ceau de littérature:

Depuis son berceau jusqu'à son cerceuil,
l'homme s'il veut croire en Dien, doit lutter
contre l'Etat oppresseur.

Et puis après ?

Après ! Voici ce qui arrivera.

Ou la République réussira à déchristianiser
la France, et alors il n'y aura plus de France.
Ou la France voudra vivre quand même, et
alors elle sera bien forcée, un jour, de balayer
cette République infâme qui veut nous voler
à la fois l'âme de nos eniants et les os de nos
pères.

Fermez les portes 1 Et que personne ne
sorte avant qu'on ait fouillé tout le monde
pour voir si quelqu'un a,dans sa poche, quel-
que morceau de l'âme des enfants ou des os
des pères de J. Cornély.

X

On nous rendra cette justice qu'ici, nous
n'abusons pas de la Figarophobie. Ce n'est pas
par sympathie pour le journal de Magnard.
Au contraire, cet organe nous répugne tant à
lire que rarement nous mettons le nez dedans
et nous trouvons par conséquent fort empêché
d'en dauber sur le contenu.

L'autre soir cependant étant constipé et
trop déchard pour m'achetcr une fiole de ce
que ma concierge appellera huile d'Henri V,
tant que le marchand de bottines pour culs-
de-jatte du coin n'aura pas fait fortune, m'ad-
vint la pfantaisie de plonger le nez dans le
journal de la rue Drouot.

Est-il utile de dire que je courus tout
d'abord aux petites annonces pornographi-
ques?

Voici ce que je trouvai:

BOO francs! La dame qui a reçue la mon-
naie de mille pour son billet de S00 fr. (31 mars)
est priée de renvoyer les cinq cents francs
donnés en erreur.

La signature Alphonse n'est pas au-dessous.
Mais elle s'impose.

Alphonse a raison de ne pas gâter le métier.
S'il a iendu pour mille francs de services, il
ne peut décemment en accepter cinq cents.

Oui, mais si les services sont de ces natures
délicates qu'il est extraordinairement difficile
de préciser quand on est lu par des femmes,
je me demande comment la dame va faire
pour rembourser Alphonse.

Et j'ai beau me le demander, je ne me ré-
ponds pas.

Je reste perplexe.

X

Continuons :

ménage, le mari cocher, désire place con-
cierge ou emploi pour le mari seul.

Et pendant que le mari travaillera comme
un pauvre nègre, la dame prendra des leçons
de boxe pouréreinter les artistes dramatiques
qui viendront lui demander le cordon passé
minuit sans doute ?

0 tempora, o mores 1

X

Maintenant, dans les Renseignements, je
trouve celui-ci pour lequel je me permettrai
d'en demander un.

Ecclésiastique, licencié, parlant alle-
mand, demande préceptorat.

L'ecclésiastique en question est-il licencié
ès n'importe quoi, ou a-t-il été licencié des
ordres ?

Pardon de la licence grande...

X

Pendant que nous y sommes, plongeons
nous dans la peau du grand, de l'immense, du
seul Saint-Genest 1

Qui m'eût dit que moi, élevé dans un collège
de l'Université, que moi, disciple de Manuel
et de Vapereau, que moi, l'admirateur de Pas-
cal et de Bossuet, que moi, qui jamais n'avais
pensé à franchir le seuil de Vaugirard ni de la
rue des Posles, et qui croyais n'yjaraais entrer...
qui m'eût dit que je viendrais un jour assister
à une représentation helvétique en l'honneur
du Révérend-Père recteur.

Notez ceci : IL a été élevé dans un collège
de l'Université. Coup terrible porté directement
à l'enseignement de l'Etat, qui peu produire
de semblables acéphales.

Notons encore ce qui suit :

En écoutant cette pièce, en voyant le fré-
missement causé par ces vers, on sentait qu'une
guerre survenant encore cette noble et vail-
lante jeunesse, ces jeunes et grands cœurs
iraient se faire tuer sous les ordres de leurs
persécuteurs, comme leurs devanciers se sont
fait tuer sous les ordres des Freycinet et des
Ghallemel-Lacour.

Au fait, n'est-ce pas, il y avait longtemps
qu'ils ne l'avaient dit, IL fait bien de le rap-
peler. En 1870, eux seuis se sont battus, eux
seuls se sont fait tuer 1 c'est même cela, et cela
seulement qui les met en minorité à l'heure
qu'il est.

Minorité qui court grand risque de durer
longtemps encore, car les bons cléricaux sont
incapables de songer à reconquérir la majorité
par des moyens si peu blâmables que ce
soit.

Goûtez-moi encore ce petit morceau :

Pendant ces quatre actes, pas une allusion
politique, pas une de ces paroles comme MM.
Paul Bert et Jules Ferry n'ont pas craint d'en
prononcer devant les enfants.

Quel exemple, ô mes frères, quelle leçon !
Profitez-en. Et à l'avenir imitez les M***, les
B***, les G*"* je vous prie 1 Quand vous aurez
quelque acte facétieux à commettre, quelque
parole légère à prononcer, évitez que ce soit
devant les enfants. Faites au préalable retour-
ner ceux-ci.

X

La France Populaire continue à être mise en
page d'une façon on ne peut plus fantaisiste.

On en jugera par la lecture de cet entrefilet,
découpé avec un soin jaloux dans ce drap de
lit quotidien :

Passer quatre mois sur un glaçon dans la mer
glaciale est une aventure assez extraordinaire
qui vient d'arriver à dos pêcheurs du cercle
d'Onega, écrit-on d'Arkhangel à la Gazette de
VAllemagne du Nord.

Sept habitants du village de Durakow étaient
partis en bateau le 3 février, pour aller chas-
ser des animaux marins, emportant avec eux
des provisions et des appareils de chasse et
de pêche.

Le même jour, ils descendirent sur un grand
glaçon flottant, et s'y établirent pour com-
mencer leur pèche; ils y restèrent tranquile-
ment jusqu'au l01, mars, où, par suite d'une
tempête, le glaçon fut submergé par les vagues
glacées de l'Océan, de sorte que les chasseurs
durent se réfugier dans leur bateau.

Heureusement, le vent ne dura pas long-
temps et ils purent s'installer de nouveau sur
leur glaçon. Durant quinze jours et quinze
nuits, ils allèrent ainsi à la dérive le long des
côtes jusqu'au moment où le glaçon se trouva
subitement entraîné vers la gautê mer.

Il ne restait plus aux malheureux nauti-
que.

On trouverait bien d'autres souvenirs dans
lame Vielle-du-Temple et dans le quartier du
Marais.

Parmi les enseignes disparues, on cite un
drapier qui avait pris pour enseigne une paire
de ciseaux volants, non pas tant pour marquer
la dextérité avec laquelle il aurait à débiter
ses étoffes que pour inviter la pratique à se
méfier des ciseaux du tailleur (tailleur rimant
avec voleur était un jeu de mots qui, pour
lors, faisait florès.

Les fabricants d'enseignes cultivaient le ca-
lembour. Je me souviens de celle d'un cabare-
tier qui avait lait écrire sur son auvent t

O 20 100 O
Cela voudrait dire : Au vin sans eau.

Un mercier en décorant sa boutique de l'Y
majuscule, faisant un jeu de mots par
à peu près, attendu qu'il vendait des lies-
fragés qu'à être engloutis, si leur navire ve-
nait à s'entr'ouvrir, ou à périr de faim et de
froid s'il continuait sa marche à travers l'o-
céan, loin de toute terre habitée.

Ils ne savaient où ils allaient, et il y avait
vingt jours qu'ils voguaient ainsi sur les oaux
remplies de banquises, lorsque, le jour de Pâ-
ques, ils aperçurent la terre. C'était la pointe
de Kanin: maïs ils ne purent abordor. Leur
joie lut de courte durée ; un vent violent du
Sud les poussa de nouveau vers la pleine mer.
Leurs vivres s'épuisaient; ils ne pouvaient se
procurer d'autre nourriture que des phoques
ou des veaux marins. Ils passèrent encore six
semaines dans cette horrible situation.

Enlin le 27 mai, ils aperçurent une autre
fois la terre, c'était la même* pointe de Kanin;
le courant entraiaa leur glaçon jusqu'à l'em-
bouchure du ileuve Stelbowo. C'est là que
leur odyssée s'est terminée; après avoir été
ballottés quatre mois sur les flots de l'Océan
glacial, où la mort les menaçait à chaque ins-
tant, ils ont pu gagner le rivage et trouver
l'hospitalité chez les Samoyèdes.

Je parierais de grand cœur cent sous que
les trois quarts des lecteurs ont lu cela tout
d'une haleine et ont parfaitement compris !

Henry Vaudémont.

CHRONIQUE THEATRALE

Gymnase. — Il ne s'agit pas d'être veinard,
mais bien de fixer la veine. M. Koning vient
de la fixer au Gymnase, grâce à la reprise de
Madame Caverlet, cette œuvre puissante de
Emile Augier, jouée jadis au Vaudeville.

Le Succès a été plus vif boulevard Bonne-
Nouvelle que rue de la Chaussée d'Antin.
Madame Caverlet a été jouée avec le plus grand
talent par toute la troupe du Gymnase.

Hippodrome. — Mercredi dernier spectacle
fort attré.vant.

D'abord Mlle LéonaDare, la gymnasiarque,
superbement bâtie, et dont la mâchoire de fer
continue à faire merveille. En voilà une
femme portée sur sa bouche ! Elle enlève un
hommeduboutdes dentsetlui faitfaire le tour-
niquet, le sourire aux lèvres. On applaudit,
on trépigne, natu'ellément ; mais on craint
malgré soi qu'un accident n'arrive.

Mlle Elisa, de Vienne, l'ccuyère favorite de
l'impératrice d'Autriche, est venue ensuite,
montant son pur sang. L'aisance parfaite de la
jeune femme dans les exercices qu'elle impose
à sa monture, avec autant de douceur que
d'art, a été remarquée. Le succès de la belle
amazone a été unanime.

Enfin, M. Hargebecks a présenté les cinq
bœufs qu'il a dressés à se courber, se balancer,
monter, descendre comme le feraient des tou-
tous forains.

Ces lourds et épais animaux, que l'on se
plaît à trouver délicieux avec des petites ca-
rottes et un peu bardés de lard ou revenus —
par tranches — dans un peu de Deurre frais,
avec des fines herbes ou des pommes de terre
frites autour, ces bœufs enfin ont fait très
bonne figure dans l'arène de l'Hippodrome.

M. Zidler prépare en ce moment une grande
pantomine à sensation sur la légende comique
de Cadet Roussel.

—o— ^

Folies-Bergère. — Dans le nouveau ballet
des Folies-Bergère intitulé : La Bonne Aventure,
lequel fourmille de jolis motifs musicaux et
de gracieux pas chorégraphiques, il y a une
certaine masurka ou polka dite : Des Revolvers,
qui à coup sûr sera le principal clou du diver-
tissement : chacune de ces dames use une
dizaine de cartouches dont les détonations
accompagnent la mélodie et on marquent la
mesure. C'est très original I...

Signalons les brillants débuts et le grand
succès obtenu au théâtre des Folies-Bergère
par Alexandro, équilibriste d'un nouveau
genre, on ne peut plus divertissant et tout à
fait original.

DE LA VERURIE.

GRELOTS

Monsieur chose, auteur de livres assom-
mants, est aussi laid que prétentieux.
L'autre soir il disait avec fatuité :

— Moi, tel que vous me voyez, je suis le fils
de mes œuvres.

— Cela se voit, murmura nn assistant, il leur
ressemble.

—o—

Mon premier est un nom d'enfant
Que l'on garde devenu grand ;
Mon second fait une blessure
S'il est lancé d'une main sure;
Et mon troisième est employé
Pour dire en allemand : mon pié.
Et mon tout un fonctionnaire
Honnête brave et nécessaire.

Jean—Dard — ma pied — Gendarme à pied.

—o—

On annonçait à Madame de... qu'un de ses
amis venait de passer de la magistrature de-
bout dans la magistrature assise.

— Ah 1 s'écria-t-elle, voilà qui va bien chan-
ger «a position.

—o—•

Calino,propriétaire à Suresnes, vient de faire
placer sur un chemin longeant la Seine, un
poteau avec cette inscription :

c Quand ce poteau disparait sous les eaux,
« le chemin est interdit aux piétons et aux
« voitures. »

ÏRIliOULET.

AUX PHARES

DE LA

BASTILLE

PLACE DE LA BASTILLE

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