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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 12.1882

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15 CENTIMES

LE GRELOT

elle est d'un joli tonneau, comme on dit à
l'archevêché, les dépêches qu'on envoie d'E-
gypte doivent passer par leurs mains, et
quand il ne leur plaît pas de donner suite à
la missive du correspondant, quand la dépè-
che exacte ou non, ne leur convient pas, ils
ne la refusent pas, non, ils sont trop aimables
pour cela, seulement ils la... modifient.

Ainsi par exemple un reporter va pour faire
passer la note suivante :

« Arabi est partout acclamécommelevérita-
ble chef suprême de l'Egypte. Les volontaires
viennent de toutes parts, grossir le nombre de
ses soldats. Hier à deux heures, le 6e rosbif
de la garde a fait une reconnaissance en avant
d'Alexandrie ; jusqu'ici personne n'est revenu.
On eralnt qu'il ait été complètement anéanti
par le* bédouins. »

L'Anglais chargé de faire passer la dépêche
vous demande votre argent, vous payez, vous
croyez que vous aller envoyer des nouvelles
dans votre pays, pas du tout. L'Anglais
arrange le bulletin à sa manière, et on lit
ensuite ici dans les journaux :

Arabi commence à comprendre que sa résis-
tance ne saurait être de longue durée, des
cris de : mort à Arabi I sont proférés chaque
jour dans son camp qui diminue de jour en
jour. Hier à deux heures le iie lich'frite de la
reine a fait une promenade à dix kilomètres
d'Alexandrie, il est rentré le soir avec 13,000
prisonniers, soit la presque totalité des trou-
pes rebelles.

Gomme nous savons heureusement à quoi
nous en tenir sur l'exactitude des nouvelles
qui nous parviennent d'Egypte, nous ne pou-
vons y attacher aucune importance.

Lord Seymour en personne, nous informe-
rait qu'il vient de mettre l'Egypte dans sa po-
che, que nous resterions complètement froids.
(Juoique les Anglais rafistolent les dépèches à
leur gré, il est facile d'y démêler, qu'ils ont
déjà reçu une frottée à Ramlch.

Espérons que ce ne sera pas la dernière, ô
mon Dieu ! Notre plus vif dé?ir serait de les
voir nettoyés jusqu'au dernier, et obligés, par
dessus le marche, à payer les frais de la casse.

Il serait bien temps, à la fin, si le bon droit
n'est pas une plaisanterie, qu'il empoigne
sérieusement le côté du manche, et qu il s'en
serve à son profit.

René Lebrun.

Nous en acceptons l'augure.

Le général sir Wolseley a déclaré solennel-
lement qu'il espérait voir la guerre d'Egypte
terminée pour le lii septembre.

Ainsi, le vainqueur des Achantis croit être
roulé à plate-couture en si peu de temps.

Nous serions on ne peut plus vexés de voir
les événements le démentir 1

a.

ZIG-ZAGS

Il ksi né lis serin enfant, etc.

Le travail d'enfantement a été laborieux.
Mais enfin, l'accouchement a été mené à
bonne fin.

Il s'est accompli peut-être quelques jours
après terme.

Toutefois, comme il a fini par se produire
sans qu il soit besoin de recourir au forceps;

De prendre des intrus par le collet, et de
leur dire, à l'instar de Raoul Rigault:

— « J'ai besoin de ministres.

« 11 n'y a pas à tortiller des fesses, il me
faut un ministère pour ce soir, ou je suis un
homme flambé.

« Donc, vous allez me prendre dans ce tas-ci
un portefeuille au choix.

Autrement je vous colle au mur et je vous
gratifie illico de douze balles».

Nous ne taquinerons point trop les sages-
femmes, chargées de ce soin, sur le temps
qu'elles ont mis à obtenir cette délivrance.

non ! le VIL.YLN mioche 1

Par exemple, nous nous refuserons, avec la
dernière énergie à admirer le laid poupon qui,
depuis mardi matin, est suspendu au pis bud-
gétaire de cttte bonne vache à lait, la France.

Ce nouveau-né nous semble aussi montrueu-
sement disgracieux qu'un crabe, — dont il a,
du reste, les dix pattes.

Des quatre pattes anciennes restées en place :
les pattes,

Billot,

Jauréguiberry,
Cochery,

Et de Mahy, nous n'avons rien à dire.

Nous ne nous appesantirons non plus pas
trop sur la patte Tirard déseinboitée du com-
merce et réemboitée aux finances, opération
qui nous rappelle à s'y méprendre celte du fa-
meux docteur fantaisiste, ce tintamarresque
E. Simon, lequel avait soigné par deux am-
putations et réarticuiations successives des
malades atteint d'une affectior. très-bizarre: il
remit l'épaule gauche à droite et l'épaule
droite à gauche.

Mais que dire des cinq nouvelles pattes:

Duclerc,

Devès

Fallières

Pierre Legrand

Et Duvaux 1

A tout seiqneur, tout HQJSNEUtf.

Duclerc est cet aimable monsieur qui lança
les Galions de Vigo.

Là où tout le monde n'arriva qu'à, perdre de
l'argent, il sût, lui, en gagner, sans retirer,
d'ailleurs, le moindre ducat d'or.

Puis, encouragé par cet insuccès, il fonda les

Stlnes de Huelva, lesquelles firent un four

comparable à celui de l'entreprise devancière.
Ne pas dégénérer, en matière financière,

c'est beaucoup.
Du moment où l'on ne dégénère pas,
Où l'on ne se laisse pas abattre par les

revers,

Lorsque même on aun toupet assez immense
pour se faire une réclame de ses insuccès,

Dans la carrière financière illustrée par les
Mirés,

Les Langrand-Dumonceau,

Les Philippart,

Et les Bonioux,

On peut arriver à tout.

M. Duclerc le prouve une fois de plus.

Il était déjà devenu administrateur d'une
demi-douzaine de banques et de sociétés de
plus en moins de crédit.

De plus sénateur inamovible et vice-
président du Grrrand Conseil des Communes de
France !

Le voici par-dessus le marché — mais aux
appointements supplémentaires, —président
du Gonpeil des ministres et ministre des affaires
étrangères...

Evôhé I c'est son apogée.

D'autant plus que lui, au moins, Rochefort
ne pourra plus le critiquer, en disant qu'il est
surtout étranger aux affaires 1

Et de deux t

Passons maintenant au sieur Devès.

On connaît ce type de terre-neuve bipède à
l'usage des ministres en train de faire un dan-
gereux plongeon.

Jusqu'ici, il n'avait rendu que des services.

Il parait qu'il est tout aussi apte à rendre
des arrêts.

Nous aimerions à le croire.

Mais nous en doutons.

Ce dont nous ne doutons point, par exem-
ple, c'est que le jour où ce sauveteur émérite
criera à l'aide, aucun de ceux qu'il a jadis
tirés du bouillon ne lui tendra la perche.

L'ingratitude humaine, voyez-vous, il n'y
a encore qu'en cela que l'on puisse avoir une
confiance absolue l

trois et trois bis.

Nous connaissons peu M. Pierre Legrand.

Cependant, sans craindre de porter un
de ces jugements| téméraires réprouvés par
notre sainte religion, nous prophétisons que
ce maître Jacques sera d'une fâcheuse médio-
crité.

Que diable! quand on a la prétention de
remplir à la fois les tondions, si peu voisines,
de ministre des travaux publics et de minis-
tre de l'agriculture, c'est:

Ou qu'on est un niais, grotesquement infa-
tué de soi-même.

Ou qu'on a l'honnête conscience de se savoir,
très impartialement, inapte à remplir l'un de
ces deux emplois aussi bien que l'autre.

quatre et Cinq

Pour MM. Fallières etDuvaux, nous avouons,
avec l'humilité qui est une de nos principales
qualités, ne les connaître ni des lèvres, ni de
délits, comme dit \&dame aux six petites chaises.

Nous nous complaiscns toutefois à le croire :
le second de ces Messieurs est plus bachelier
que l'illustre M. de Cumont.

D'ailleurs, convenons-en, quoi qu'il en soit,
son nom s'imposait.

Il fallait Duvaux pour servir de pièce de ré-
sistance dans cette déplorable salade I

ou sont les sauvages 1

Le Moniteur des Consulats nous appreud une
assez bizarre nouvelle :

Il n'y a plus d'illusion à se faire, dit-il, le
docteur Crevaux et les siens ont été massa-
crés au milieu de centres commerciaux pré-
tendus civilisés, mais'où il y a des cannibales.

Si les juges civilisés de Salta n'avaient pas
enlevé toutes leurs armes aux paisibles voya-

feurs de la mission scientifique, il est pro'ba-
le que ceux-ci auraient pu mieux se détendre
contre la traîtrise des Tape-Chios, ou autres
prétendus sujets argentins, que les juges
avaient voulu pro'.éger.

Je vous entends d'ici vous emporter contre
les juges argenlins:
Canailles !
Imbéciles l
Crétins I
— Halte-là 1

Tout beau, mes cliers lecteurs 1
Calmez cette belle indignation, s'il vous
plait 1

Elle n'est point de mise dans la soi-disant
capitale de la civilisation, où, naguère encore,
les argousins de M. Camescasse- Museau assom-
maient de braves jeunes gens, —prêts a servir
de compagnons au docteur Crevaux, — pour
protéger des êtres immondes — ne le cédant
en rien, comme férocité aux Tape-Chios 1

Le dieu de chambord harmonique ?

Et le gallophobe Wagner triomphait tou-
jours I

Non-seulement en Allemagne, ce qui ne
serait rien, — ce qui serait bien fait, même,
pour les tympans teutons, — mais dans le
monde entier.

Sait-on combien, en effet, il a été transmis
de mots par le télégraphe, à l'occasion de la
première représentation du Parsifal qui a eu
lieu le 26 juillet à Bayreuth?

De six heures du soir jusqu'à minuit, les
correspondants de journaux étrangers n'ont
pas envoyé moins de 11,000 mots.

Dan» la première représentation du Nibelnn-
tjoii-Ring, en 1876, on avait seulement trans-
mis 11,000 mots.

Et il y a des gens qui appellent celà du
progrès, — les mêmes qui exultent de joie
quand ils apprennent qu'on vient de créer de
nouvelles torpilles capables d'engloutir d'un

seul coup, des navires valant 20 millions et
portant 1200 hommes.

Du progrès, cela...

Malheur t

Gbinooire.

38our&ps %• JïBansongps

M. Gambetta, par suite d'une confiance exa-
gérée des ressources de son malpropre esprit,
néglige par trop d'appliquer les excellents
préceptes de la Sagesse des Nations.

C'est ainsi qu'en dépit de ladite Sagesse, au
lieu de glisser légèrement, il a appuyé avec
excès sur la chanterelle des petits papiers.
Non bis in idem n'était point fait pour lui. S. M.
Léon Goclès 1 se souciait comme de son pro-
gramme de Belleville de ce conseil suranné.
Aussi, après avoir coulé Duportal, roulé Bon-
net— Duverdier et tenté d'exécuter Rochefort,
n'hésita-t-il pas à jouer encore de son arme
favorite, cauteleuse et lâche, contre M. de
Freycinet. Mais ici, la ruse était par trop gros-
sière. De suite, tout le monde l'éventa.

Et voilà pourquoi, la grosse cruche cadur-
cienne pour avoir voulu trop aller à l'eau
trouble, est bien près d'être cassée. Elle est
fêlée et sonne creux.

Ah 1 dame 1 nous ne sommes pas à Gênes.

Comme là-bas, le mensonge est une bonne
arme, mais ici, elle est prohibée par la cons-
cience publique, et l'on ne saurait commettre
pire bourde que se laisser pincer en train d'en
jouer I

X

On télégraphie de Londres, à la date du i
août :

Le Daily News a reçu d'Alexandrie une dé-
pèche disant que les massacres au Caire et
dans l'intérieur du pays n'étaient que des
fables.

Les autorités militaires ont décidé, outre la
C3nsure des télégrammes, de limiter à seize
le nombre de correspondants de journaux,
pour tout le Royaume-Uni, admis à suivre
l'armée.

La censure des dépèches subsiste toujours.
Toute dépèche, pour être exoédiée, doit por-
ter le visa du représentant de l'amiral an-
glais.

( >n le voit le soi-disant libéralisme de nos
voisins d'outre-Manche est à la hauteur de leur
humanité. Ils respectent la liberté de la presse
en Kgypte comme celle individuelle en Ir-
lande.

Ne nous arrêtons pas plus longtemps sur
ces tristes sires qui ont un barème à la place
du cœur. Aussi bien, à la fin, avec leur cyni-
que bypocri'ie, sont-ils pas trop écœurants!

X

On lit dans le Clairon :

Les courses de Caen ont une grande impor-
tance en raison de l'industrie de l'élevage, qui

1 est très répandue dans le Calvados. Il suffit de
traverser Caen pour voir l'amélioration de la

' race dans le pays, et il n'est pas rare de voir
un cheval de prix attelé à un tombereau.

Notre confrère, qui confond toujours roya-
lisme avec libéralisme et paravent chinois avec
tasse à café nous paraît une fois de plus,

' prendre la cause pour l'effet.

| A notre estime, en attelant les chevaux à
des tombereaux, et en les conduisant et soi-
gnant d'une façon rationnelle, on les améliore,

' ce à quoi on n'arrive aucunement en forçant

I tous les huit jours des rosses efflanquées à par-
courir dare-dare 3 ou 4,000 mètres en portant

j un galopin maigrelet, et à absorber ensuite
du Yin chaud, pendant qu'on les frictionne à

' grand renfort de flanelle,

| Aussi rirons-nous à gorge déployée du turf
etdes turfistes, tant qu'aux handicaps et stee-
ple-chases actuels, on n'aura pas substitué

1 quelques bonnes petites courses de camions !

militaire, de logements d'ouvriers à bon
marché.

L'idée, en elle-même, n'a rien de mauvais,
les fortifications ayant joué en 70 ua rôle pu-
rement psychologique et ayant depuis, encore
perdu de leur importance parla construction
d'une seconde ligne de for's avancés. I

Mais les arguments par lesquels notre con-
frère et ami défend son projet sont bien
étran ges.

Jugez-en par cet aperçu :

Thiers savait trèsbien qu'en étreignant Paris
dans une ceinture de pierres, il ne le protége-
rait pas contre un envahisseur étranger, mais
il était certain qu'il trouverait dans cette
ceinture continue un appui formidable pour
dompter, à un moment donné, « la vile mul-
titude » de la capitale du monde révolution-
naire.

11 a dû s'en féliciter en mars 1871.

Par quel comble d'aberration un garçon in-
telligent, qui a vu de très près l'insurrection
de 1871 vient-il dire que c'est la faute aux
fortifications si l'insurrection communaliste a
été vaincue alors que les bataillons fédérés
ont dû de pouvoir opposer une aussi longue
résistance aux troupes des Versailles, juste-
ment grâce à ces seules fortifications ?

Franchement, en présence d'une telle aber-
ration d'esprit, les bras m'en tombent 1

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Extrait des mémoires de M. Claude ;

Newgate, la vieille prison de la Cité, est ap-
pelée à disparaître C'est du reste un vilain édi
fice, dont la disparition ne sera pas regrettable.
Elle renferme deux corps de bâtiment où les
criminels qui doivent passer stvx assises, sont
séparés des prisonniers sédentaires par une
communication souterraine.

Abstenons-nous de commentaires.

« Séparés par une communi cation. Il est un
de ces purs cbefs-d'œuvre qu'une apprécia-
tion, même brève, ne saurait que gâter.

X

Dans le Radical, Louis Lucipia réclame la
démolition des fortifications de Paris, et la
construction, sur toute la zone de servitude

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